On le sait, le cheval accompagne l’histoire de l’humanité. D’ailleurs, à ce titre, sa reproduction a orné les premières fresques rupestres. Depuis la nuit des temps donc. Plus tard, ses courses ont rythmé le quotidien de milliers d’amateurs de pur-sang.
Si le dessiner ou le sculpter est une chose, sa reproduction mécanique a toujours été un immense défi pour l’homme. Un mouvement en particulier, le cabrage, a résisté aux automatiers jusqu’à aujourd’hui. Un challenge relevé par le jeune automatier français John-Mikaël Flaux qui s’est attelé à cette tâche.
Trot et galop sont des cinématiques qui font intervenir des centaines de muscles et des mouvements dans une harmonie et une fluidité parfaites. Le cabrage ajoute quant à lui, une dimension particulière qui fait de son rendu mécanique, une prouesse ! Il convient en effet d’associer une parfaite stabilité (sur ses membres postérieurs) à une mobilité asynchrone de ses membres antérieurs (on le voit bien dans la vidéo présentée ci-dessous).
Si le dessiner ou le sculpter est une chose, sa reproduction mécanique a toujours été un immense défi pour l’homme. Un mouvement en particulier, le cabrage, a résisté aux automatiers jusqu’à aujourd’hui. Un challenge relevé par le jeune automatier français John-Mikaël Flaux qui s’est attelé à cette tâche.
Trot et galop sont des cinématiques qui font intervenir des centaines de muscles et des mouvements dans une harmonie et une fluidité parfaites. Le cabrage ajoute quant à lui, une dimension particulière qui fait de son rendu mécanique, une prouesse ! Il convient en effet d’associer une parfaite stabilité (sur ses membres postérieurs) à une mobilité asynchrone de ses membres antérieurs (on le voit bien dans la vidéo présentée ci-dessous).
La vision d’un cheval cabré s’est imposée à l’automatier en 2019. Concevoir une telle création, parfaitement fluide et purement mécanique, prend le pas sur son imagination. Les défis sont immenses. D’abord, reproduire la physionomie d’un pur-sang arabe. Les connaisseurs doivent pouvoir le reconnaître au premier coup d’œil : le visage fin, les muscles secs, la queue haute et courbe. L’animal doit respirer la vélocité et l’élégance.
Ensuite, la partie mécanique. Le Cabré de John-Mikaël Flaux dissimule en lui, plusieurs automates pour n’en former qu’un : cela comprend des mouvements dissociés pour le corps, la jambe avant gauche, avant droite, la crinière et la tête. L’ensemble devant être mis dans une harmonie gestuelle parfaite et sans la moindre saccade (contrairement à celle qui trahit habituellement les automates).
La imperfection mécanique se remarque automatiquement. John-Mikaël Flaux a d’ailleurs travaillé avec des cavaliers qui ont retoqué certains de ses essais… : mouvement non naturel, trop forcé, trop lent, trop rapide, etc. Un véritable saut d’obstacles auquel l’artisan s’est livré pendant de longs mois. Sans compter l’acoustique de l’œuvre puisque son moteur est totalement silencieux.
Ensuite, la partie mécanique. Le Cabré de John-Mikaël Flaux dissimule en lui, plusieurs automates pour n’en former qu’un : cela comprend des mouvements dissociés pour le corps, la jambe avant gauche, avant droite, la crinière et la tête. L’ensemble devant être mis dans une harmonie gestuelle parfaite et sans la moindre saccade (contrairement à celle qui trahit habituellement les automates).
La imperfection mécanique se remarque automatiquement. John-Mikaël Flaux a d’ailleurs travaillé avec des cavaliers qui ont retoqué certains de ses essais… : mouvement non naturel, trop forcé, trop lent, trop rapide, etc. Un véritable saut d’obstacles auquel l’artisan s’est livré pendant de longs mois. Sans compter l’acoustique de l’œuvre puisque son moteur est totalement silencieux.
Pour autant, la vocation de l’ensemble n’est pas de réaliser une copie conforme du vivant. Le Cabré « a été dessiné à la main. J’ai personnellement réalisé les trois-quarts des composants dans mon propre atelier et j’ai confié le reste, comme la boîte en bois, à des artisans spécialisés. Il faut la main de l’homme pour remonter le mouvement. Il y a dans ce cheval cabré autant de passion que d’intention et de poésie. C’est ce supplément d’âme qui fait la différence et crée une connexion intime avec chaque collectionneur » explique John-Mikaël Flaux.
Chaque Cabré sera unique et sera réalisé en fonction du niveau de personnalisation voulu par le client : matériaux, finitions, couleurs, ainsi que différentes options d’ébénisterie sur le coffret et l’éventuelle montre qu’il pourra inclure. Chaque pièce sera individuellement signée de John-Mikaël Flaux et proposée à la vente par la maison Ben &Bros.
John-Mikaël Flaux conçoit et réalise à la main des automates depuis plus de dix ans. Diplômé en horlogerie, il s’est vu décoré durant sa formation comme l’un des meilleurs apprentis de France. Il créé son propre atelier dès 2008, et en 2012, devient créateur pour la marque suisse Ulysse Nardin. En 2018 il s’émancipe et installe son atelier en France où il créé des automates comme Le Duel, la Car Clock ou Le Guépard.
Chaque Cabré sera unique et sera réalisé en fonction du niveau de personnalisation voulu par le client : matériaux, finitions, couleurs, ainsi que différentes options d’ébénisterie sur le coffret et l’éventuelle montre qu’il pourra inclure. Chaque pièce sera individuellement signée de John-Mikaël Flaux et proposée à la vente par la maison Ben &Bros.
John-Mikaël Flaux conçoit et réalise à la main des automates depuis plus de dix ans. Diplômé en horlogerie, il s’est vu décoré durant sa formation comme l’un des meilleurs apprentis de France. Il créé son propre atelier dès 2008, et en 2012, devient créateur pour la marque suisse Ulysse Nardin. En 2018 il s’émancipe et installe son atelier en France où il créé des automates comme Le Duel, la Car Clock ou Le Guépard.