Ce nouveau garde-temps associe une ergonomie maximale à une précision et à une fiabilité hors pair. Plusieurs innovations font de cette montre un instrument dédié aux explorateurs de l’extrême : un sélecteur de fonctions intégré à la couronne au maniement aisé, un compteur digital breveté pour indiquer les minutes sautantes du chronographe, un stop-seconde manuel, une réserve de marche circulaire et une fonction GMT qui se consulte d’un simple coup d’oeil.
En hommage à la Geophysic, les ingénieurs de Jaeger-LeCoultre se sont attaqués à un problème aussi ancien que l’horlogerie elle-même : les irrégularités constatées dans la mesure du temps sous l’effet des champs magnétiques. En étroite collaboration avec des physiciens, ils ont mis au point des solutions inédites pour soustraire le mécanisme horloger à l’influence pernicieuse du magnétisme.
Dans cet esprit, ce mouvement est abrité dans un robuste boîtier, confectionné dans l’alliage de titane TiVan15, doté d’une lunette high-tech en céramique ultra-résistante aux rayures. Des poussoirs spécialement dessinés pour garantir un confort d’utilisation optimal offrent une large surface recouverte de cannelures en caoutchouc, et font office de protège-couronne. Côté bracelet, un système de changement rapide est intégré dans le fond du boitier, et une nouvelle boucle à double ardillon bénéficie d’un réglage de longueur inédit assurant un parfait ajustement du bracelet au poignet.
Afin de tester les qualités de la Master Compressor Extreme LAB 2, la manufacture n’a pas hésité à soumettre la montre à un test grandeur nature, dans les sévères conditions qui prévalent en haute altitude, au cours d’une expédition dans l’Himalaya à la conquête d’un sommet vierge qui a été baptisé à l’occasion « Mont Antoine LeCoultre ».
En hommage à la Geophysic, les ingénieurs de Jaeger-LeCoultre se sont attaqués à un problème aussi ancien que l’horlogerie elle-même : les irrégularités constatées dans la mesure du temps sous l’effet des champs magnétiques. En étroite collaboration avec des physiciens, ils ont mis au point des solutions inédites pour soustraire le mécanisme horloger à l’influence pernicieuse du magnétisme.
Dans cet esprit, ce mouvement est abrité dans un robuste boîtier, confectionné dans l’alliage de titane TiVan15, doté d’une lunette high-tech en céramique ultra-résistante aux rayures. Des poussoirs spécialement dessinés pour garantir un confort d’utilisation optimal offrent une large surface recouverte de cannelures en caoutchouc, et font office de protège-couronne. Côté bracelet, un système de changement rapide est intégré dans le fond du boitier, et une nouvelle boucle à double ardillon bénéficie d’un réglage de longueur inédit assurant un parfait ajustement du bracelet au poignet.
Afin de tester les qualités de la Master Compressor Extreme LAB 2, la manufacture n’a pas hésité à soumettre la montre à un test grandeur nature, dans les sévères conditions qui prévalent en haute altitude, au cours d’une expédition dans l’Himalaya à la conquête d’un sommet vierge qui a été baptisé à l’occasion « Mont Antoine LeCoultre ».
Une manipulation aisée et précise
La Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic avec son second fuseau horaire a été conçue pour être le fidèle compagnon des grandes aventures. Afin d’assurer précision et fiabilité dans toutes les circonstances, les horlogers de la manufacture ont établi un cahier des charges de nature à simplifier la manipulation tout en garantissant une exactitude absolue. Pour accéder aux fonctions dans toutes les conditions, ils ont mis au point un sélecteur de fonctions et un mécanisme de stop secondes indépendant.
Le sélecteur de fonctions
Activé par un poussoir intégré dans la couronne, le sélecteur de fonctions permet d’ajuster toutes les fonctions sans recourir au délicat tirage de la couronne. Une fois la fonction sélectionnée, il suffit de tourner la couronne pour procéder au réglage. Dans sa position « neutre », la couronne permet de remonter les barillets. Une pression permet d’atteindre la position pour régler l’heure du second fuseau horaire ainsi que de la date. Une pression supplémentaire commute la couronne pour l’ajustage de l’heure du fuseau principal. Une pression successive fait revenir le système à sa position initiale. Ce système qui rend obsolète le tirage de la couronne, assure une étanchéité hors pair sans recourir à la traditionnelle clé de compression.
Le dispositif stop secondes
En position mise à l’heure, l’aiguille des secondes poursuit sa progression et la précision de marche de la montre n’est donc pas altérée. Pour un réglage précis au top horaire, il suffit d’activer la gâchette située sur le flanc gauche du boîtier. Un double mouvement de coulissement et de pression immobilise l’aiguille des secondes, qui reprendra sa course au relâchement de la gâchette. Cette manipulation en deux étapes –le coulissement et la pression– permet d’éviter tout actionnement accidentel.
La réserve de marche
Les fonctions d’une montre-bracelet dépendent à l’évidence de la force transmise au mouvement. Le barillet de la Master Compressor Extreme LAB2 Tribute to Geophysic garantit un approvisionnement constant en énergie pendant 60 heures. Pour consulter à tout moment le niveau d’énergie disponible, un nouvel affichage radial breveté, à la lecture aussi simple qu’intuitive, est disposé sur le pourtour de la partie supérieure du cadran. Au fur et à mesure que la réserve de marche s’épuise, les différents segments de l’indication disposés sur 180° passent du blanc au rouge. Ce mode d’affichage unique aux dimensions généreuses facilite une consultation instantanée du degré d’armage du barillet, même lors de mauvaises conditions météorologiques ou par faible luminosité.
