La répétition minutes, que l’on construit aujourd’hui beaucoup plus rarement que le tourbillon en raison de son degré de complexité horlogère, est la complication qui véhicule le plus d’émotions. Parce qu’elle n’enchante pas seulement l’oeil, mais pénètre aussi directement dans le monde des sensations par le biais de l’oreille, où elle fait jouer des cordes très sensibles.
Rendre audible et mesurable le temps vécu, comme le font par exemple les clochers avec leur carillon, est une qualité de la perception du temps différente du coup d’oeil, furtif ou prolongé, jeté sur le cadran.
« Quand, dans les années quatre-vingt, la manufacture horlogère IWC Schaffhausen a mis au point sa répétition minutes personnelle pour sa Grande Complication, projet dans lequel elle a investi des milliers d’heures de travail, elle a non seulement obtenu un résultat exceptionnel à tout point de vue sur le plan technique, mais elle y a aussi pris goût » souligne la marque dans son communiqué.
Ce « petit » chef-d’oeuvre acoustique porté au poignet, qui sonne l’heure à la minute près sur deux ressorts-timbres différents et soigneusement accordés lorsque l’on actionne le poussoir, fait depuis lors partie intégrante du répertoire de ses spécialités.
Au cours des deux décennies écoulées, la marque a mis au point et fabriqué un nombre considérable de mécanismes de répétition –pour la Grande Complication, la Il Destriero Scafusia et pour plusieurs séries limitées de montres à répétition dans le boîtier de la Portugaise, séries construites à partir de 1995. Toutes étaient animées par le mouvement de montre de poche IWC cal. 95290.
Une motorisation très précise et très plate selon la construction Lépine pour montres de poche ouvertes. Avec la nouvelle Portugaise Répétition Minutes, le boîtier a vu son diamètre augmenter de deux millimètres pour s’établir à 44 mm, sa hauteur étant désormais de 14 mm. Elle sera éditée à 500 exemplaires respectivement en platine et en or rose.
Aujourd’hui, la Portugaise Répétition Minutes est dotée d’un boîtier de plus grand diamètre en raison d’une nouvelle motorisation. Il s’agit cette fois d’un calibre de montre de poche à remontage manuel, le cal. 98950 –dont les origines remontent aux années vingt et qui, depuis, n’a cessé d’être actualisé, amélioré et modernisé.
Rendre audible et mesurable le temps vécu, comme le font par exemple les clochers avec leur carillon, est une qualité de la perception du temps différente du coup d’oeil, furtif ou prolongé, jeté sur le cadran.
« Quand, dans les années quatre-vingt, la manufacture horlogère IWC Schaffhausen a mis au point sa répétition minutes personnelle pour sa Grande Complication, projet dans lequel elle a investi des milliers d’heures de travail, elle a non seulement obtenu un résultat exceptionnel à tout point de vue sur le plan technique, mais elle y a aussi pris goût » souligne la marque dans son communiqué.
Ce « petit » chef-d’oeuvre acoustique porté au poignet, qui sonne l’heure à la minute près sur deux ressorts-timbres différents et soigneusement accordés lorsque l’on actionne le poussoir, fait depuis lors partie intégrante du répertoire de ses spécialités.
Au cours des deux décennies écoulées, la marque a mis au point et fabriqué un nombre considérable de mécanismes de répétition –pour la Grande Complication, la Il Destriero Scafusia et pour plusieurs séries limitées de montres à répétition dans le boîtier de la Portugaise, séries construites à partir de 1995. Toutes étaient animées par le mouvement de montre de poche IWC cal. 95290.
Une motorisation très précise et très plate selon la construction Lépine pour montres de poche ouvertes. Avec la nouvelle Portugaise Répétition Minutes, le boîtier a vu son diamètre augmenter de deux millimètres pour s’établir à 44 mm, sa hauteur étant désormais de 14 mm. Elle sera éditée à 500 exemplaires respectivement en platine et en or rose.
Aujourd’hui, la Portugaise Répétition Minutes est dotée d’un boîtier de plus grand diamètre en raison d’une nouvelle motorisation. Il s’agit cette fois d’un calibre de montre de poche à remontage manuel, le cal. 98950 –dont les origines remontent aux années vingt et qui, depuis, n’a cessé d’être actualisé, amélioré et modernisé.
Un véritable marathonien qui a su conserver ses propriétés tout en s’enrichissant de quelques éléments de style des anciens calibres Jones : balancier avec microréglage excentrique sur les bras du balancier, spiral Breguet, platine 3/4, platine et pont en maillechort, longue raquette de régulation de précision et décoration spéciale avec gravure plaquée or.
Il faut s’intéresser d’un peu plus près à l’art de l’horlogerie pour expliquer la petite différence visible sur le cadran, à savoir pourquoi l’affichage des secondes a migré de « 9 heures » à « 6 heures » : la famille de calibres 98000 a toujours été conçue sur un mouvement Savonnette, construit pour les montres de poche avec couvercle à ressort. Cela signifie qu’avec ce mouvement, l’arbre de remontage (couronne) et la petite seconde décrivent un angle de 90 degrés.
