Grande Complication – ce titre de noblesse de la Haute Horlogerie recouvre le rêve de réunir les découvertes majeures en matière d’art horloger pour en faire une montre qui non seulement fonctionne à la perfection, mais produit des sons délicats.
Les ingénieurs d’IWC ont réalisé ce prodige il y a tout juste vingt ans (en 1990), ce qui a valu à la manufacture de Schaffhausen une reconnaissance internationale. Cette grande réussite est intervenue après plus de sept ans de recherches et de travail acharné. Le défi était de taille : réunir 657 éléments dans un espace minuscule pour en faire un tout fonctionnant sans accroc et qui, en dépit de sa complexité, se distingue par sa simplicité d’utilisation et son adéquation avec la vie quotidienne.
La Portugaise Grande Complication, pour laquelle un nouveau boîtier d’un diamètre de 45 millimètres a été créé, est dotée de fonctions hors du commun : le calibre chronographe 79091 à remontage automatique avec mesure du temps additionnel allant jusqu’à 12 heures, la répétition minutes qui avait été conçue spécialement pour le modèle de jadis ainsi que –enfin et surtout– un calendrier perpétuel autonome.
L’utilisateur dispose ainsi non seulement de la date, du jour de la semaine, du mois, mais aussi de l’année, de la décade, du siècle et du millénaire par le biais d’un affichage à quatre chiffres. Le calendrier ne nécessite ni correction ni intervention de la part de l’utilisateur jusqu’à l’année 2100 puisqu’il programme mécaniquement puis assure ensuite la constante synchronisation de toutes les indications. Il est doté d’un affichage perpétuel des phases de la lune, qui ne diverge de la course effective de notre satellite que d’un jour par 122 années.
La Grande Complication IWC précédente, qui continue à être fabriquée en parallèle avec le nouveau modèle, était déjà dotée d’un mécanisme breveté la rendant étanche jusqu’à 1 bar, ce qui équivaut quasiment à la quadrature du cercle pour une répétition minutes. L’étanchéité de la nouvelle Portugaise Grande Complication a même pu être augmentée à 3 bar.
Les ingénieurs d’IWC ont réalisé ce prodige il y a tout juste vingt ans (en 1990), ce qui a valu à la manufacture de Schaffhausen une reconnaissance internationale. Cette grande réussite est intervenue après plus de sept ans de recherches et de travail acharné. Le défi était de taille : réunir 657 éléments dans un espace minuscule pour en faire un tout fonctionnant sans accroc et qui, en dépit de sa complexité, se distingue par sa simplicité d’utilisation et son adéquation avec la vie quotidienne.
La Portugaise Grande Complication, pour laquelle un nouveau boîtier d’un diamètre de 45 millimètres a été créé, est dotée de fonctions hors du commun : le calibre chronographe 79091 à remontage automatique avec mesure du temps additionnel allant jusqu’à 12 heures, la répétition minutes qui avait été conçue spécialement pour le modèle de jadis ainsi que –enfin et surtout– un calendrier perpétuel autonome.
L’utilisateur dispose ainsi non seulement de la date, du jour de la semaine, du mois, mais aussi de l’année, de la décade, du siècle et du millénaire par le biais d’un affichage à quatre chiffres. Le calendrier ne nécessite ni correction ni intervention de la part de l’utilisateur jusqu’à l’année 2100 puisqu’il programme mécaniquement puis assure ensuite la constante synchronisation de toutes les indications. Il est doté d’un affichage perpétuel des phases de la lune, qui ne diverge de la course effective de notre satellite que d’un jour par 122 années.
La Grande Complication IWC précédente, qui continue à être fabriquée en parallèle avec le nouveau modèle, était déjà dotée d’un mécanisme breveté la rendant étanche jusqu’à 1 bar, ce qui équivaut quasiment à la quadrature du cercle pour une répétition minutes. L’étanchéité de la nouvelle Portugaise Grande Complication a même pu être augmentée à 3 bar.
Le cadran argenté a nettement été agrandi ; il met particulièrement en valeur les indications du calendrier de cette montre si complexe. Le fond du cadran est agrémenté d’un globe terrestre –comportant les lignes de latitudes et de longitudes – incliné à un angle de 23,4 degrés qui correspond exactement à celui de la planète.