Le compteur digital des minutes du chronographe
Pendant les activités d’endurance, le compteur des minutes du chronographe revêt une importance tout aussi cruciale que l’aiguille des secondes. Afin de garantir une lisibilité optimale sur un simple coup d’oeil, les horlogers de la manufacture ont résolu d’adopter un affichage d’une lecture immédiate : situé à 12 heures, un grand compteur à 2 chiffres affiche les minutes du chronographe. Son fonctionnement repose sur un mécanisme sautant instantané, activé au moment précis où l’aiguille des secondes achève une révolution. Le totalisateur des heures du chronographe est situé à 9 heures, coaxialement à la seconde du mouvement.
Un design pour une utilisation simple et fiable
Inspirée par la Master Compressor Extreme LAB, la construction du boîtier présente une ergonomie optimale. Des matériaux high-tech et des formes audacieuses associés à la structure en double cerclage du boîtier confèrent à ce chronographe superlatif tous les attributs emblématiques d’un instrument à la pointe du progrès. La lunette noire en céramique et le verre saphir forment une protection supérieure inrayable. Pour la carrure, les ingénieurs ont retenu une construction en deux parties sur laquelle un brancard externe sert d’attache au bracelet et de support au boîtier interne qui abrite le mouvement. Ce système conjugue robustesse et légèreté grâce à un nouvel alliage, le TiVan15. Composé de titane et de vanadium, cet alliage offre une résistance à la traction de 15% par rapport aux alliages traditionnels de titane. L’apparence et la construction de la montre témoignent ainsi d’une capacité à braver les environnements les plus difficiles et les plus rigoureux.
Le cadran largement ajouré permet de contempler, à travers le verre saphir, les détails de la structure du calibre. Le revêtement en PVD noir de divers composants du mouvement forme un saisissant contraste avec les chiffres et les aiguilles afin de donner à ce chronographe technique une lisibilité maximale en toute situation.
Des poussoirs de conception révolutionnaire
La conception novatrice des poussoirs assure la manipulation aisée de la montre en toute situation. Les deux poussoirs traditionnels sont recouverts et protégés par deux bascules métalliques en forme de L, pivotant autour de la couronne. Ils offrent ainsi une large surface de contact garante d’une exceptionnelle aisance d’utilisation tout en protégeant la couronne et son sélecteur de fonctions intégré. La surface supérieure des poussoirs est revêtue de cannelures en caoutchouc pour prévenir tout dérapage involontaire des doigts dans les conditions météorologiques les plus sévères.
Le deuxième fuseau horaire
Sur une montre d’explorateur, la présence d’une fonction GMT représente un attribut fondamental. Comme le veut une tradition bien établie sur les calibres Jaeger-LeCoultre, le second fuseau horaire, qui indique l’heure du lieu de résidence habituel, est illustré par une deuxième aiguille des heures au centre, complétée d’un affichage 24 heures situé à 6 heures. L’ajustement du fuseau de voyage s’effectue par l’intermédiaire du sélecteur de fonctions intégré à la couronne. Il entraîne avec lui la date, aussi bien en avant qu’en arrière.
Le sélecteur de fonctions
Activé par un poussoir intégré dans la couronne, le sélecteur de fonctions permet d’ajuster toutes les fonctions sans recourir au délicat tirage de la couronne. Une fois la fonction sélectionnée, il suffit de tourner la couronne pour procéder au réglage. Dans sa position « neutre », la couronne permet de remonter les barillets. Une pression permet d’atteindre la position pour régler l’heure du second fuseau horaire ainsi que de la date. Une pression supplémentaire commute la couronne pour l’ajustage de l’heure du fuseau principal. Une pression successive fait revenir le système à sa position initiale. Ce système qui rend obsolète le tirage de la couronne, assure une étanchéité hors pair sans recourir à la traditionnelle clé de compression.
Le dispositif stop secondes
En position mise à l’heure, l’aiguille des secondes poursuit sa progression et la précision de marche de la montre n’est donc pas altérée. Pour un réglage précis au top horaire, il suffit d’activer la gâchette située sur le flanc gauche du boîtier. Un double mouvement de coulissement et de pression immobilise l’aiguille des secondes, qui reprendra sa course au relâchement de la gâchette. Cette manipulation en deux étapes –le coulissement et la pression– permet d’éviter tout actionnement accidentel.
La réserve de marche
Les fonctions d’une montre-bracelet dépendent à l’évidence de la force transmise au mouvement. Le barillet de la Master Compressor Extreme LAB2 Tribute to Geophysic garantit un approvisionnement constant en énergie pendant 60 heures. Pour consulter à tout moment le niveau d’énergie disponible, un nouvel affichage radial breveté, à la lecture aussi simple qu’intuitive, est disposé sur le pourtour de la partie supérieure du cadran. Au fur et à mesure que la réserve de marche s’épuise, les différents segments de l’indication disposés sur 180° passent du blanc au rouge. Ce mode d’affichage unique aux dimensions généreuses facilite une consultation instantanée du degré d’armage du barillet, même lors de mauvaises conditions météorologiques ou par faible luminosité.
Le compteur digital des minutes du chronographe
Pendant les activités d’endurance, le compteur des minutes du chronographe revêt une importance tout aussi cruciale que l’aiguille des secondes. Afin de garantir une lisibilité optimale sur un simple coup d’oeil, les horlogers de la manufacture ont résolu d’adopter un affichage d’une lecture immédiate : situé à 12 heures, un grand compteur à 2 chiffres affiche les minutes du chronographe. Son fonctionnement repose sur un mécanisme sautant instantané, activé au moment précis où l’aiguille des secondes achève une révolution. Le totalisateur des heures du chronographe est situé à 9 heures, coaxialement à la seconde du mouvement.