Dans le cas de la construction Lépine –et la famille de calibres 95 en fait partie–, les rouages, par contre, sont ordonnés de telle manière que l’arbre de remontage et la petite seconde se trouvent dans le même prolongement. Ce qui a du sens pour une montre de poche ouverte -avec l’affichage des secondes à « 6 heures ». Dans le cas d’une montre-bracelet que l’on consulte comme une montre avec couvercle à ressort, cette position est, par contre, quelque peu inhabituelle car dans ce cas-là, l’affichage des secondes doit être positionné à « 9 heures ».
Toutes les Portugaises Répétition Minutes fabriquées jusqu’à ce jour se sont distinguées par cette petite excentricité. « La majorité des personnes qui les portent trouvent même séduisant cet agencement qui sort de l’ordinaire. La Portugaise Répétition Minutes actuelle va en revanche au-devant des amateurs de cadrans au design classique » précise la marque dans son communiqué.
Et d’ajouter que par son style, la nouvelle Portugaise Répétition Minutes rappelle ces modèles d’un autre âge. Le mécanisme de répétition, dans lequel 205 composants différents coopèrent comme au sein d’un orchestre mécanique, est resté pratiquement le même lui aussi. Il sonne toutes les heures écoulées depuis le dernier passage au-dessus du douze sur son ressort-timbre accordé avec une tonalité plus basse, les quarts d’heures écoulés depuis la dernière heure complète par une double tonalité et les minutes écoulées depuis le dernier quart d’heure par des chocs sur le ressort-timbre accordé avec une tonalité aiguë.
A noter enfin que la montre possède une commande tout ou rien qui garantit que la séquence de coups n’est déclenchée qu’à la condition que le poussoir latéral ait été enfoncé correctement. Pour l’initié, ce poussoir est un moyen d’identifier l’exclusivité horlogère de cette spécialité. Le fond transparent en verre saphir permet quant à lui, d’observer le mouvement finement décoré, dont le balancier oscille à une fréquence de 18 000 demi-oscillations/h.
Il faut s’intéresser d’un peu plus près à l’art de l’horlogerie pour expliquer la petite différence visible sur le cadran, à savoir pourquoi l’affichage des secondes a migré de « 9 heures » à « 6 heures » : la famille de calibres 98000 a toujours été conçue sur un mouvement Savonnette, construit pour les montres de poche avec couvercle à ressort. Cela signifie qu’avec ce mouvement, l’arbre de remontage (couronne) et la petite seconde décrivent un angle de 90 degrés.
Dans le cas de la construction Lépine –et la famille de calibres 95 en fait partie–, les rouages, par contre, sont ordonnés de telle manière que l’arbre de remontage et la petite seconde se trouvent dans le même prolongement. Ce qui a du sens pour une montre de poche ouverte -avec l’affichage des secondes à « 6 heures ». Dans le cas d’une montre-bracelet que l’on consulte comme une montre avec couvercle à ressort, cette position est, par contre, quelque peu inhabituelle car dans ce cas-là, l’affichage des secondes doit être positionné à « 9 heures ».
Toutes les Portugaises Répétition Minutes fabriquées jusqu’à ce jour se sont distinguées par cette petite excentricité. « La majorité des personnes qui les portent trouvent même séduisant cet agencement qui sort de l’ordinaire. La Portugaise Répétition Minutes actuelle va en revanche au-devant des amateurs de cadrans au design classique » précise la marque dans son communiqué.
Et d’ajouter que par son style, la nouvelle Portugaise Répétition Minutes rappelle ces modèles d’un autre âge. Le mécanisme de répétition, dans lequel 205 composants différents coopèrent comme au sein d’un orchestre mécanique, est resté pratiquement le même lui aussi. Il sonne toutes les heures écoulées depuis le dernier passage au-dessus du douze sur son ressort-timbre accordé avec une tonalité plus basse, les quarts d’heures écoulés depuis la dernière heure complète par une double tonalité et les minutes écoulées depuis le dernier quart d’heure par des chocs sur le ressort-timbre accordé avec une tonalité aiguë.
A noter enfin que la montre possède une commande tout ou rien qui garantit que la séquence de coups n’est déclenchée qu’à la condition que le poussoir latéral ait été enfoncé correctement. Pour l’initié, ce poussoir est un moyen d’identifier l’exclusivité horlogère de cette spécialité. Le fond transparent en verre saphir permet quant à lui, d’observer le mouvement finement décoré, dont le balancier oscille à une fréquence de 18 000 demi-oscillations/h.
Spécificités techniques de la Portugaise Répétition Minutes
Portugaise de 44 mm avec mouvement mécanique cal. 98950, remontage manuel, petite seconde avec dispositif d’arrêt, édition limitée à 500 exemplaires en platine et 500 exemplaires en or rose
Mouvement
Calibre 98950
Alternances 18 000/h
Rubis 52
Réserve de marche 46 h
Remontage manuel
Boîtier
Matériaux platine, or rose 5N
Verre saphir, antireflet
Fond transparent en verre saphir
Diamètre 44mm
Hauteur 14mm
Poids
Montre en platine avec bracelet en croco noir 195 g
Montre en or rose avec bracelet en croco brun 161 g
Ref. IW5449
Mouvement
Calibre 98950
Alternances 18 000/h
Rubis 52
Réserve de marche 46 h
Remontage manuel
Boîtier
Matériaux platine, or rose 5N
Verre saphir, antireflet
Fond transparent en verre saphir
Diamètre 44mm
Hauteur 14mm
Poids
Montre en platine avec bracelet en croco noir 195 g
Montre en or rose avec bracelet en croco brun 161 g
Ref. IW5449