Dans le monde de la plongée et des amateurs de montres de plongée, cette JB200 est une légende. Une légende marseillaise.
Cette nouvelle JB 200 a été développée par Montres Jacques Bianchi en partenariat avec Fabrice Pougez de chez MATWatches. Elle parvient de belle manière, à être un hommage et une remise au goût du jour du modèle historique développé par l’horloger marseillais Jacques Bianchi, au tout début des années 80.
On le sait, rééditer une montre historique n’est jamais facile. Beaucoup de marques, et même parmi les plus grandes s’y sont cassées les dents. Trop fidèle ou pas assez… Il n’est jamais évident de récréer une montre à l’identique. D’ailleurs, le faut-il ?
En effet, si le design peut rester peu ou prou le même, les aciers, les techniques, les matériaux ont évolué en quatre décennies. Dans ce contexte, on ne peut pas imaginer revenir en arrière sur certaines avancées technologiques, cela n’aurait aucun sens.
Cette nouvelle JB 200 a été développée par Montres Jacques Bianchi en partenariat avec Fabrice Pougez de chez MATWatches. Elle parvient de belle manière, à être un hommage et une remise au goût du jour du modèle historique développé par l’horloger marseillais Jacques Bianchi, au tout début des années 80.
On le sait, rééditer une montre historique n’est jamais facile. Beaucoup de marques, et même parmi les plus grandes s’y sont cassées les dents. Trop fidèle ou pas assez… Il n’est jamais évident de récréer une montre à l’identique. D’ailleurs, le faut-il ?
En effet, si le design peut rester peu ou prou le même, les aciers, les techniques, les matériaux ont évolué en quatre décennies. Dans ce contexte, on ne peut pas imaginer revenir en arrière sur certaines avancées technologiques, cela n’aurait aucun sens.
Après plusieurs mois de recherche et de développement, il a donc été décidé de rester fidèle à l’esprit historique de la JB 200 qui était en dotation dans la Marine Nationale, les amateurs apprécieront.
On retrouve ainsi le boîtier en acier de 42 mm évoquant le design caractéristique des « skin divers » des années 70, sa couronne « destro » déportée à gauche, son cadran noir décoré de la silhouette d’un grand plongeur, son étanchéité à 200 mètres, ses index luminescents et ses aiguilles extrêmement lisibles.
Elle est véritablement « dans son jus » comme disent les collectionneurs. Dans son jus, mais dans des matériaux contemporains. Dans son jus mais sans la date ; et ce n’est pas un mal ! Et enfin, « last but not least », le calibre quartz à l’origine (France-Ébauches pour les premières séries) est ici remplacé par un mouvement mécanique automatique. Encore une chance !
Ce changement de « moteur » a entrainé une légère modification des proportions du boitier en acier 316L même si le diamètre hors-couronne de 42 mm reste inchangé avec toujours sa couronne vissée à 9h.
Pour autant, un long travail d’ajustement a été nécessaire pour conserver l’esprit des formes historiques et les exigences techniques imposées par l’intégration d’un mouvement automatique. Le résultat est « époustouflant » pour une montre de ce prix-là, n’ayons pas peur des mots.
On retrouve ainsi le boîtier en acier de 42 mm évoquant le design caractéristique des « skin divers » des années 70, sa couronne « destro » déportée à gauche, son cadran noir décoré de la silhouette d’un grand plongeur, son étanchéité à 200 mètres, ses index luminescents et ses aiguilles extrêmement lisibles.
Elle est véritablement « dans son jus » comme disent les collectionneurs. Dans son jus, mais dans des matériaux contemporains. Dans son jus mais sans la date ; et ce n’est pas un mal ! Et enfin, « last but not least », le calibre quartz à l’origine (France-Ébauches pour les premières séries) est ici remplacé par un mouvement mécanique automatique. Encore une chance !
Ce changement de « moteur » a entrainé une légère modification des proportions du boitier en acier 316L même si le diamètre hors-couronne de 42 mm reste inchangé avec toujours sa couronne vissée à 9h.
Pour autant, un long travail d’ajustement a été nécessaire pour conserver l’esprit des formes historiques et les exigences techniques imposées par l’intégration d’un mouvement automatique. Le résultat est « époustouflant » pour une montre de ce prix-là, n’ayons pas peur des mots.
« Ce long travail d’étude et de prototypage est nécessaire, indispensable » note Fabrice Pougez. « Développer ce projet aux côtés de Jacques Bianchi et Simo Tber dépasse les contingences techniques, c’est du pur plaisir ! ».
De fait, chaque détail de cette nouvelle pièce a été réfléchi, débattu, jour après jour, nuit après nuit, sans discontinuer. « Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage » pourrait être l’adage de Fabrice Pougez qui ne sort jamais une montre tant qu’il n’est pas 100% satisfait du résultat.
Le calibre de cette JB200 version 2021, est un Seiko NH35 dont la robustesse, la fiabilité et la précision sont avérées. Tous les amateurs d’horlogerie le connaissent et comptent sur lui à longueur d’années dans une très large palette de modèles et de marques.
L’idée était ici de monter en gamme avec un mouvement automatique éprouvé, sans toutefois égratigner la magie horlogère de la pièce d’origine. Tout en restant dans une gamme de prix des plus contenues. A ce titre, le ressenti qualité-prix s’avère largement supérieur aux 595 euros du tarif de lancement et même très supérieur aux 980 euros du prix final. Alors attention, l’essayer, c’est l’adopter. On vous aura prévenu.
