Grâce à ses techniques nouvelles et innovantes, grâce à sa signature de manufacture propre, et grâce à leurs finitions dans la plus pure tradition artisanale, les quatre montres présentées à l’époque (vingt ans déjà) posaient de nouvelles références dans le milieu de l’horlogerie très haut de gamme. Mais commençons par le commencement…
La réunification de l'Allemagne en 89 offre à Walter Lange la possibilité d’un nouveau départ. Il fonde donc, le 7 décembre 1990, la société Lange Uhren GmbH à Glashütte et, en parallèle, fait enregistrer la marque. En d’autres termes, il reprend l’oeuvre laissée par ses ancêtres, épaulé par son associé Günter Blümein. À première vue, l’aventure semblait totalement irréaliste : que « les meilleures montres du monde » soient fabriquées à nouveau en Saxe et, de surcroit, sous le nom de A. Lange & Söhne !
Au début, le défi majeur à relever consiste à trouver une réponse à cette délicate question… Quel aspect aurait une Lange de nos jours (en 1994) si la marque n'avait pas cessé d'exister à cause des bouleversements politiques engendrés par la seconde guerre mondiale ? L'équipe dirigée par W. Lange et G. Blümlein présente alors une collection qui enflamme le coeur des amateurs de montres de luxe du monde entier.
C’est clairement la fameuse Lange 1 qui remporte tous les suffrages, grâce, entre autre, à son cadran asymétrique et sa fameuse grande date. Elle est rapidement devenue l’emblème de la marque et, aujourd’hui encore, joue le rôle de modèle icone. Mais c’est avec la montre Tourbillon « Pour le Mérite », dotée du premier mécanisme fusée-chaîne à être utilisé dans une montre que Lange & Söhne prouve au monde qu’elle est de retour dans le cercle très fermé de la très haute horlogerie.
Ces quatre premières montres jettent les bases des collections Lange qui aujourd’hui se composent de cinq familles qui se déclinent en plus de 70 références. Les quatre premiers mouvements développés par la marque ont été suivis par plus de 45 autres calibres de manufacture, dont plus de la moitié est toujours fabriquée. En vingt ans, la manufacture saxonne a interprété les complications classiques à sa manière, ce qui a conduit la marque à signer de nombreuses premières mondiales. Parmi elles figurent, entre autres, le modèle Double Split, le premier et à ce jour unique, double chronographe à rattrapante. C'est dans ce mouvement que le spiral développé par la maison a été utilisé pour la première fois.
Un autre record mondial a été enregistré par la Lange 31, dont le dispositif à force constante délivre une énergie uniforme pendant toute la durée de réserve de marche qui s’élève à… 31 jours ! Avec elle, la marque a aussi fait renaître le remontage par clé, un concept de fabrication également appliquée à la Lange Zeitwerk, la première montre à remontage mécanique dotée d’une indication digitale des heures et des minutes sautantes. Puis, plus de deux siècles après l’invention du tourbillon, la marque a développé le premier mécanisme d’arrêt des secondes pour le balancier à l’intérieur de la cage rotative.
Aujourd’hui, le summum de Lange est incontestablement son exceptionnelle Grande Complication lancée l’année dernière. « Il s’agit sans aucun doute de la montre la plus complexe de tous les temps qui réunit pas moins de sept complications horlogères classiques » assure la marque dans son communiqué. Parmi elles, une grande et petite sonnerie, une répétition minutes, un chronographe à rattrapante avec compteur des minutes et seconde foudroyante, ainsi qu’un quantième perpétuel.
Cette année, c’est la Richard Lange Quantième Perpétuel « Terraluna » qui offre un affichage orbital des phases de lune breveté. Une innovation supplémentaire dans le domaine de la haute horlogerie. C’est aussi, « last but not least », avec une précision exemplaire qu’elle offre au dos de son boitier, non seulement la phase de Lune en cours, mais aussi la position de celle-ci par rapport à la Terre et au Soleil.
La réunification de l'Allemagne en 89 offre à Walter Lange la possibilité d’un nouveau départ. Il fonde donc, le 7 décembre 1990, la société Lange Uhren GmbH à Glashütte et, en parallèle, fait enregistrer la marque. En d’autres termes, il reprend l’oeuvre laissée par ses ancêtres, épaulé par son associé Günter Blümein. À première vue, l’aventure semblait totalement irréaliste : que « les meilleures montres du monde » soient fabriquées à nouveau en Saxe et, de surcroit, sous le nom de A. Lange & Söhne !
Au début, le défi majeur à relever consiste à trouver une réponse à cette délicate question… Quel aspect aurait une Lange de nos jours (en 1994) si la marque n'avait pas cessé d'exister à cause des bouleversements politiques engendrés par la seconde guerre mondiale ? L'équipe dirigée par W. Lange et G. Blümlein présente alors une collection qui enflamme le coeur des amateurs de montres de luxe du monde entier.
C’est clairement la fameuse Lange 1 qui remporte tous les suffrages, grâce, entre autre, à son cadran asymétrique et sa fameuse grande date. Elle est rapidement devenue l’emblème de la marque et, aujourd’hui encore, joue le rôle de modèle icone. Mais c’est avec la montre Tourbillon « Pour le Mérite », dotée du premier mécanisme fusée-chaîne à être utilisé dans une montre que Lange & Söhne prouve au monde qu’elle est de retour dans le cercle très fermé de la très haute horlogerie.
Ces quatre premières montres jettent les bases des collections Lange qui aujourd’hui se composent de cinq familles qui se déclinent en plus de 70 références. Les quatre premiers mouvements développés par la marque ont été suivis par plus de 45 autres calibres de manufacture, dont plus de la moitié est toujours fabriquée. En vingt ans, la manufacture saxonne a interprété les complications classiques à sa manière, ce qui a conduit la marque à signer de nombreuses premières mondiales. Parmi elles figurent, entre autres, le modèle Double Split, le premier et à ce jour unique, double chronographe à rattrapante. C'est dans ce mouvement que le spiral développé par la maison a été utilisé pour la première fois.
Un autre record mondial a été enregistré par la Lange 31, dont le dispositif à force constante délivre une énergie uniforme pendant toute la durée de réserve de marche qui s’élève à… 31 jours ! Avec elle, la marque a aussi fait renaître le remontage par clé, un concept de fabrication également appliquée à la Lange Zeitwerk, la première montre à remontage mécanique dotée d’une indication digitale des heures et des minutes sautantes. Puis, plus de deux siècles après l’invention du tourbillon, la marque a développé le premier mécanisme d’arrêt des secondes pour le balancier à l’intérieur de la cage rotative.
Aujourd’hui, le summum de Lange est incontestablement son exceptionnelle Grande Complication lancée l’année dernière. « Il s’agit sans aucun doute de la montre la plus complexe de tous les temps qui réunit pas moins de sept complications horlogères classiques » assure la marque dans son communiqué. Parmi elles, une grande et petite sonnerie, une répétition minutes, un chronographe à rattrapante avec compteur des minutes et seconde foudroyante, ainsi qu’un quantième perpétuel.
Cette année, c’est la Richard Lange Quantième Perpétuel « Terraluna » qui offre un affichage orbital des phases de lune breveté. Une innovation supplémentaire dans le domaine de la haute horlogerie. C’est aussi, « last but not least », avec une précision exemplaire qu’elle offre au dos de son boitier, non seulement la phase de Lune en cours, mais aussi la position de celle-ci par rapport à la Terre et au Soleil.