Un design pour une utilisation simple et fiable
Inspirée par la Master Compressor Extreme LAB, la construction du boîtier présente une ergonomie optimale. Des matériaux high-tech et des formes audacieuses associés à la structure en double cerclage du boîtier confèrent à ce chronographe superlatif tous les attributs emblématiques d’un instrument à la pointe du progrès. La lunette noire en céramique et le verre saphir forment une protection supérieure inrayable. Pour la carrure, les ingénieurs ont retenu une construction en deux parties sur laquelle un brancard externe sert d’attache au bracelet et de support au boîtier interne qui abrite le mouvement. Ce système conjugue robustesse et légèreté grâce à un nouvel alliage, le TiVan15. Composé de titane et de vanadium, cet alliage offre une résistance à la traction de 15% par rapport aux alliages traditionnels de titane. L’apparence et la construction de la montre témoignent ainsi d’une capacité à braver les environnements les plus difficiles et les plus rigoureux.
Le cadran largement ajouré permet de contempler, à travers le verre saphir, les détails de la structure du calibre. Le revêtement en PVD noir de divers composants du mouvement forme un saisissant contraste avec les chiffres et les aiguilles afin de donner à ce chronographe technique une lisibilité maximale en toute situation.
Des poussoirs de conception révolutionnaire
La conception novatrice des poussoirs assure la manipulation aisée de la montre en toute situation. Les deux poussoirs traditionnels sont recouverts et protégés par deux bascules métalliques en forme de L, pivotant autour de la couronne. Ils offrent ainsi une large surface de contact garante d’une exceptionnelle aisance d’utilisation tout en protégeant la couronne et son sélecteur de fonctions intégré. La surface supérieure des poussoirs est revêtue de cannelures en caoutchouc pour prévenir tout dérapage involontaire des doigts dans les conditions météorologiques les plus sévères.
Le deuxième fuseau horaire
Sur une montre d’explorateur, la présence d’une fonction GMT représente un attribut fondamental. Comme le veut une tradition bien établie sur les calibres Jaeger-LeCoultre, le second fuseau horaire, qui indique l’heure du lieu de résidence habituel, est illustré par une deuxième aiguille des heures au centre, complétée d’un affichage 24 heures situé à 6 heures. L’ajustement du fuseau de voyage s’effectue par l’intermédiaire du sélecteur de fonctions intégré à la couronne. Il entraîne avec lui la date, aussi bien en avant qu’en arrière.
Caractéristiques techniques
Ce nouveau chronographe de 566 composants, intègre les derniers fruits des recherches conduites par la manufacture. Le Calibre 781 de Jaeger-LeCoultre comporte un chronographe commandé par une roue à colonnes alors que la précision du départ et de l’arrêt de la mesure est contrôlée par un embrayage vertical. Le grand balancier au moment d’inertie de 11,5 mg∙cm2 bat à un rythme de 28 800 alternances par heure et ses amplitudes ne varient que de manière marginale en cas de choc. Il est doté de vis de réglage à inertie variable.
L’absence de la raquette traditionnellement utilisée pour régler la fréquence du balancier supprime le risque d’un changement de position consécutif à un heurt violent. Le porte-piton est assuré par deux vis qui, une fois mises en place, sont fixées de manière définitive. Le spiral lui-même est doté d’un dispositif de protection particulier qui restreint son oscillation pendant les moments délicats, par exemple en cas de choc. Le pont de balancier est maintenu par deux points d’appui afin d’accroître sa résistance. Tous les composants de l’échappement et le ressort-spiral sont réalisés en silicium, un matériau très apprécié des horlogers car il associe légèreté, solidité et propriétés antimagnétiques.
Au chapitre de l’endurance, le rotor automatique, fixé sur des roulements à billes en céramique qui ne requièrent aucune lubrification, remonte le barillet de la montre jusqu’à assurer une réserve de marche de 60 heures. Toutes les pièces du mouvement sont décorées ou revêtues de PVD. A l’évidence, chaque Master Compressor Extreme LAB 2 doit apporter la preuve de ses performances en réussissant le redoutable test des 1.000 heures de Jaeger-LeCoultre destiné à en vérifier l’irréprochable fonctionnement dans toutes les circonstances.
Le magnétisme
Un champ magnétique est un champ de forces qui existe à l’état naturel ou issu d’une intervention humaine, par exemple par le passage du courant électrique à travers des fils ou des circuits. Ce phénomène peut altérer durablement la précision de marche d’un garde-temps, agissant sur les métaux ferreux. Dans notre environnement quotidien, une montre est exposée à un grand nombre de champs magnétiques, provoqués notamment par les téléphones mobiles, les ordinateurs, les écrans de télévision et les haut-parleurs. De plus, un mécanisme horloger ne réagit pas uniquement aux champs magnétiques, mais les accumule sous l’effet d’un phénomène appelé magnétisme rémanent. Même si elle est soustraite à ces influences, une montre conserve une sorte de « mémoire magnétique ».
Afin d’accroître au maximum la fiabilité d’une montre, il convient de protéger son mouvement des effets exercés par les champs magnétiques externes. Lors de leurs recherches, les horlogers et les ingénieurs de Jaeger-LeCoultre ont écarté d’office le traditionnel double-boîtier inséré à l’intérieur de la montre en raison de son encombrement et de son poids. De plus, le nombre important d’ouvertures sur le cadran ne pouvait être compatible avec une isolation magnétique efficace.
