La Da Vinci Automatic de 1969 : certains voient en elle un défi lancé aux designers, d’autres, l’expression ultime d’un langage formel d’avant-garde.
La première montre d’IWC qui arbore le nom du génie italien de la Renaissance a causé une véritable sensation, lors de sa première au Salon de l’Horlogerie de Bâle, et a en tout cas été le messager d’une révolution en ce qui concerne sa technique horlogère.
Equipée du premier mouvement à quartz Bêta 21 fabriqué en série après avoir été mis au point avec le concours de quelques fabricants de montres suisses renommés, elle aura au moins posé de nouveaux jalons en termes de précision de marche en 1969/70.
La première montre d’IWC qui arbore le nom du génie italien de la Renaissance a causé une véritable sensation, lors de sa première au Salon de l’Horlogerie de Bâle, et a en tout cas été le messager d’une révolution en ce qui concerne sa technique horlogère.
Equipée du premier mouvement à quartz Bêta 21 fabriqué en série après avoir été mis au point avec le concours de quelques fabricants de montres suisses renommés, elle aura au moins posé de nouveaux jalons en termes de précision de marche en 1969/70.
Elle mesurait le temps avec une précision dix fois plus grande qu’un mouvement de chronomètre contrôlé. Un quartz à oscillation de relativement grande taille stimulait un vibrateur électromagnétique qui entraînait, par de fins cliquets à rubis, une roue à 250 dents tournant plus d’une fois par seconde. Cette transmission des oscillations présentait encore une certaine similitude avec les montres à diapason, qui connaissaient un grand succès à cette époque, à ceci près que la Bêta 21 ne bourdonnait pas de façon aussi perceptible.
IWC s’est donné énormément de mal pour habiller avec une élégance particulière cette première matérialisation d’une technologie nouvelle. Mais elle aussi a divisé les esprits. En effet, le triomphe des mouvements à quartz avec moteur pas à pas, bientôt fabriqués à bon marché à l’échelle industrielle, remettait en question l’existence même de l’artisanat de l’horlogerie traditionnel. C’est pourquoi, en dernier ressort, IWC a rejeté le quartz, mouvement « sans âme », et a au contraire, pour la deuxième Da Vinci de 1985, déjà opté sans ambiguïté pour la mécanique ultra-perfectionnée.
Mais la montre originale de 1969, dans son boîtier bien spécifique avec ses angles et ses arêtes, les longs indices bâton et les aiguilles à poutres sans fioritures, reste un témoin de l’histoire de son époque sur le plan d’un design qui revit aujourd’hui en tant qu’édition
vintage. Un témoin de son temps que l’on reconnaît immédiatement et qui est, aujourd’hui, déjà presque de nouveau une preuve de modernité.
Mais il était hors de question d’équiper la Da Vinci Automatic d’un mouvement à quartz
–ceci aurait contrevenu aux principes et ambitions techniques d’IWC. Elle aussi héberge le calibre de manufacture automatique 80111 avec le remontoir Pellaton éprouvé.
IWC s’est donné énormément de mal pour habiller avec une élégance particulière cette première matérialisation d’une technologie nouvelle. Mais elle aussi a divisé les esprits. En effet, le triomphe des mouvements à quartz avec moteur pas à pas, bientôt fabriqués à bon marché à l’échelle industrielle, remettait en question l’existence même de l’artisanat de l’horlogerie traditionnel. C’est pourquoi, en dernier ressort, IWC a rejeté le quartz, mouvement « sans âme », et a au contraire, pour la deuxième Da Vinci de 1985, déjà opté sans ambiguïté pour la mécanique ultra-perfectionnée.
Mais la montre originale de 1969, dans son boîtier bien spécifique avec ses angles et ses arêtes, les longs indices bâton et les aiguilles à poutres sans fioritures, reste un témoin de l’histoire de son époque sur le plan d’un design qui revit aujourd’hui en tant qu’édition
vintage. Un témoin de son temps que l’on reconnaît immédiatement et qui est, aujourd’hui, déjà presque de nouveau une preuve de modernité.
Mais il était hors de question d’équiper la Da Vinci Automatic d’un mouvement à quartz
–ceci aurait contrevenu aux principes et ambitions techniques d’IWC. Elle aussi héberge le calibre de manufacture automatique 80111 avec le remontoir Pellaton éprouvé.
Spécificités techniques de la Da Vinci vintage
Ref. IW5461 : Da Vinci Automatic
Modèle avec mouvement automatique calibre 80111 à remontoir Pellaton, variante en platine limitée à 500 exemplaires
Mouvement
Calibre 80111
Alternances 28 800/h / 4 Hz
Rubis 28
Réserve de marche 44 h
Boîtier
Matières platine, acier
Verre saphir, bombé, antireflet
Fond transparent saphir
Cadrans argenté, noir
Diamètre 42mm
Hauteur 13,5mm
Etanchéité 3 bars
Poids
Montre en platine avec bracelet croco noir 166 g
Montre en acier avec bracelet croco noir 115 g
Modèle avec mouvement automatique calibre 80111 à remontoir Pellaton, variante en platine limitée à 500 exemplaires
Mouvement
Calibre 80111
Alternances 28 800/h / 4 Hz
Rubis 28
Réserve de marche 44 h
Boîtier
Matières platine, acier
Verre saphir, bombé, antireflet
Fond transparent saphir
Cadrans argenté, noir
Diamètre 42mm
Hauteur 13,5mm
Etanchéité 3 bars
Poids
Montre en platine avec bracelet croco noir 166 g
Montre en acier avec bracelet croco noir 115 g