Quel sont donc les points communs de ces deux modèles de la collection Top Gun ? Ils sont tous les deux noirs, puissants, virils et possèdent un boîtier en céramique high-tech d’une grande légèreté et pourtant « indestructible » affirme la marque dans son communiqué.
En plus d’être étanches à 60 bars (60 mètres), ils sont également dotés d’un verre saphir bombé avec enduction antireflet qui résiste même à une chute brutale de la pression.
Les éléments de commande et le fond sont fabriqués dans un titane gris mat. Et chacun des modèles arborent le logo Top Gun sur le fond de la montre et sur le flanc gauche du boîtier.
A noter également que leurs mouvements mécaniques de précision sont protégés contre les champs magnétiques. Enfin, en ce qui concerne les cadrans, ils s’avèrent d’une clarté extrême et reprennent les codes chers à l’aviation : un design de type « cockpit » avec des aiguilles et des indications blanches sur fond noir, luminescentes.
Deux petits éléments rouges permettent un contrôle rapide du fonctionnement du garde-temps : la petite aiguille des secondes et le contrepoids de l’aiguille centrale au centre, qui est la reproduction d’un minuscule avion de chasse, signe distinctif de cette gamme. Et, comme chaque gramme compte en vol, mais aussi pour le confort de celui qui porte une telle « machine », elle se glisse au poignet grâce à un bracelet nylon souple ultraléger.
En plus d’être étanches à 60 bars (60 mètres), ils sont également dotés d’un verre saphir bombé avec enduction antireflet qui résiste même à une chute brutale de la pression.
Les éléments de commande et le fond sont fabriqués dans un titane gris mat. Et chacun des modèles arborent le logo Top Gun sur le fond de la montre et sur le flanc gauche du boîtier.
A noter également que leurs mouvements mécaniques de précision sont protégés contre les champs magnétiques. Enfin, en ce qui concerne les cadrans, ils s’avèrent d’une clarté extrême et reprennent les codes chers à l’aviation : un design de type « cockpit » avec des aiguilles et des indications blanches sur fond noir, luminescentes.
Deux petits éléments rouges permettent un contrôle rapide du fonctionnement du garde-temps : la petite aiguille des secondes et le contrepoids de l’aiguille centrale au centre, qui est la reproduction d’un minuscule avion de chasse, signe distinctif de cette gamme. Et, comme chaque gramme compte en vol, mais aussi pour le confort de celui qui porte une telle « machine », elle se glisse au poignet grâce à un bracelet nylon souple ultraléger.
Précisons que ce nouveau modèle est un chronographe sans rattrapante : il permet une mesure du temps additionnel jusqu’à 12 heures et se distingue extérieurement du double chronographe par son boîtier en céramique plus mince de deux millimètres (44mm) et par l’absence de troisième poussoir à « 10 heures » pour la fonction de rattrapante.
A part cela, cadran et type d’indications sont identiques. Il possède également une indication du jour de la semaine et un affichage de la date dans le style d’un altimètre de cockpit. On retrouve aussi, la combinaison céramique et titane. Deux matériaux modernes incomparables pour leur robustesse et qu’IWC a introduit dans la fabrication de ses montres dès les années quatre-vingt.
Ces montres d’aviateur impliquent également une protection optimale du mouvement contre les champs magnétiques grâce à une cage en fer doux qui se trouve à l’intérieur du boîtier. Une spécificité qui distingue les montres d’aviateur d’IWC depuis la Mark 11 de 1948, la légendaire montre de pilote qui a, entre autres, fourni de bons et loyaux services comme montre de navigation dans le cockpit pour la Royal Air Force.
Cela englobe bien évidemment la protection au sens large, avec l’introduction chez IWC il y a des dizaines d’années, du verre saphir à double traitement antireflet contre les chutes de pression brutales dans le cockpit. Et c’est à cette robustesse poussée au summum qu’est aussi dédié le boîtier en poudre d’oxyde de zirconium et liant « cuit » jusqu’à des températures de 2000 degrés et travaillé avec des outils en diamant. Il est antimagnétique, résistant aux acides et aux chocs, léger et particulièrement agréable au contact avec la peau, tout comme le titane.
A part cela, cadran et type d’indications sont identiques. Il possède également une indication du jour de la semaine et un affichage de la date dans le style d’un altimètre de cockpit. On retrouve aussi, la combinaison céramique et titane. Deux matériaux modernes incomparables pour leur robustesse et qu’IWC a introduit dans la fabrication de ses montres dès les années quatre-vingt.
Ces montres d’aviateur impliquent également une protection optimale du mouvement contre les champs magnétiques grâce à une cage en fer doux qui se trouve à l’intérieur du boîtier. Une spécificité qui distingue les montres d’aviateur d’IWC depuis la Mark 11 de 1948, la légendaire montre de pilote qui a, entre autres, fourni de bons et loyaux services comme montre de navigation dans le cockpit pour la Royal Air Force.