Ils sont finalement parvenus à apporter une solution très contemporaine à ce problème récurrent afin de protéger la partie du mouvement la plus sensible aux influences magnétiques en développant un échappement en silicium non sujet au magnétisme. Outre ses propriétés amagnétiques, ce matériau présente de nombreux avantages tels que l’absence de lubrification, un faible coefficient de frottement, un usinage d’une remarquable précision ainsi qu’une extrême légèreté.
Jaeger-LeCoultre a également consacré de nombreuses recherches aux matériaux du rouage. En collaboration avec des physiciens, les ingénieurs et les horlogers ont adopté un alliage particulier pour confectionner les derniers éléments du rouage qui précèdent l’échappement. Ce choix leur a permis de réduire dans une large mesure les risques de magnétisation sur le mouvement. Grâce à ces matériaux, la Master Compressor Extreme LAB 2 s’oppose aux champs magnétiques jusqu’à 240 gauss –une valeur quatre fois plus élevée que la norme ISO y relative et un résultat incomparablement supérieur à celui affiché par tout autre chronographe mécanique existant, sans pour autant enserrer le mouvement dans un volumineux boîtier interne. « La Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic dépasse ainsi de loin les exigences posées par la norme ISO 9010 qui stipule qu’un garde-temps peut se prévaloir de ses propriétés antimagnétiques s’il résiste à un champ de 60 gauss » précise encore la marque dans son communiqué.
Le système de bracelet
De conception innovante, le nouveau système de bracelet interchangeable intégré est commandé par une bascule située sur le fond du boîtier. Sa rotation libère l’attache du bracelet et offre ainsi la possibilité de le changer aisément. Le double bracelet en alligator garantit une fiabilité et une ergonomie maximales alors que sa double boucle ardillon sécurisée garantit un réglage de précision à deux positions entre chaque cran.
Une deuxième version de la Master Compressor Extreme LAB 2
Hormis la Master Compressor Extreme LAB 2 avec son boîtier en TiVan15, baptisée « Tribute to Geophysic » en hommage à sa célèbre devancière, la manufacture Jaeger-LeCoultre présente un deuxième modèle exclusif qui se distingue par une caractéristique spécifique : le brancard qui supporte le boîtier en TiVan15 est confectionné en or rose 18 carats. Légèrement plus lourd que la version entièrement en alliage de titane, le garde-temps s’adresse à tous ceux qui souhaitent arborer à leur poignet ce symbole traditionnel de l’élégance horlogère. Par le recours au métal précieux, ce boîtier offre un environnement différent au mouvement high-tech et le brancard en or rose révèle clairement que la montre est conçue pour une utilisation dans des conditions moins rigoureuses.
L’absence de la raquette traditionnellement utilisée pour régler la fréquence du balancier supprime le risque d’un changement de position consécutif à un heurt violent. Le porte-piton est assuré par deux vis qui, une fois mises en place, sont fixées de manière définitive. Le spiral lui-même est doté d’un dispositif de protection particulier qui restreint son oscillation pendant les moments délicats, par exemple en cas de choc. Le pont de balancier est maintenu par deux points d’appui afin d’accroître sa résistance. Tous les composants de l’échappement et le ressort-spiral sont réalisés en silicium, un matériau très apprécié des horlogers car il associe légèreté, solidité et propriétés antimagnétiques.
Au chapitre de l’endurance, le rotor automatique, fixé sur des roulements à billes en céramique qui ne requièrent aucune lubrification, remonte le barillet de la montre jusqu’à assurer une réserve de marche de 60 heures. Toutes les pièces du mouvement sont décorées ou revêtues de PVD. A l’évidence, chaque Master Compressor Extreme LAB 2 doit apporter la preuve de ses performances en réussissant le redoutable test des 1.000 heures de Jaeger-LeCoultre destiné à en vérifier l’irréprochable fonctionnement dans toutes les circonstances.
Le magnétisme
Un champ magnétique est un champ de forces qui existe à l’état naturel ou issu d’une intervention humaine, par exemple par le passage du courant électrique à travers des fils ou des circuits. Ce phénomène peut altérer durablement la précision de marche d’un garde-temps, agissant sur les métaux ferreux. Dans notre environnement quotidien, une montre est exposée à un grand nombre de champs magnétiques, provoqués notamment par les téléphones mobiles, les ordinateurs, les écrans de télévision et les haut-parleurs. De plus, un mécanisme horloger ne réagit pas uniquement aux champs magnétiques, mais les accumule sous l’effet d’un phénomène appelé magnétisme rémanent. Même si elle est soustraite à ces influences, une montre conserve une sorte de « mémoire magnétique ».
Afin d’accroître au maximum la fiabilité d’une montre, il convient de protéger son mouvement des effets exercés par les champs magnétiques externes. Lors de leurs recherches, les horlogers et les ingénieurs de Jaeger-LeCoultre ont écarté d’office le traditionnel double-boîtier inséré à l’intérieur de la montre en raison de son encombrement et de son poids. De plus, le nombre important d’ouvertures sur le cadran ne pouvait être compatible avec une isolation magnétique efficace.
Ils sont finalement parvenus à apporter une solution très contemporaine à ce problème récurrent afin de protéger la partie du mouvement la plus sensible aux influences magnétiques en développant un échappement en silicium non sujet au magnétisme. Outre ses propriétés amagnétiques, ce matériau présente de nombreux avantages tels que l’absence de lubrification, un faible coefficient de frottement, un usinage d’une remarquable précision ainsi qu’une extrême légèreté.
