Depuis la création par Vacheron Constantin des premières montres-bracelets Haute Joaillerie dès la fin du 19ème siècle et plus récemment en 1979 avec la création de la mythique Kallista (voir encadré ci dessous), chef-d’œuvre de tous les absolus qui demeure encore la référence inégalée dans le mariage de la Haute Horlogerie et de la Haute Joaillerie, la plus ancienne manufacture genevoise a acquis la réputation de virtuose dans ce domaine et n’a cessé de présenter depuis, de dignes descendantes comme la Kalla Duchesse en 2006 et aujourd’hui la montre Kalla Lune.
Miroir de tous les désirs, ce nouveau modèle se veut résolument contemporain. Selon ses créateurs, sa force réside dans le lien qu’il tisse entre séduction et émotion, élégance et assurance d’un style. Sa silhouette tout en rondeur, subtile et intense qui sied tant aux hommes qu’aux femmes, incarne le mariage parfait, l’expression d’un lien indissociable entre les Métiers d’Art horlogers et joailliers chez Vacheron Constantin.
Ainsi, tous les artisans de la manufacture, de l’orfèvre au sertisseur, de l’horloger au graveur trouvent chez Vacheron Constantin l’assurance de porter leur art à un suprême degré de raffinement.
Miroir de tous les désirs, ce nouveau modèle se veut résolument contemporain. Selon ses créateurs, sa force réside dans le lien qu’il tisse entre séduction et émotion, élégance et assurance d’un style. Sa silhouette tout en rondeur, subtile et intense qui sied tant aux hommes qu’aux femmes, incarne le mariage parfait, l’expression d’un lien indissociable entre les Métiers d’Art horlogers et joailliers chez Vacheron Constantin.
Ainsi, tous les artisans de la manufacture, de l’orfèvre au sertisseur, de l’horloger au graveur trouvent chez Vacheron Constantin l’assurance de porter leur art à un suprême degré de raffinement.
1979 : Vacheron Constantin crée la sensation et donne naissance à un mythe, Kallista. L’histoire de la montre joaillerie est jalonnée de quelques étapes qui ont illuminé, dans un passé récent, la créativité horlogère et joaillière. La naissance de Kallista en reste le moment le plus saillant puisque cette œuvre d’art, façonnée à un seul et unique exemplaire, ravit le titre de la montre de tous les records : la plus chère du monde (5 millions de dollars à l’époque, quelques 11 millions de dollars aujourd’hui).
Munie d’un mouvement à remontage manuel et sertie de 118 diamants de taille émeraude sur une boîte sculptée dans un bloc d’or massif de plus de un kilo, la Kallista a demandé plus de 6000 heures de travail exécutées 20 mois durant par les meilleurs joailliers au monde. Kallista, ou « la plus merveilleuse » en grec, ne pouvait mériter plus juste nom de baptême.
Munie d’un mouvement à remontage manuel et sertie de 118 diamants de taille émeraude sur une boîte sculptée dans un bloc d’or massif de plus de un kilo, la Kallista a demandé plus de 6000 heures de travail exécutées 20 mois durant par les meilleurs joailliers au monde. Kallista, ou « la plus merveilleuse » en grec, ne pouvait mériter plus juste nom de baptême.
Kalla Lune Grand Modèle : un total de 816 diamants baguette, 23 diamants taille brillant et un diamant taille rose pour la couronne, soit un total d’environ 42,61 carats.
Lorsque les artisans sertissent ce modèle, la règle est simple mais implacable : chaque lot de diamants doit impérativement être conforme aux plus stricts des critères en ce qui concerne la pureté, la couleur et la taille, afin d’en assurer une parfaite homogénéité.
Chacune des pierres de la Kalla Lune a été choisie pour épouser parfaitement la boîte – 134 diamants de 9.33 carats ou 7.86 carats selon sa taille – et fait l’objet d’un traitement entièrement manuel et artisanal.
Au patient travail effectué sur le boîtier répond, en un étincelant écho, le pavage somptueux du cadran. Selon la grandeur du modèle, il est constellé de 170 diamants baguette (2.82 carats) ou d’une mosaïque blanche, rose ou bleue pavée de 141 brillants (0.36 carat). Sa couronne est sertie d’un diamant rose. Les phases de lunes scintillent quant à elles de 14 brillants sur fond de nacre noire, blanche ou violette.
Pour faire vivre ce chef-d’œuvre de Haute Joaillerie, Vacheron Constantin y a inséré un mouvement manufacture, le calibre 1410 affichant une réserve de marche et une phase de lune. Il est entièrement terminé, décoré à la main et certifié du prestigieux Poinçon de Genève.
Enfin, le bracelet de la Kalla Lune -serti de 512 diamants baguette (30.33 carats) ou 472 diamants baguette (24.12 carats) selon la taille– épouse à la perfection le poignet grâce à sa structure façonnée dans l’or blanc 18 carats. Cette prouesse technique assure au bracelet de se fondre avec la plus grande fluidité autour du poignet.
Le modèle est également présenté avec un bracelet en cuir d’alligator noir agrémenté d’une boucle déployante en or blanc avec une demi-croix de Malte sertie de 8 diamants baguette (0.38 carat).
Lorsque les artisans sertissent ce modèle, la règle est simple mais implacable : chaque lot de diamants doit impérativement être conforme aux plus stricts des critères en ce qui concerne la pureté, la couleur et la taille, afin d’en assurer une parfaite homogénéité.
Chacune des pierres de la Kalla Lune a été choisie pour épouser parfaitement la boîte – 134 diamants de 9.33 carats ou 7.86 carats selon sa taille – et fait l’objet d’un traitement entièrement manuel et artisanal.
Au patient travail effectué sur le boîtier répond, en un étincelant écho, le pavage somptueux du cadran. Selon la grandeur du modèle, il est constellé de 170 diamants baguette (2.82 carats) ou d’une mosaïque blanche, rose ou bleue pavée de 141 brillants (0.36 carat). Sa couronne est sertie d’un diamant rose. Les phases de lunes scintillent quant à elles de 14 brillants sur fond de nacre noire, blanche ou violette.
Pour faire vivre ce chef-d’œuvre de Haute Joaillerie, Vacheron Constantin y a inséré un mouvement manufacture, le calibre 1410 affichant une réserve de marche et une phase de lune. Il est entièrement terminé, décoré à la main et certifié du prestigieux Poinçon de Genève.
Enfin, le bracelet de la Kalla Lune -serti de 512 diamants baguette (30.33 carats) ou 472 diamants baguette (24.12 carats) selon la taille– épouse à la perfection le poignet grâce à sa structure façonnée dans l’or blanc 18 carats. Cette prouesse technique assure au bracelet de se fondre avec la plus grande fluidité autour du poignet.
Le modèle est également présenté avec un bracelet en cuir d’alligator noir agrémenté d’une boucle déployante en or blanc avec une demi-croix de Malte sertie de 8 diamants baguette (0.38 carat).