Quand on parle des grands marchés horlogers, on évoque l’Europe, l’Asie -avec la Chine- ou encore, les Etats-Unis. Mais c’est oublié un peu vite un immense relais de croissance encore largement sous-exploité : le marché indien, réputé « compliqué » à appréhender.
Il est vrai que jusqu’à aujourd’hui, le marché indien est resté le parent pauvre de l’horlogerie haut de gamme : avec ses 1,4 milliard d’habitants, le pays se classe à la 22ème place (juste devant l’Autriche) seulement des exportations horlogères helvétiques !
En cause, principalement des taxes très élevées pour les montres de luxe (dans les 55% environ) qui, jusqu’à ce jour, ont plombé les exportations. Sans compte que les Indiens très riches voyagent et qu’ils consomment l’horlogerie haut de gamme à Londres, Dubai, Singapour, etc.
On voit régulièrement sur les réseaux sociaux, Anant Ambani, le fils du milliardaire indien Mukesh Ambani, arborer des pièces extrêmement rares de chez Patek Philippe (notamment une Sky-Moon Tourbillon 6002R-00) ou de chez Richard Mille. On se souvient récemment, lors de son mariage, de l’émoi de la femme de Marck Zuckerberg devant l’un de ses garde-temps !
En ce printemps 2024, les choses devraient changer… En effet, l’Inde et la Suisse (et trois autres pays) ont récemment signé un accord de libre-échange. Un accord qui pourrait faciliter, dans les années à venir, les exportations de garde-temps vers Mumbai, New Delhi, Bangalore, etc.
Comme l’indique Yves Bugmann, le nouveau président de la fédération horlogère dans la dépêche AFP : « L'Inde représente un énorme potentiel ». Et de nombreuses marques horlogères en sont largement convaincues.
A titre de comparaison quand la Chine représente un chiffre d’affaires horloger de 2,7 milliards, l’Inde fait dix fois mois avec 219 millions… Le potentiel de croissance reste donc énorme : car d’une part, les Indiens sont de gros consommateurs de pièces en or avec pierres précieuses et d’autre part, les grosses fortunes et les classes moyennes se développement.
Bref, l’Inde marché d’avenir ? Assurément. Les grandes marques s’y préparent, mais cela pourrait aussi être une belle opportunité pour les jeunes pousses de l’horlogerie qui pourraient trouver dans ces lointaines contrées, de beaux relais de croissance…
Il est vrai que jusqu’à aujourd’hui, le marché indien est resté le parent pauvre de l’horlogerie haut de gamme : avec ses 1,4 milliard d’habitants, le pays se classe à la 22ème place (juste devant l’Autriche) seulement des exportations horlogères helvétiques !
En cause, principalement des taxes très élevées pour les montres de luxe (dans les 55% environ) qui, jusqu’à ce jour, ont plombé les exportations. Sans compte que les Indiens très riches voyagent et qu’ils consomment l’horlogerie haut de gamme à Londres, Dubai, Singapour, etc.
On voit régulièrement sur les réseaux sociaux, Anant Ambani, le fils du milliardaire indien Mukesh Ambani, arborer des pièces extrêmement rares de chez Patek Philippe (notamment une Sky-Moon Tourbillon 6002R-00) ou de chez Richard Mille. On se souvient récemment, lors de son mariage, de l’émoi de la femme de Marck Zuckerberg devant l’un de ses garde-temps !
En ce printemps 2024, les choses devraient changer… En effet, l’Inde et la Suisse (et trois autres pays) ont récemment signé un accord de libre-échange. Un accord qui pourrait faciliter, dans les années à venir, les exportations de garde-temps vers Mumbai, New Delhi, Bangalore, etc.
Comme l’indique Yves Bugmann, le nouveau président de la fédération horlogère dans la dépêche AFP : « L'Inde représente un énorme potentiel ». Et de nombreuses marques horlogères en sont largement convaincues.
A titre de comparaison quand la Chine représente un chiffre d’affaires horloger de 2,7 milliards, l’Inde fait dix fois mois avec 219 millions… Le potentiel de croissance reste donc énorme : car d’une part, les Indiens sont de gros consommateurs de pièces en or avec pierres précieuses et d’autre part, les grosses fortunes et les classes moyennes se développement.
Bref, l’Inde marché d’avenir ? Assurément. Les grandes marques s’y préparent, mais cela pourrait aussi être une belle opportunité pour les jeunes pousses de l’horlogerie qui pourraient trouver dans ces lointaines contrées, de beaux relais de croissance…