Jaeger-LeCoultre a également consacré de nombreuses recherches aux matériaux du rouage. En collaboration avec des physiciens, les ingénieurs et les horlogers ont adopté un alliage particulier pour confectionner les derniers éléments du rouage qui précèdent l’échappement. Ce choix leur a permis de réduire dans une large mesure les risques de magnétisation sur le mouvement. Grâce à ces matériaux, la Master Compressor Extreme LAB 2 s’oppose aux champs magnétiques jusqu’à 240 gauss –une valeur quatre fois plus élevée que la norme ISO y relative et un résultat incomparablement supérieur à celui affiché par tout autre chronographe mécanique existant, sans pour autant enserrer le mouvement dans un volumineux boîtier interne. « La Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic dépasse ainsi de loin les exigences posées par la norme ISO 9010 qui stipule qu’un garde-temps peut se prévaloir de ses propriétés antimagnétiques s’il résiste à un champ de 60 gauss » précise encore la marque dans son communiqué.
Le système de bracelet
De conception innovante, le nouveau système de bracelet interchangeable intégré est commandé par une bascule située sur le fond du boîtier. Sa rotation libère l’attache du bracelet et offre ainsi la possibilité de le changer aisément. Le double bracelet en alligator garantit une fiabilité et une ergonomie maximales alors que sa double boucle ardillon sécurisée garantit un réglage de précision à deux positions entre chaque cran.
Une deuxième version de la Master Compressor Extreme LAB 2
Hormis la Master Compressor Extreme LAB 2 avec son boîtier en TiVan15, baptisée « Tribute to Geophysic » en hommage à sa célèbre devancière, la manufacture Jaeger-LeCoultre présente un deuxième modèle exclusif qui se distingue par une caractéristique spécifique : le brancard qui supporte le boîtier en TiVan15 est confectionné en or rose 18 carats. Légèrement plus lourd que la version entièrement en alliage de titane, le garde-temps s’adresse à tous ceux qui souhaitent arborer à leur poignet ce symbole traditionnel de l’élégance horlogère. Par le recours au métal précieux, ce boîtier offre un environnement différent au mouvement high-tech et le brancard en or rose révèle clairement que la montre est conçue pour une utilisation dans des conditions moins rigoureuses.
Contexte historique – l’Année géophysique internationale
Les recherches dans le domaine des technologies et des instruments ont considérablement progressé au cours de la décennie 1950 et elles ont ouvert aux scientifiques des champs d’études d’une portée sans précédent. Les couches supérieures de l’atmosphère devenaient des sujets d’exploration grâce aux enregistreurs de rayons cosmiques, aux spectroscopes et aux ballons radio alors que les premiers ordinateurs étaient en mesure d’analyser de vastes compilations de données. Le lancement des premières fusées offrit enfin à l’humanité la possibilité de contempler notre planète depuis l’espace.
Toutefois, les données rassemblées lors de ces expériences se révélèrent souvent insuffisantes pour permettre la poursuite des recherches. La nécessité de disposer d’informations plus fiables et plus nombreuses sur les confins de la Terre incita en 1952 le Conseil international des unions scientifiques à proposer une série d’expériences géophysiques globales entre juillet 1957 et décembre 1958. L’idée de l’Année géophysique internationale (AGI) venait de naître : il était temps de prendre la mesure du monde.
Son ambition était de permettre aux chercheurs du monde entier de participer à une série d’observations coordonnées sur différents phénomènes géophysiques. En tout, 67 nations s’engagèrent à « étudier les phénomènes géophysiques et à recueillir des données en provenance de toutes les parties du monde afin de mener ces efforts, dans l’espace et le temps, sur une base coordonnée par domaine, en sorte de favoriser la collecte significative des résultats », ainsi que le statuait la National Academy of Sciences des Etats-Unis.
Les activités de l’Année géophysique internationale s’étendirent sur toute la surface du globe, d’un pôle à l’autre. Un important travail fut mené à bien dans les régions arctiques et équatoriales. Les fruits de ces recherches permirent d’améliorer les prévisions météorologiques, d’accomplir des progrès décisifs dans la connaissance des glaciers et de mieux comprendre l’activité sismique. La partie la plus remarquable de ce travail scientifique à large échelle était représentée par les programmes spatiaux des Etats-Unis et de l’URSS : le lancement de Spoutnik 1 et la fondation de la NASA demeurent des souvenirs vivants de l’Année géophysique internationale.
En accord avec les percées réalisées dans les sciences géophysiques, Jaeger-LeCoultre développa le Chronomètre Geophysic. Il était destiné à répondre aux demandes des chercheurs de l’époque, tant dans les laboratoires que les stations polaires. Les horlogers avaient l’ambition de présenter un instrument en mesure de résister aux conditions les plus diverses. Pour satisfaire à ces ambitions, le garde-temps à la précision chronométrique était doté d’une boîte conçue pour en assurer l’étanchéité, le protéger des influences exercées par les champs magnétiques et de l’impact des chocs.
Cette réalisation fut mise à l’honneur par la ville de Genève qui la choisit en 1958 pour distinguer deux citoyens américains en récompense de leur contribution à l’Année géophysique internationale. Ces deux personnalités étaient en effet parvenues à repousser les frontières de la connaissance et à démontrer des phénomènes dont la véracité n’avait pu encore être attestée : le commandant de l’U.S.S Nautilus, le premier sous-marin à avoir traversé en immersion le pôle Nord, et le commandant de l’U.S.S. Skate qui fit surface neuf fois à travers la banquise et fut le second submersible à atteindre le pôle.
