Une ancienne photo noir-blanc prise en 1936 lors d’une course automobile à Berne immortalise un moment inoubliable : celui qui allait devenir le directeur technique d’IWC, Albert Pellaton, longe le stand de Mercedes-Benz où sont alignées des voitures de course Flèche d’Argent W25.
En arrière-plan, on peut voir les mécaniciens de l’écurie Mercedes ainsi que son légendaire directeur de course, Alfred Neubauer. Cet instantané réunit pour un court moment des ingénieurs passionnés, qui chacun dans son domaine, l’horlogerie et la compétition automobile, ont réalisé des prouesses et écrit l’histoire de la technique.
Tous deux ont en commun la passion pour la technique de précision et la quête d’efficacité et de performance maximales.
Pour IWC, Albert Pellaton a construit le remontage à doubles cliquets qui porte son nom. Contrairement aux mécanismes usuels à remontage unidirectionnel, le calibre 85 doté du premier mouvement à remontage bidirectionnel était opérationnel dans les deux sens de rotation du rotor, ce qui le rendait plus efficace.
Dans les années 1950, la découverte de Pellaton constitua pour IWC une avancée technologique considérable et, depuis lors, c’est un composant important, sans cesse optimisé, de la famille de montres Ingenieur.
De leur côté, les Flèches d’Argent de Mercedes-Benz ont dominé le sport automobile international dans les années 1930 et 1954/55, un succès dû surtout au travail des mécaniciens, impressionnant pour l’époque. En 1934, c’est la W25 qui inaugura le succès, toujours actuel, des Flèches d’Argent Mercedes. Cette année-là, au Grand Prix automobile de l’Eifel sur le Nürburgring, Manfred von Brauchitsch fut le premier à franchir l’arrivée au volant de son « cigare de course » affichant 354 ch et environ 300 km/h au compteur.
En arrière-plan, on peut voir les mécaniciens de l’écurie Mercedes ainsi que son légendaire directeur de course, Alfred Neubauer. Cet instantané réunit pour un court moment des ingénieurs passionnés, qui chacun dans son domaine, l’horlogerie et la compétition automobile, ont réalisé des prouesses et écrit l’histoire de la technique.
Tous deux ont en commun la passion pour la technique de précision et la quête d’efficacité et de performance maximales.
Pour IWC, Albert Pellaton a construit le remontage à doubles cliquets qui porte son nom. Contrairement aux mécanismes usuels à remontage unidirectionnel, le calibre 85 doté du premier mouvement à remontage bidirectionnel était opérationnel dans les deux sens de rotation du rotor, ce qui le rendait plus efficace.
Dans les années 1950, la découverte de Pellaton constitua pour IWC une avancée technologique considérable et, depuis lors, c’est un composant important, sans cesse optimisé, de la famille de montres Ingenieur.
De leur côté, les Flèches d’Argent de Mercedes-Benz ont dominé le sport automobile international dans les années 1930 et 1954/55, un succès dû surtout au travail des mécaniciens, impressionnant pour l’époque. En 1934, c’est la W25 qui inaugura le succès, toujours actuel, des Flèches d’Argent Mercedes. Cette année-là, au Grand Prix automobile de l’Eifel sur le Nürburgring, Manfred von Brauchitsch fut le premier à franchir l’arrivée au volant de son « cigare de course » affichant 354 ch et environ 300 km/h au compteur.
Avant la course déjà, la voiture suscita beaucoup d’agitation au sein de l’écurie Mercedes, car lors de l’inspection technique, elle dépassait de tout juste un kilo le poids total autorisé de 750 kg pour les voitures de course. C’est, dit-on, au pilote von Brauchitsch qu’est venue l’idée de poncer la peinture blanche pour réduire le poids de la voiture à la limite autorisée.
Pendant la nuit, les mécaniciens enlevèrent donc la peinture, laissant à nu la tôle d’aluminium argentée. C’est ce qui valut à la W25 et aux voitures qui lui ont succédé l’appellation «Flèches d’Argent» (« Silberpfeil » en allemand). La légende était née.
En 2013, IWC réunit ces deux noms prestigieux : « Ingenieur » et « Silberpfeil » dans la nouvelle Ingenieur Chronographe Silberpfeil. Au premier coup d’oeil déjà, le design du chronographe habillé d’un boîtier en acier occupe une place à part dans la collection Ingenieur.
Ce qui frappe surtout, c’est le perlage argent (réf. IW378505) ou brun (réf. IW378511) ornant son cadran. Ce décor en forme de nuages, qui orne plus fréquemment les platines et les ponts, est un hommage aux légendaires voitures de course Mercedes-Benz W25, dont les instruments étaient montés sur un tableau de bord perlé.
