La Portugaise chronographe en or rouge
La Portugaise chronographe mesure les temps chronométrés avec élégance et au huitième de seconde près.
Le cadran clairement lisible allie exigences sportives et design raffiné. Il doit son harmonie aux proportions idéales des aiguilles « feuilles » des heures et des minutes, aux chiffres arabes en appliques et aux totaliseurs en retrait.
Une couronne facile à utiliser et les poussoirs caractéristiques des chronographes complètent l’ensemble parfaitement bien proportionné.
Pour cette fin d’année 2009, une nouvelle version de ce chronographe mythique se pare d’un boîtier en or rouge avec un fond noir sur bracelet en croco noir.
Prix de vente public conseillé : 12 500 euros
Le cadran clairement lisible allie exigences sportives et design raffiné. Il doit son harmonie aux proportions idéales des aiguilles « feuilles » des heures et des minutes, aux chiffres arabes en appliques et aux totaliseurs en retrait.
Une couronne facile à utiliser et les poussoirs caractéristiques des chronographes complètent l’ensemble parfaitement bien proportionné.
Pour cette fin d’année 2009, une nouvelle version de ce chronographe mythique se pare d’un boîtier en or rouge avec un fond noir sur bracelet en croco noir.
Prix de vente public conseillé : 12 500 euros
La portugaise automatique 7 jours de réserve de marche
La Portugaise automatique vogue depuis 2004 sur la vague du succès. Le calibre de manufacture IWC 51011, avec remontage Pellaton et réserve de marche de 7 jours, témoigne des prouesses de l’horlogerie mécanique.
Son cadran au design équilibré presque symétrique, a depuis longtemps imposé un style.
Les aiguilles feuilles élancées, les chiffres arabes en appliques, la minuterie chemin de fer et surtout la seconde à « 9 heures » rappellent aux connaisseurs la montre de poche Lépine dont elle est issue.
Aujourd’hui, une nouvelle variante vient enrichir la gamme. La Portugaise automatique est proposée en acier, avec un cadran argenté et des aiguilles et appliques plaqué or. Son boîtier de 42, 3 mm convient également aux poignets plus fins.
Prix de vente public conseillé : 9 350 euros
Son cadran au design équilibré presque symétrique, a depuis longtemps imposé un style.
Les aiguilles feuilles élancées, les chiffres arabes en appliques, la minuterie chemin de fer et surtout la seconde à « 9 heures » rappellent aux connaisseurs la montre de poche Lépine dont elle est issue.
Aujourd’hui, une nouvelle variante vient enrichir la gamme. La Portugaise automatique est proposée en acier, avec un cadran argenté et des aiguilles et appliques plaqué or. Son boîtier de 42, 3 mm convient également aux poignets plus fins.
Prix de vente public conseillé : 9 350 euros
La Portugaise : une montre mythique
A la fin des années 30, deux importateurs de montres portugais en quête de précision technique frappèrent à la porte de la manufacture de Schaffhausen. Ils commandèrent des montres bracelets aux boîtiers en acier dont la précision puisse égaler celle d’un chronomètre de marine.
Vu qu’a cette époque, ce vœu n’était réalisable qu’en recourant à un mouvement de montre de poche, IWC intégra un mouvement de montre savonnette (ou la couronne de remontoir se trouvait de toute façon du coté droit), dans un boîtier de montre-bracelet. La première Portugaise de l’année 1939 fut à l’origine d’une famille de montre IWC qui, par leur précision, leurs dimensions et leur mécanique sophistiquée, font le bonheur des amateurs de garde-temps depuis plus de 70 ans.
Vu qu’a cette époque, ce vœu n’était réalisable qu’en recourant à un mouvement de montre de poche, IWC intégra un mouvement de montre savonnette (ou la couronne de remontoir se trouvait de toute façon du coté droit), dans un boîtier de montre-bracelet. La première Portugaise de l’année 1939 fut à l’origine d’une famille de montre IWC qui, par leur précision, leurs dimensions et leur mécanique sophistiquée, font le bonheur des amateurs de garde-temps depuis plus de 70 ans.