En choisissant d’enrichir son univers culturel et créatif à travers cette collaboration artistique, JLC élargit le dialogue existant entre l’horlogerie et l’art (une grande tendance dans le domaine des montres de luxe de nos jours).
Fidèle à la thématique The Sound Maker, la Grande Maison a choisi de collaborer avec un artiste autodidacte dont la majeure partie de l'œuvre explore et rend hommage à la nature du son…
Dans ses œuvres, Zimoun utilise de simples matériaux bruts et des composants industriels recyclés
pour créer des fresques complexes et évocatrices générant des sons et mouvements qui révolutionnent
les concepts de sculpture, d’espace et de temps.
En évoquant son approche, l'artiste explique : « Je m’intéresse au son en tant qu’élément architectonique pour créer l’espace, mais également à sa manière d’occuper une pièce, à la façon dont il interagit avec celle-ci. Je travaille avec des structures sonores tridimensionnelles, en mettant en place des expériences dans un espace, et en explorant celui-ci, ainsi que le son, les matériaux, et la perception ».
Zimoun choisi délibérément de ne pas forcément utiliser de matériaux esthétiques et base sa sélection
sur leurs propriétés dynamiques et de résonnance.
Tout comme les artisans qui élaborent des mouvements de montres à sonnerie, Zimoun crée des
œuvres qui allient la simplicité à la complexité et l'aspect ludique à l'élégance.
Dans les deux cas, la fascination réside dans le fait que des éléments visibles et concrets permettent de comprendre rapidement le processus de la création du son, et, à la fois, la complexité du système dans son ensemble défie toute tentative de le décortiquer.
Fidèle à la thématique The Sound Maker, la Grande Maison a choisi de collaborer avec un artiste autodidacte dont la majeure partie de l'œuvre explore et rend hommage à la nature du son…
Dans ses œuvres, Zimoun utilise de simples matériaux bruts et des composants industriels recyclés
pour créer des fresques complexes et évocatrices générant des sons et mouvements qui révolutionnent
les concepts de sculpture, d’espace et de temps.
En évoquant son approche, l'artiste explique : « Je m’intéresse au son en tant qu’élément architectonique pour créer l’espace, mais également à sa manière d’occuper une pièce, à la façon dont il interagit avec celle-ci. Je travaille avec des structures sonores tridimensionnelles, en mettant en place des expériences dans un espace, et en explorant celui-ci, ainsi que le son, les matériaux, et la perception ».
Zimoun choisi délibérément de ne pas forcément utiliser de matériaux esthétiques et base sa sélection
sur leurs propriétés dynamiques et de résonnance.
Tout comme les artisans qui élaborent des mouvements de montres à sonnerie, Zimoun crée des
œuvres qui allient la simplicité à la complexité et l'aspect ludique à l'élégance.
Dans les deux cas, la fascination réside dans le fait que des éléments visibles et concrets permettent de comprendre rapidement le processus de la création du son, et, à la fois, la complexité du système dans son ensemble défie toute tentative de le décortiquer.
L’installation « The Sound Maker »
Pour encourager la libre interprétation, Zimoun donne à ses œuvres des titres très techniques décrivant
simplement les matériaux utilisés – éléments que le spectateur voit de toute manière.
L'œuvre est conçue à partir de petits moteurs à courant continu, de câbles fins, de panneaux de fibres à densité moyenne et de presque 2.000 disques de métal très fins. Ces disques sont des composants d’horlogerie provenant de chez Jaeger-LeCoultre pour servir de sources sonores.
Connectés aux moteurs par des câbles, les disques tournent contre les panneaux de fibres à la manière d’une pièce tombant par terre. Ce frottement produit une structure sonore d’une grande complexité et le mouvement crée une surface scintillante.