Cela englobe bien évidemment la protection au sens large, avec l’introduction chez IWC il y a des dizaines d’années, du verre saphir à double traitement antireflet contre les chutes de pression brutales dans le cockpit. Et c’est à cette robustesse poussée au summum qu’est aussi dédié le boîtier en poudre d’oxyde de zirconium et liant « cuit » jusqu’à des températures de 2000 degrés et travaillé avec des outils en diamant. Il est antimagnétique, résistant aux acides et aux chocs, léger et particulièrement agréable au contact avec la peau, tout comme le titane.
Top Gun : l’école des meilleurs
Une aura d’invincibilité entoure les pilotes d’avion de chasse de la US Navy, qui accomplissent aujourd’hui avec succès la formation Top Gun à Fallon/Nevada. Mais il n’en a pas toujours été ainsi : la United States Navy Fighter Weapons School, qui a tout d’abord été basée à Miramar/Californie à partir de 1969, est le résultat d’une analyse critique du déficit d’aptitude au combat aérien des pilotes de chasse. C’est dans ce contexte que la Navy a réagi et a créé Top Gun.
Le cours, que n’accomplissent que des pilotes d’avion de chasse particulièrement qualifiés, s’appelle officiellement, aujourd’hui, US Navy Strike Fighter Tactics Instructor (SFTI). Mais le terme générique Top Gun continue de prévaloir.
Ce cours consiste en des combats aériens dans des conditions réelles. Au début, les élèves se sont livrés, avec les nouveaux modèles F-14 Tomcat et F/A-18 Hornet, à de téméraires chasses d’interception contre leurs instructeurs aux commandes d’une version turbo de l’A-4 Skyhawk et du F-5 Tiger. Au fil des ans, le profil de formation a été adapté aux besoins actuels et s’est étendu aux missions air-sol.
Le concept Top Gun remporte un tel succès que la US Air Force elle-même envoie ses meilleurs pilotes à ces cours bien qu’elle propose sa propre formation de pilotes d’élite à Nellis/Nevada. La qualification de « pilote de chasse » ne s’obtient qu’au fil de la formation. Elle s’applique aux pilotes militaires les plus courageux et aux réflexes les plus rapides, ceux qui se révèlent être d’authentiques combattants individuels et des pilotes plutôt audacieux. Il en a toujours été ainsi depuis que l’armée de l’air existe.
Le cours, que n’accomplissent que des pilotes d’avion de chasse particulièrement qualifiés, s’appelle officiellement, aujourd’hui, US Navy Strike Fighter Tactics Instructor (SFTI). Mais le terme générique Top Gun continue de prévaloir.
Ce cours consiste en des combats aériens dans des conditions réelles. Au début, les élèves se sont livrés, avec les nouveaux modèles F-14 Tomcat et F/A-18 Hornet, à de téméraires chasses d’interception contre leurs instructeurs aux commandes d’une version turbo de l’A-4 Skyhawk et du F-5 Tiger. Au fil des ans, le profil de formation a été adapté aux besoins actuels et s’est étendu aux missions air-sol.
Le concept Top Gun remporte un tel succès que la US Air Force elle-même envoie ses meilleurs pilotes à ces cours bien qu’elle propose sa propre formation de pilotes d’élite à Nellis/Nevada. La qualification de « pilote de chasse » ne s’obtient qu’au fil de la formation. Elle s’applique aux pilotes militaires les plus courageux et aux réflexes les plus rapides, ceux qui se révèlent être d’authentiques combattants individuels et des pilotes plutôt audacieux. Il en a toujours été ainsi depuis que l’armée de l’air existe.
Spécificités techniques de l’IWC Top Gun
Mouvement de chronographe mécanique avec mesure du temps additionnel jusqu’à 12 heures, indication de la date et du jour de la semaine, petite seconde avec dispositif d’arrêt, boîtier en céramique high-tech et titane, protection contre les champs magnétiques par une cage en fer doux à l’intérieur du boîtier
Mouvement à remontage automatique :
Calibre : 79320
Alternances : 28 800/ h / 4 Hz
Rubis : 25
Réserve de marche : 44 h
Boîtier :
Matériaux : céramique, titane
Verre : saphir, bombé, antireflet, protégé contre les chutes de pression
Couronne : vissée
Etanchéité : 6 bars
Diamètre : 44mm
Hauteur : 15,9mm
Poids : 109 grammes
Pour aller plus loin, lire aussi :
Double Chronographe Edition TOP GUN : IWC lance une nouvelle montre d'aviateur
Mouvement à remontage automatique :
Calibre : 79320
Alternances : 28 800/ h / 4 Hz
Rubis : 25
Réserve de marche : 44 h
Boîtier :
Matériaux : céramique, titane
Verre : saphir, bombé, antireflet, protégé contre les chutes de pression
Couronne : vissée
Etanchéité : 6 bars
Diamètre : 44mm
Hauteur : 15,9mm
Poids : 109 grammes
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