Toutefois, les données rassemblées lors de ces expériences se révélèrent souvent insuffisantes pour permettre la poursuite des recherches. La nécessité de disposer d’informations plus fiables et plus nombreuses sur les confins de la Terre incita en 1952 le Conseil international des unions scientifiques à proposer une série d’expériences géophysiques globales entre juillet 1957 et décembre 1958. L’idée de l’Année géophysique internationale (AGI) venait de naître : il était temps de prendre la mesure du monde.
Son ambition était de permettre aux chercheurs du monde entier de participer à une série d’observations coordonnées sur différents phénomènes géophysiques. En tout, 67 nations s’engagèrent à « étudier les phénomènes géophysiques et à recueillir des données en provenance de toutes les parties du monde afin de mener ces efforts, dans l’espace et le temps, sur une base coordonnée par domaine, en sorte de favoriser la collecte significative des résultats », ainsi que le statuait la National Academy of Sciences des Etats-Unis.
Les activités de l’Année géophysique internationale s’étendirent sur toute la surface du globe, d’un pôle à l’autre. Un important travail fut mené à bien dans les régions arctiques et équatoriales. Les fruits de ces recherches permirent d’améliorer les prévisions météorologiques, d’accomplir des progrès décisifs dans la connaissance des glaciers et de mieux comprendre l’activité sismique. La partie la plus remarquable de ce travail scientifique à large échelle était représentée par les programmes spatiaux des Etats-Unis et de l’URSS : le lancement de Spoutnik 1 et la fondation de la NASA demeurent des souvenirs vivants de l’Année géophysique internationale.
En accord avec les percées réalisées dans les sciences géophysiques, Jaeger-LeCoultre développa le Chronomètre Geophysic. Il était destiné à répondre aux demandes des chercheurs de l’époque, tant dans les laboratoires que les stations polaires. Les horlogers avaient l’ambition de présenter un instrument en mesure de résister aux conditions les plus diverses. Pour satisfaire à ces ambitions, le garde-temps à la précision chronométrique était doté d’une boîte conçue pour en assurer l’étanchéité, le protéger des influences exercées par les champs magnétiques et de l’impact des chocs.
Cette réalisation fut mise à l’honneur par la ville de Genève qui la choisit en 1958 pour distinguer deux citoyens américains en récompense de leur contribution à l’Année géophysique internationale. Ces deux personnalités étaient en effet parvenues à repousser les frontières de la connaissance et à démontrer des phénomènes dont la véracité n’avait pu encore être attestée : le commandant de l’U.S.S Nautilus, le premier sous-marin à avoir traversé en immersion le pôle Nord, et le commandant de l’U.S.S. Skate qui fit surface neuf fois à travers la banquise et fut le second submersible à atteindre le pôle.
Chronomètre Geophysic
Lorsqu’en 1958 la manufacture Jaeger-LeCoultre lança son Chronomètre Geophysic, l’ancêtre de toutes les montres « extrêmes » de la Grande Maison, elle ouvrit de nouvelles perspectives sur la manière de concevoir un garde-temps en mesure de répondre aux attentes des scientifiques et des ingénieurs, dont les travaux requéraient des instruments aux performances et à la précision hors pair, même dans les conditions les plus difficiles. Dans ce domaine, le Chronomètre Geophysic présentait des atouts indéniables. Il résistait notamment à des champs magnétiques de 600 gauss –une valeur extraordinaire pour l’époque– et était doté d’un système perfectionné de résistance aux chocs.
Les développements ultérieurs de la Manufacture ont amplement démontré qu’ils étaient dignes de leur prestigieux ancêtre. En 2002, Jaeger-LeCoultre a décidé de créer une ligne consacrée à des montres de sport qui intégraient les dernières innovations techniques, à l’exemple de la Master Compressor dont les clés de compression permettaient de bloquer la couronne aisément et en toute sécurité.
En 2005, la Manufacture a présenté la Master Compressor Extreme, munie d’un système révolutionnaire d’absorption des chocs avant de redécouvrir en 2007 l’univers des montres de plongée avec l’intégration d’un profondimètre mécanique sur la Master Compressor Diving. La même année, la Jaeger-LeCoultre a démontré l’étendue de ses recherches dans le domaine de l’horlogerie mécanique en dévoilant la Master Compressor Extreme LAB. Dotée d’un boîtier spécialement construit pour résister aux chocs, la première montre à fonctionner entièrement sans lubrification éliminait enfin les problèmes liés à l’altération des propriétés de l’huile sous l’effet des variations de la température et faisait accomplir à l’horlogerie un pas de géant vers la perfection de la mesure du temps.
Certaines de ces montres ont réalisé des prouesses exceptionnelles dans des conditions extrêmes. La Master Compressor Diving GMT a ainsi plongé à 1080 mètres au large des côtes hawaïennes, attachée à la coque d’un sous-marin afin de démontrer sa fiabilité à une profondeur interdite à tout plongeur.
Les développements ultérieurs de la Manufacture ont amplement démontré qu’ils étaient dignes de leur prestigieux ancêtre. En 2002, Jaeger-LeCoultre a décidé de créer une ligne consacrée à des montres de sport qui intégraient les dernières innovations techniques, à l’exemple de la Master Compressor dont les clés de compression permettaient de bloquer la couronne aisément et en toute sécurité.
En 2005, la Manufacture a présenté la Master Compressor Extreme, munie d’un système révolutionnaire d’absorption des chocs avant de redécouvrir en 2007 l’univers des montres de plongée avec l’intégration d’un profondimètre mécanique sur la Master Compressor Diving. La même année, la Jaeger-LeCoultre a démontré l’étendue de ses recherches dans le domaine de l’horlogerie mécanique en dévoilant la Master Compressor Extreme LAB. Dotée d’un boîtier spécialement construit pour résister aux chocs, la première montre à fonctionner entièrement sans lubrification éliminait enfin les problèmes liés à l’altération des propriétés de l’huile sous l’effet des variations de la température et faisait accomplir à l’horlogerie un pas de géant vers la perfection de la mesure du temps.