De fait, chaque détail de cette nouvelle pièce a été réfléchi, débattu, jour après jour, nuit après nuit, sans discontinuer. « Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage » pourrait être l’adage de Fabrice Pougez qui ne sort jamais une montre tant qu’il n’est pas 100% satisfait du résultat.
Le calibre de cette JB200 version 2021, est un Seiko NH35 dont la robustesse, la fiabilité et la précision sont avérées. Tous les amateurs d’horlogerie le connaissent et comptent sur lui à longueur d’années dans une très large palette de modèles et de marques.
L’idée était ici de monter en gamme avec un mouvement automatique éprouvé, sans toutefois égratigner la magie horlogère de la pièce d’origine. Tout en restant dans une gamme de prix des plus contenues. A ce titre, le ressenti qualité-prix s’avère largement supérieur aux 595 euros du tarif de lancement et même très supérieur aux 980 euros du prix final. Alors attention, l’essayer, c’est l’adopter. On vous aura prévenu.
La silhouette de ce grand plongeur, l’oeil rivé sur sa montre -forcément-, est la marque de fabrique et la singularité historique de la JB 200. Le nouveau modèle sera évidemment fidèle à l’ancien sur ce point graphique qui signe incontestablement l’originalité de cette plongeuse. La présence (ou pas) et la taille du plongeur ont été sujets à discussion, mais finalement, il était impossible qu’il n’apparaisse pas sur le cadran dans sa taille d’origine !
Les index et les aiguilles ne sont plus -bien évidemment- en tritium mais chargés d’un Superluminova de teinte ivoire, comme légèrement patinés par le temps. « Des dizaines de tests et d’expérimentations ont été nécessaires auprès de notre fournisseur suisse pour trouver la couleur parfaite » souligne Jacques Bianchi.
De la même dimension que celui d’origine, le cadran noir est d’une texture grainée pour accentuer les jeux d’ombres et de lumières. Le design des aiguilles – bâton pour les heures, arrow pour les minutes et square lollipop pour les secondes – a été conservé.
On remarque cependant que la taille des index a été légèrement revue à la hausse pour une meilleure lisibilité. Quant à l’indication « Jacques Bianchi Marseille », elle apparaît à 6h, comme un clin d’oeil à l’emplacement typographique des spécifications techniques des montres de plongée professionnelles.
Les index et les aiguilles ne sont plus -bien évidemment- en tritium mais chargés d’un Superluminova de teinte ivoire, comme légèrement patinés par le temps. « Des dizaines de tests et d’expérimentations ont été nécessaires auprès de notre fournisseur suisse pour trouver la couleur parfaite » souligne Jacques Bianchi.
De la même dimension que celui d’origine, le cadran noir est d’une texture grainée pour accentuer les jeux d’ombres et de lumières. Le design des aiguilles – bâton pour les heures, arrow pour les minutes et square lollipop pour les secondes – a été conservé.
On remarque cependant que la taille des index a été légèrement revue à la hausse pour une meilleure lisibilité. Quant à l’indication « Jacques Bianchi Marseille », elle apparaît à 6h, comme un clin d’oeil à l’emplacement typographique des spécifications techniques des montres de plongée professionnelles.
Unidirectionnelle à 60 clics, la lunette offre un joli cliquetis (l’une des premières choses que les fans de montres de plongée vérifient) et reprend la graduation typique du modèle historique des années 80 ; ses chiffres et sa minuterie étant réalisés en Superluminova de la même teinte ivoire que celle des aiguilles et des index. Bref, tout est raccord, tout est cohérent dans le moindre détail.
Enfin, le réhaut incliné traité poli-miroir d’origine a été reproduit à l’identique afin de maximiser les reflets de luminosité sur le cadran (si cela peut déranger certains, et cela peut se comprendre les pieds au sec sur la terre ferme, c’est important sous l’eau pour la lisibilité car cela permet « d’éclairer » le cadran). L’ensemble est protégé par un verre saphir.
Pour coller à l’esprit des années 80, cette nouvelle JB 200 est équipée d’un bracelet en caoutchouc de type Tropic noir, caractéristique de l’époque de sa naissance. Le fait qu’il soit en 20 mm de largeur (et non 22 mm) permet de conserver l’aspect vintage de la pièce avec cette très légère « disproportion » entre la boite et le strap qui renforce le charme de cette pièce !
Disponible exclusivement en pré-commande sur Kickstarter à partir mardi 15 juin.
Enfin, le réhaut incliné traité poli-miroir d’origine a été reproduit à l’identique afin de maximiser les reflets de luminosité sur le cadran (si cela peut déranger certains, et cela peut se comprendre les pieds au sec sur la terre ferme, c’est important sous l’eau pour la lisibilité car cela permet « d’éclairer » le cadran). L’ensemble est protégé par un verre saphir.
Pour coller à l’esprit des années 80, cette nouvelle JB 200 est équipée d’un bracelet en caoutchouc de type Tropic noir, caractéristique de l’époque de sa naissance. Le fait qu’il soit en 20 mm de largeur (et non 22 mm) permet de conserver l’aspect vintage de la pièce avec cette très légère « disproportion » entre la boite et le strap qui renforce le charme de cette pièce !
Disponible exclusivement en pré-commande sur Kickstarter à partir mardi 15 juin.