L'artiste explique : « Les câbles auxquels sont attachés les disques de métal étant pliés à la main,
chacun d’entre eux est légèrement différent, variant ainsi les vitesses et les angles de rotation des
disques. Cela crée une individualité complexe qui affecte les propriétés à la fois visuelles et acoustiques de l'œuvre ».
Et de poursuivre : « Le son devient complexe et demeure en constante évolution dans ses microstructures. Tout comme celui d'une rivière, il n’est jamais identique. Visuellement en découle une complexité semblable… provoquant une sorte de scintillement, comparable à l’effet que nous connaissons à la surface de l’eau. »
Dans l’esprit du spectateur, cette fresque de son et de mouvement complexe et évocatrice peut être
liée à un phénomène naturel – les mélodies de la nature et le reflet des rayons du soleil sur l’eau – en
plongeant les visiteurs dans l’environnement sonore naturel de la Vallée, une allusion aux profondes
connexions entre les horlogers de Jaeger-LeCoultre et l’environnement qui les entoure…
En plus d'avoir été récompensée par de nombreuses subventions et résidences d'artistes, l'œuvre de Zimoun a été exposée dans de célèbres musées internationaux comme le MAC, le Musée d’art contemporain de Santiago du Chili ; le Musée Nam June Paik Art de Séoul ; le Musée Kuandu de Taipei ; le Musée Reina Sofia de Madrid ; le Musée d’art John-etMable Ringling de Floride ; le Musée Dr Bhau Daji Lad de Mumbai ; le Musée national d'art de Pékin ; le Musée LAC de Lugano ; le Musée d'art de Séoul… L'artiste vit et travaille à Berne, en Suisse.
Pour encourager la libre interprétation, Zimoun donne à ses œuvres des titres très techniques décrivant
simplement les matériaux utilisés – éléments que le spectateur voit de toute manière.
L'œuvre est conçue à partir de petits moteurs à courant continu, de câbles fins, de panneaux de fibres à densité moyenne et de presque 2.000 disques de métal très fins. Ces disques sont des composants d’horlogerie provenant de chez Jaeger-LeCoultre pour servir de sources sonores.
Connectés aux moteurs par des câbles, les disques tournent contre les panneaux de fibres à la manière d’une pièce tombant par terre. Ce frottement produit une structure sonore d’une grande complexité et le mouvement crée une surface scintillante.
L'artiste explique : « Les câbles auxquels sont attachés les disques de métal étant pliés à la main,
chacun d’entre eux est légèrement différent, variant ainsi les vitesses et les angles de rotation des
disques. Cela crée une individualité complexe qui affecte les propriétés à la fois visuelles et acoustiques de l'œuvre ».
Et de poursuivre : « Le son devient complexe et demeure en constante évolution dans ses microstructures. Tout comme celui d'une rivière, il n’est jamais identique. Visuellement en découle une complexité semblable… provoquant une sorte de scintillement, comparable à l’effet que nous connaissons à la surface de l’eau. »
Dans l’esprit du spectateur, cette fresque de son et de mouvement complexe et évocatrice peut être
liée à un phénomène naturel – les mélodies de la nature et le reflet des rayons du soleil sur l’eau – en
plongeant les visiteurs dans l’environnement sonore naturel de la Vallée, une allusion aux profondes
connexions entre les horlogers de Jaeger-LeCoultre et l’environnement qui les entoure…
En plus d'avoir été récompensée par de nombreuses subventions et résidences d'artistes, l'œuvre de Zimoun a été exposée dans de célèbres musées internationaux comme le MAC, le Musée d’art contemporain de Santiago du Chili ; le Musée Nam June Paik Art de Séoul ; le Musée Kuandu de Taipei ; le Musée Reina Sofia de Madrid ; le Musée d’art John-etMable Ringling de Floride ; le Musée Dr Bhau Daji Lad de Mumbai ; le Musée national d'art de Pékin ; le Musée LAC de Lugano ; le Musée d'art de Séoul… L'artiste vit et travaille à Berne, en Suisse.