L’édition de 2016 se distinguait par un cadran en or gravé, où les océans étaient habillés d’émail translucide bleu et les continents rehaussés de paillettes d’or.
En 2025, la gravure cède place à l’art de la peinture miniature, les continents se parant d’un émail bleu opaque sublimé par des touches d’or émaillé plus intenses, conférant à l’ensemble une esthétique plus sobre et épurée.
Plus précisément, le centre du cadran est orné d’un planisphère convexe représentant les cinq continents en or gris recouverts d’émail bleu, entourés d’une mer également en émail bleu profond.
En 2025, la gravure cède place à l’art de la peinture miniature, les continents se parant d’un émail bleu opaque sublimé par des touches d’or émaillé plus intenses, conférant à l’ensemble une esthétique plus sobre et épurée.
Plus précisément, le centre du cadran est orné d’un planisphère convexe représentant les cinq continents en or gris recouverts d’émail bleu, entourés d’une mer également en émail bleu profond.
Exécuté selon la technique séculaire du champlevé, la difficulté principale de l’exercice est ici de réaliser cet émaillage sur une surface en volume. Le centre du cadran, en or, est bombé afin de reproduire la forme du globe terrestre et de mettre en valeur le motif central, à savoir les cinq continents.
Les lumières des villes qui illuminent la nuit vue de l’espace sont représentées à la main par des touches d’or émaillé, ce qui accentue le contraste avec les océans plus sombres. « Cette partie centrale du cadran requiert plus de 5 étapes de cuisson différentes » assure la marque dans son communiqué.
Fini à la main en satiné circulaire, le cercle extérieur ou tour d’heures, gris anthracite, semble plonger en direction de la sphère centrale, accentuant l’illusion d’un globe surélevé, comme en apesanteur au-dessus du cadran. L’aspect tridimensionnel du cadran est également renforcé par les index goutte dont les extrémités, débordant du cercle, semblent suspendues au-dessus du globe.
Les lumières des villes qui illuminent la nuit vue de l’espace sont représentées à la main par des touches d’or émaillé, ce qui accentue le contraste avec les océans plus sombres. « Cette partie centrale du cadran requiert plus de 5 étapes de cuisson différentes » assure la marque dans son communiqué.
Fini à la main en satiné circulaire, le cercle extérieur ou tour d’heures, gris anthracite, semble plonger en direction de la sphère centrale, accentuant l’illusion d’un globe surélevé, comme en apesanteur au-dessus du cadran. L’aspect tridimensionnel du cadran est également renforcé par les index goutte dont les extrémités, débordant du cercle, semblent suspendues au-dessus du globe.
Intégrés sur le flanc gauche du boîtier en or gris (41 mm, étanche à 30 mètres), deux poussoirs oblongs, à la symétrie parfaite, actionnent le réglage de l’heure locale, indiquée par l’aiguille centrale. Lors d’un changement de fuseau horaire, cette aiguille des heures peut être avancée ou reculée, heure par heure, par simple pression.
Le poussoir supérieur permet quant à lui, d’avancer l’aiguille d’une heure et inversement avec le poussoir inférieur –le tout sans déplacer l’aiguille des minutes.
Outre cette correction rapide de l’heure locale, la date indiquée dans le guichet à 3h change automatiquement lors du passage des aiguilles à minuit, s’adaptant ainsi aux déplacements entre les différents fuseaux sans qu’aucune autre manipulation ne soit nécessaire.
Le poussoir supérieur permet quant à lui, d’avancer l’aiguille d’une heure et inversement avec le poussoir inférieur –le tout sans déplacer l’aiguille des minutes.
Outre cette correction rapide de l’heure locale, la date indiquée dans le guichet à 3h change automatiquement lors du passage des aiguilles à minuit, s’adaptant ainsi aux déplacements entre les différents fuseaux sans qu’aucune autre manipulation ne soit nécessaire.
Le guichet à 9h indique pour sa part, l’heure de référence (home time), la distinction jour et nuit étant évidente grâce à un affichage sur 24 heures.
Le Classic Traveller est animé par le calibre automatique LF 230.02 (288 composants, 3Hz) qui intègre le mécanisme de réglage du second fuseau horaire ainsi que la date. Il possède un système de remontage automatique unidirectionnel par micro-rotor à cliquet, assisté d’un échappement naturel à double impulsion directe.
Cet échappement se distingue par la double impulsion qui est donnée directement au balancier lors de chaque oscillation, lui garantissant un excellent rendement assorti d’une réserve de marche, exceptionnelle, de 72 heures.
La décoration et les terminaisons du mouvement sont effectuées dans l’esprit de la haute horlogerie traditionnelle ; le fond en verre saphir offre un aperçu de cette finesse d’exécution. En plus d’un décor rhodié en Côtes de Genève des ponts et d’un perlage de la platine, le mouvement présente des flancs anglés manuellement et des têtes de vis polies à la main.
La finesse des nombreux angles rentrants, résultat de ce travail minutieux d’anglage réalisé à la main, illustre parfaitement les valeurs de l’art horloger traditionnel si chères à Laurent Ferrier.
Cette montre de grand voyageur se porte sur un bracelet en nubuck gris foncé, cousu main, surpiqûre ton sur ton, doublure en Alcantara avec boucle à ardillon ou déployante deux lames en or gris. En France la marque est disponible chez Antoine de Macedo.
Le Classic Traveller est animé par le calibre automatique LF 230.02 (288 composants, 3Hz) qui intègre le mécanisme de réglage du second fuseau horaire ainsi que la date. Il possède un système de remontage automatique unidirectionnel par micro-rotor à cliquet, assisté d’un échappement naturel à double impulsion directe.
Cet échappement se distingue par la double impulsion qui est donnée directement au balancier lors de chaque oscillation, lui garantissant un excellent rendement assorti d’une réserve de marche, exceptionnelle, de 72 heures.
La décoration et les terminaisons du mouvement sont effectuées dans l’esprit de la haute horlogerie traditionnelle ; le fond en verre saphir offre un aperçu de cette finesse d’exécution. En plus d’un décor rhodié en Côtes de Genève des ponts et d’un perlage de la platine, le mouvement présente des flancs anglés manuellement et des têtes de vis polies à la main.
La finesse des nombreux angles rentrants, résultat de ce travail minutieux d’anglage réalisé à la main, illustre parfaitement les valeurs de l’art horloger traditionnel si chères à Laurent Ferrier.
Cette montre de grand voyageur se porte sur un bracelet en nubuck gris foncé, cousu main, surpiqûre ton sur ton, doublure en Alcantara avec boucle à ardillon ou déployante deux lames en or gris. En France la marque est disponible chez Antoine de Macedo.