C’est sur ce fond qu’apparaissent les compteurs du chronographe et les indications du calendrier ainsi que la petite seconde et les phases de la lune. Le cadran comporte des appliques et des chiffres arabes en or rouge massif ainsi qu’une minuterie « chemin de fer » ; il est surmonté d’un verre saphir antireflet sur les deux faces.
Les touches rectangulaires légèrement biseautées du chronographe soulignent le style sobre du boîtier de cette Portugaise. Située sur le côté gauche, la targette, celle-là même qui « fait la musique », laisse entrevoir au connaisseur –en lui dévoilant la répétition minutes – les raffinements que comporte cette montre en matière de mécanique de précision. A propos : l’étanchéité élevée du boîtier ne limite en aucune manière la puissance et l’équilibre des sons. Une caisse de résonance plus large et une solution technique subtile y contribuent, incluant le verre saphir dans la répercussion des sons à l’extérieur.
La gravure qui agrémente le fond du boîtier en or rouge témoigne du fait que le nouveau fleuron de cette famille de montres se situe dans le droit fil de l’héritage spirituel des navigateurs portugais. Un sextant qui, tout comme la montre, constitue un instrument indispensable à la navigation maritime, renvoie à cette parenté spirituelle.
Alors, larguons les amarres –le nouveau fleuron de la flotte des Portugaise quitte le port !
C’est sur ce fond qu’apparaissent les compteurs du chronographe et les indications du calendrier ainsi que la petite seconde et les phases de la lune. Le cadran comporte des appliques et des chiffres arabes en or rouge massif ainsi qu’une minuterie « chemin de fer » ; il est surmonté d’un verre saphir antireflet sur les deux faces.
Les touches rectangulaires légèrement biseautées du chronographe soulignent le style sobre du boîtier de cette Portugaise. Située sur le côté gauche, la targette, celle-là même qui « fait la musique », laisse entrevoir au connaisseur –en lui dévoilant la répétition minutes – les raffinements que comporte cette montre en matière de mécanique de précision. A propos : l’étanchéité élevée du boîtier ne limite en aucune manière la puissance et l’équilibre des sons. Une caisse de résonance plus large et une solution technique subtile y contribuent, incluant le verre saphir dans la répercussion des sons à l’extérieur.
La gravure qui agrémente le fond du boîtier en or rouge témoigne du fait que le nouveau fleuron de cette famille de montres se situe dans le droit fil de l’héritage spirituel des navigateurs portugais. Un sextant qui, tout comme la montre, constitue un instrument indispensable à la navigation maritime, renvoie à cette parenté spirituelle.
Alors, larguons les amarres –le nouveau fleuron de la flotte des Portugaise quitte le port !
Spécificités techniques de la Portugaise Grande Complication
Grande Complication composée de 657 éléments mécaniques, d’un mouvement de chronographe automatique, d’un calendrier perpétuel avec indication de la date, du jour de la semaine, du mois, de l’année à 4 chiffres, des phases perpétuelles de la lune, d’une répétition minutes, d’une petite seconde avec dispositif d’arrêt ainsi que d’un sextant gravé sur le fond du boîtier
Mouvement Calibre 79091
Alternances 28 800/h
Rubis 75
Remontage automatique
Réserve de marche 44 h
Boîtier
Diamètre 45mm
Hauteur 16,5mm
Matériaux montre et fermoir à boucle déployante en or rouge 18 ct, cadran argenté et bracelet en alligator brun foncé avec couture en or rouge 18 ct
Verre saphir, bord arqué, antireflet sur les deux faces
Etanche 3 bar
Réf. IW3774
Mouvement Calibre 79091
Alternances 28 800/h
Rubis 75
Remontage automatique
Réserve de marche 44 h
Boîtier
Diamètre 45mm
Hauteur 16,5mm
Matériaux montre et fermoir à boucle déployante en or rouge 18 ct, cadran argenté et bracelet en alligator brun foncé avec couture en or rouge 18 ct
Verre saphir, bord arqué, antireflet sur les deux faces
Etanche 3 bar
Réf. IW3774