Les éléments rouges sur le cadran argenté ou brun sont inspirés du design des compteurs de vitesse et des compte-tours. La date s’affiche dans le compteur du bas au profit d’une symétrie parfaite du cadran.
Le calibre manufacture IWC 89361 permet de lire les heures et les minutes chronométrées aussi facilement que l’heure sur un guichet. L’aiguille du chronographe au centre permet de chronométrer les temps jusqu’à une minute et, via l’échelle tachymétrique, la vitesse moyenne d’un véhicule sur une distance de référence de 1.000 mètres. La fonction flyback permettant de chronométrer les arrêts au stand est particulièrement pratique pour ceux qui sont sur les circuits: en appuyant sur le poussoir de remise à zéro, l’aiguille revient à son point de départ et un nouveau chronométrage commence immédiatement. Cela évite de devoir presser trois touches, pour stopper le chronométrage, remettre l’aiguille à zéro et relancer le chronomètre. Le remontage Pellaton –optimisé- engrange en très peu de temps une réserve de marche de 68 heures. Ce remontage automatique à doubles cliquets est 30% plus efficace que celui qu’avait réalisé Albert Pellaton, un progrès tout à fait dans l’esprit de ce génial inventeur. De plus, la précision de marche n’est affectée ni par les opérations de chronométrage ni par la fonction flyback.
Cette nouvelle Ingenieur se porte avec un bracelet incrusté de cuir brun, un clin d’oeil à l’univers du sport automobile des années 1930 et aux lanières de cuir que l’on retrouvait alors non seulement sur la combinaison des pilotes, mais aussi dans le cockpit et pour fixer le capot des voitures. À la différence que le bracelet du chronographe est en veau de qualité supérieure doublé de caoutchouc résistant, ce qui permet d’allier la nostalgie de l’esthétique de l’époque au confort et à la solidité du caoutchouc. Il est aussi possible d’opter pour un bracelet en acier doté d’un mécanisme de fermeture de précision. Sur le fond de la montre, une gravure représente une ancienne Flèche d’Argent.
Pendant la nuit, les mécaniciens enlevèrent donc la peinture, laissant à nu la tôle d’aluminium argentée. C’est ce qui valut à la W25 et aux voitures qui lui ont succédé l’appellation «Flèches d’Argent» (« Silberpfeil » en allemand). La légende était née.
En 2013, IWC réunit ces deux noms prestigieux : « Ingenieur » et « Silberpfeil » dans la nouvelle Ingenieur Chronographe Silberpfeil. Au premier coup d’oeil déjà, le design du chronographe habillé d’un boîtier en acier occupe une place à part dans la collection Ingenieur.
Ce qui frappe surtout, c’est le perlage argent (réf. IW378505) ou brun (réf. IW378511) ornant son cadran. Ce décor en forme de nuages, qui orne plus fréquemment les platines et les ponts, est un hommage aux légendaires voitures de course Mercedes-Benz W25, dont les instruments étaient montés sur un tableau de bord perlé.
Les éléments rouges sur le cadran argenté ou brun sont inspirés du design des compteurs de vitesse et des compte-tours. La date s’affiche dans le compteur du bas au profit d’une symétrie parfaite du cadran.
Le calibre manufacture IWC 89361 permet de lire les heures et les minutes chronométrées aussi facilement que l’heure sur un guichet. L’aiguille du chronographe au centre permet de chronométrer les temps jusqu’à une minute et, via l’échelle tachymétrique, la vitesse moyenne d’un véhicule sur une distance de référence de 1.000 mètres. La fonction flyback permettant de chronométrer les arrêts au stand est particulièrement pratique pour ceux qui sont sur les circuits: en appuyant sur le poussoir de remise à zéro, l’aiguille revient à son point de départ et un nouveau chronométrage commence immédiatement. Cela évite de devoir presser trois touches, pour stopper le chronométrage, remettre l’aiguille à zéro et relancer le chronomètre. Le remontage Pellaton –optimisé- engrange en très peu de temps une réserve de marche de 68 heures. Ce remontage automatique à doubles cliquets est 30% plus efficace que celui qu’avait réalisé Albert Pellaton, un progrès tout à fait dans l’esprit de ce génial inventeur. De plus, la précision de marche n’est affectée ni par les opérations de chronométrage ni par la fonction flyback.
