De nos jours, pour répondre à la demande d’une clientèle plus jeune, toutes les marques de chaussures haut de gamme se doivent de proposer au sein de leur collection des modèles de sneakers. C’est vrai pour Berluti, John Lobb, Aubercy, mais également J.M. Weston.
Ce qui d’ailleurs, ne les dérange pas plus que ça, vu que les marges sont nettement supérieures que sur les souliers en cuir plus classiques ! Mais ceci est une autre histoire…
Cela fait déjà plusieurs années que la chausseur limougeaud propose des baskets au sein de ses collections. Mais jusqu’à maintenant, ces modèles étaient tous sous-traités et n’étaient donc pas fabriqués à Limoges. Si cela ne dérange pas l’acheteur « lambda », cela gênait tout de même les puristes.
Ce qui d’ailleurs, ne les dérange pas plus que ça, vu que les marges sont nettement supérieures que sur les souliers en cuir plus classiques ! Mais ceci est une autre histoire…
Cela fait déjà plusieurs années que la chausseur limougeaud propose des baskets au sein de ses collections. Mais jusqu’à maintenant, ces modèles étaient tous sous-traités et n’étaient donc pas fabriqués à Limoges. Si cela ne dérange pas l’acheteur « lambda », cela gênait tout de même les puristes.
Alors que Roland Garros démarre, J.M. Weston partenaire de ce grand rendez-vous du tennis depuis six ans, présente une paire de chaussures dédiée à l’évènement*.
Cette année, il s’agit de baskets s’inspirant du premier modèle dédié à la pratique du tennis lancé par la marque en 1938 et retrouvé au sein des archives JMW. D’où son look résolument rétro !
Plus concrètement, cette paire de chaussure remise au goût du jour par Olivier Saillard, directeur artistique de JM Weston, est constituée de toile de coton « terre battue » doublée de cuir de veau sur semelles en caoutchouc. Précisons que ce modèle est ressemelable une fois.
Cette année, il s’agit de baskets s’inspirant du premier modèle dédié à la pratique du tennis lancé par la marque en 1938 et retrouvé au sein des archives JMW. D’où son look résolument rétro !
Plus concrètement, cette paire de chaussure remise au goût du jour par Olivier Saillard, directeur artistique de JM Weston, est constituée de toile de coton « terre battue » doublée de cuir de veau sur semelles en caoutchouc. Précisons que ce modèle est ressemelable une fois.
Le tout, complété par des lacets en coton ou élastiques. On remarque également la première de propreté (avec fine couche de liège pour plus de confort et absorption de l’humidité) arborant une sérigraphie « motif terrain de tennis en perspective » signée J.M. Weston et Roland Garros
A noter que pour commercialiser cette basket « made in Limoges », la manufacture a dû s’équiper de nouvelles machines pour réaliser la couture particulière de la semelle : une couture latérale qui apparait sur le côté de la semelle. Compter 420 euros.
Jean-Philippe Tarot
*huit produits en tout : baskets, chaussettes et ceintures.
A noter que pour commercialiser cette basket « made in Limoges », la manufacture a dû s’équiper de nouvelles machines pour réaliser la couture particulière de la semelle : une couture latérale qui apparait sur le côté de la semelle. Compter 420 euros.
Jean-Philippe Tarot
*huit produits en tout : baskets, chaussettes et ceintures.