Certaines de ces montres ont réalisé des prouesses exceptionnelles dans des conditions extrêmes. La Master Compressor Diving GMT a ainsi plongé à 1080 mètres au large des côtes hawaïennes, attachée à la coque d’un sous-marin afin de démontrer sa fiabilité à une profondeur interdite à tout plongeur.
L’Expédition Geophysic dans l’Himalaya
Fidèle à son passé horloger, Jaeger-LeCoultre a souhaité apporter la preuve de la résistance de la nouvelle Master Compressor Extreme LAB 2, avant même son lancement officiel.
En hommage à l’esprit de sa célèbre devancière, la manufacture lui a offert un test grandeur nature, destiné à illustrer l’extraordinaire fonctionnalité de la ligne Master Compressor.
En automne 2009, Jaeger-LeCoultre a parrainé « l’ Expédition Antoine LeCoultre », au cours de laquelle trois alpinistes chevronnés entendaient conquérir un sommet encore vierge de l’Himalaya. La Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic était l’une des quatre montres qui ont accompagné ces athlètes lors de leur ascension.
L’équipe se composait du célèbre grimpeur suisse Stéphane Schaffter, du sherpa pakistanais Little Karim Balti et du grand Apa Sherpa, l’athlète Népalais qui a gravi l’Everest à 19 reprises. Ils se sont élancés à la conquête d’un sommet très difficile techniquement, qui culmine à 6.589 mètres d’altitude, à proximité de cette montagne mythique. Après une ascension épuisante –ils ont dû affronter une tempête de neige dès leur arrivée sur le camp de base recouvert par 40 centimètres de neige fraîche– et sous la menace constante d’avalanches, ils sont enfin parvenus le 22 novembre 2009 au sommet qu’ils ont alors solennellement baptisé « Mont Antoine LeCoultre ».
Les alpinistes se fiaient entièrement à la précision d’instruments qui arboraient la signature Jaeger-LeCoultre : un chronomètre historique Geophysic de 1958, une Master Compressor Extreme LAB, une Master Compressor Extreme World Chronograph et la nouvelle Master Compressor Extreme LAB 2. Ils n’avaient pas uniquement l’intention d’ajouter un nouveau sommet à leur remarquable palmarès, mais entendaient mener cette aventure à bien dans l’esprit qui animait les grands grimpeurs des époques héroïques. Cette approche s’accorde parfaitement à la tradition de Jaeger-LeCoultre qui associe les concepts classiques de l’horlogerie aux technologies de pointe afin de répondre aux exigences de notre époque.
En hommage à l’esprit de sa célèbre devancière, la manufacture lui a offert un test grandeur nature, destiné à illustrer l’extraordinaire fonctionnalité de la ligne Master Compressor.
En automne 2009, Jaeger-LeCoultre a parrainé « l’ Expédition Antoine LeCoultre », au cours de laquelle trois alpinistes chevronnés entendaient conquérir un sommet encore vierge de l’Himalaya. La Master Compressor Extreme LAB 2 Tribute to Geophysic était l’une des quatre montres qui ont accompagné ces athlètes lors de leur ascension.
L’équipe se composait du célèbre grimpeur suisse Stéphane Schaffter, du sherpa pakistanais Little Karim Balti et du grand Apa Sherpa, l’athlète Népalais qui a gravi l’Everest à 19 reprises. Ils se sont élancés à la conquête d’un sommet très difficile techniquement, qui culmine à 6.589 mètres d’altitude, à proximité de cette montagne mythique. Après une ascension épuisante –ils ont dû affronter une tempête de neige dès leur arrivée sur le camp de base recouvert par 40 centimètres de neige fraîche– et sous la menace constante d’avalanches, ils sont enfin parvenus le 22 novembre 2009 au sommet qu’ils ont alors solennellement baptisé « Mont Antoine LeCoultre ».
Les alpinistes se fiaient entièrement à la précision d’instruments qui arboraient la signature Jaeger-LeCoultre : un chronomètre historique Geophysic de 1958, une Master Compressor Extreme LAB, une Master Compressor Extreme World Chronograph et la nouvelle Master Compressor Extreme LAB 2. Ils n’avaient pas uniquement l’intention d’ajouter un nouveau sommet à leur remarquable palmarès, mais entendaient mener cette aventure à bien dans l’esprit qui animait les grands grimpeurs des époques héroïques. Cette approche s’accorde parfaitement à la tradition de Jaeger-LeCoultre qui associe les concepts classiques de l’horlogerie aux technologies de pointe afin de répondre aux exigences de notre époque.