Cette nouvelle Ingenieur se porte avec un bracelet incrusté de cuir brun, un clin d’oeil à l’univers du sport automobile des années 1930 et aux lanières de cuir que l’on retrouvait alors non seulement sur la combinaison des pilotes, mais aussi dans le cockpit et pour fixer le capot des voitures. À la différence que le bracelet du chronographe est en veau de qualité supérieure doublé de caoutchouc résistant, ce qui permet d’allier la nostalgie de l’esthétique de l’époque au confort et à la solidité du caoutchouc. Il est aussi possible d’opter pour un bracelet en acier doté d’un mécanisme de fermeture de précision. Sur le fond de la montre, une gravure représente une ancienne Flèche d’Argent.
L’ère des Flèches d’Argent
Entre 1934 et 1939, Mercedes-Benz gagna de nombreux Grands Prix et championnats avec la Flèche d’Argent. En 1935, Rudolf Caracciola est champion d’Europe avec une W25 – un succès qu’il réitère en 1937 avec la W125, modèle ultérieur, et en 1938 avec la W154. Lui et ses coéquipiers, notamment Manfred von Brauchitsch ou Hermann Lang, dominent la discipline reine du sport automobile international jusqu’en 1939.
En 1954, Mercedes-Benz fête le retour des Flèches d’Argent en Formule 1 par un doublé au Grand Prix de France. Cette même année, le vainqueur, Juan Manuel Fangio, aligne trois autres victoires avec sa W196 R et devient champion du monde. En 1955, la W196 R réédite ses exploits en remportant cinq victoires, dont quatre doublés sur les sept courses de la saison, et Juan Manuel Fangio est de nouveau champion du monde de Formule 1.
C’est aussi l’année où son coéquipier, Stirling Moss, entre dans les annales de la course Mille Miglia en battant le record absolu de l’épreuve. Par la suite, Mercedes-Benz se retirera du sport automobile pour se concentrer sur la production en série. Depuis 2010, Mercedes AMG Petronas Formula One Team se lance de nouveau dans la course aux points, désormais avec le soutien d’IWC Schaffhausen, Official Engineering Partner.
En 1954, Mercedes-Benz fête le retour des Flèches d’Argent en Formule 1 par un doublé au Grand Prix de France. Cette même année, le vainqueur, Juan Manuel Fangio, aligne trois autres victoires avec sa W196 R et devient champion du monde. En 1955, la W196 R réédite ses exploits en remportant cinq victoires, dont quatre doublés sur les sept courses de la saison, et Juan Manuel Fangio est de nouveau champion du monde de Formule 1.
C’est aussi l’année où son coéquipier, Stirling Moss, entre dans les annales de la course Mille Miglia en battant le record absolu de l’épreuve. Par la suite, Mercedes-Benz se retirera du sport automobile pour se concentrer sur la production en série. Depuis 2010, Mercedes AMG Petronas Formula One Team se lance de nouveau dans la course aux points, désormais avec le soutien d’IWC Schaffhausen, Official Engineering Partner.
Spécificités techniques de la IWC Ingenieur Chronographe Silberpfeil
Mouvement de chronographe mécanique
Affichage de la date avec réglage rapide au moyen de la couronne
Fonction stop heure, minute et seconde
Compteurs des heures et des minutes réunis dans un seul compteur à 12 heures
Fonction flyback
Petite seconde avec dispositif d’arrêt
Couronne vissée
Calibre 89361 Remontage automatique
Fréquence 28 800 A/h / 4 Hz
Rubis 38
Réserve de marche 68 h
Étanche 12 bar
Réf. IW378505: boîtier en acier, cadran argenté, bracelet en caoutchouc noir incrusté de veau brun, boucle ardillon en acier
Réf. IW378511: boîtier en acier, cadran brun, bracelet en caoutchouc noir incrusté de veau brun, boucle ardillon en acier
Verre saphir, plat, antireflet sur les deux faces
Diamètre 45 mm
Hauteur 14,5 mm
Affichage de la date avec réglage rapide au moyen de la couronne
Fonction stop heure, minute et seconde
Compteurs des heures et des minutes réunis dans un seul compteur à 12 heures
Fonction flyback
Petite seconde avec dispositif d’arrêt
Couronne vissée
Calibre 89361 Remontage automatique
Fréquence 28 800 A/h / 4 Hz
Rubis 38
Réserve de marche 68 h
Étanche 12 bar
Réf. IW378505: boîtier en acier, cadran argenté, bracelet en caoutchouc noir incrusté de veau brun, boucle ardillon en acier
Réf. IW378511: boîtier en acier, cadran brun, bracelet en caoutchouc noir incrusté de veau brun, boucle ardillon en acier
Verre saphir, plat, antireflet sur les deux faces
Diamètre 45 mm
Hauteur 14,5 mm