Master Compressor Extreme LAB 2 : caractéristiques techniques
Calibres Jaeger-LeCoultre 780 et 781
- Mouvements mécaniques à remontage automatique conçus et fabriqués par la Manufacture Jaeger-LeCoultre
- 569 composants pour le Calibre 780 et 566 composants pour le Calibre 781
- Chronographe avec compteur grande minute à deux digits
- Sélecteur et indicateur de fonctions de la couronne
- Fuseau principal réglable par saut d’une heure
- Second fuseau horaire (heure et indication des 24 heures)
- Indication radiale sur 180° des 60 heures de réserve de marche
- Date
- Petite seconde (indication de marche)
- Stop secondes indépendant
- Mouvement résistant aux champs magnétiques de 240 Gauss (uniquement Calibre 781)
- Ebauche en maillechort
- Diamètre : 33,8 mm. Hauteur : 9,08 mm
Chronographe
- Grande minute (compteur digital à deux disques, sautant et sécurisé, sur 60 minutes)
- Compteur de secondes au huitième de seconde
- Compteur des heures sur 24 heures
- Roue à colonnes
- Embrayage vertical
- Poussoirs et protège-poussoirs avec revêtement caoutchouc
Sélecteur de fonctions
- Couronne céramique à poussoir intégré pour le sélecteur de fonctions
- Système de sélection de type roue à colonnes
- Indicateur des trois positions : 1. remontage, 2. correction date et second fuseau, 3. mise à l’heure
Echappement
- 28 800 alternances par heure
- Grand balancier à inertie variable (11,5 mg∙cm2)
- Pont de balancier à deux points de fixation avec plaquette de blocage du porte-piton
- Echappement silicium amagnétique (uniquement Calibre 781)
Remontage automatique
- Masse montée sur roulement à billes en céramique, sans lubrifiant
- Remontage unidirectionnel
- Masse à trois bras et segment en platine
Boîtier
- 143 composants
- Boîtier à double cerclage
- Lunette céramique sécurisée par ressort
- Poussoirs de chronographe sécurisés et ergonomiques
- Verre saphir (fond et cadran)
- Matériaux, deux versions :
o TiVan15 (matériau exclusif à Jaeger-LeCoultre).
Lunette et couronne en céramique, caoutchouc sur les protège-poussoirs. (Version dotée du Calibre 781)
o Or rose 18 carats et TiVan15 (matériau exclusif à Jaeger-LeCoultre).
Lunette et couronne en céramique, caoutchouc sur les protège-poussoirs. (Version dotée du Calibre 780)
- Diamètre 46,8 mm. Hauteur : 16,5 mm
Cadran et aiguilles
- Cadran squelette, ponts revêtus de PVD noir
- Affichage en relief des fonctions
- Index luminescents
- Nouvelle forme d’aiguilles squelette
- Aiguilles amagnétiques (uniquement Calibre 781)
Bracelet et boucle
- Système d’interchangeabilité du bracelet intégré, activé au moyen d’une bascule
- Bracelet sécurisé à 2 points d’attache, avec système de réglage fin par crantage à trois positions
- Boucle double ardillon sécurisée à réglage fin à deux positions, avec système d’interchangeabilité intégré
Montres testées 1000 Heures
Références :
Q2032470, 18-carat pink gold
Q203T470, TiVan 15
- Mouvements mécaniques à remontage automatique conçus et fabriqués par la Manufacture Jaeger-LeCoultre
- 569 composants pour le Calibre 780 et 566 composants pour le Calibre 781
- Chronographe avec compteur grande minute à deux digits
- Sélecteur et indicateur de fonctions de la couronne
- Fuseau principal réglable par saut d’une heure
- Second fuseau horaire (heure et indication des 24 heures)
- Indication radiale sur 180° des 60 heures de réserve de marche
- Date
- Petite seconde (indication de marche)
- Stop secondes indépendant
- Mouvement résistant aux champs magnétiques de 240 Gauss (uniquement Calibre 781)
- Ebauche en maillechort
- Diamètre : 33,8 mm. Hauteur : 9,08 mm
Chronographe
- Grande minute (compteur digital à deux disques, sautant et sécurisé, sur 60 minutes)
- Compteur de secondes au huitième de seconde
- Compteur des heures sur 24 heures
- Roue à colonnes
- Embrayage vertical
- Poussoirs et protège-poussoirs avec revêtement caoutchouc
Sélecteur de fonctions
- Couronne céramique à poussoir intégré pour le sélecteur de fonctions
- Système de sélection de type roue à colonnes
- Indicateur des trois positions : 1. remontage, 2. correction date et second fuseau, 3. mise à l’heure
Echappement
- 28 800 alternances par heure
- Grand balancier à inertie variable (11,5 mg∙cm2)
- Pont de balancier à deux points de fixation avec plaquette de blocage du porte-piton
- Echappement silicium amagnétique (uniquement Calibre 781)
Remontage automatique
- Masse montée sur roulement à billes en céramique, sans lubrifiant
- Remontage unidirectionnel
- Masse à trois bras et segment en platine
Boîtier
- 143 composants
- Boîtier à double cerclage
- Lunette céramique sécurisée par ressort
- Poussoirs de chronographe sécurisés et ergonomiques
- Verre saphir (fond et cadran)
- Matériaux, deux versions :
o TiVan15 (matériau exclusif à Jaeger-LeCoultre).
Lunette et couronne en céramique, caoutchouc sur les protège-poussoirs. (Version dotée du Calibre 781)
o Or rose 18 carats et TiVan15 (matériau exclusif à Jaeger-LeCoultre).
Lunette et couronne en céramique, caoutchouc sur les protège-poussoirs. (Version dotée du Calibre 780)
- Diamètre 46,8 mm. Hauteur : 16,5 mm
Cadran et aiguilles
- Cadran squelette, ponts revêtus de PVD noir
- Affichage en relief des fonctions
- Index luminescents
- Nouvelle forme d’aiguilles squelette
- Aiguilles amagnétiques (uniquement Calibre 781)
Bracelet et boucle
- Système d’interchangeabilité du bracelet intégré, activé au moyen d’une bascule
- Bracelet sécurisé à 2 points d’attache, avec système de réglage fin par crantage à trois positions
- Boucle double ardillon sécurisée à réglage fin à deux positions, avec système d’interchangeabilité intégré
Montres testées 1000 Heures
Références :
Q2032470, 18-carat pink gold
Q203T470, TiVan 15