Bien que les Grecs de l’Antiquité aient inventé à la fois Chronos, dieu du Temps et les Jeux Olympiques, ils ne mesurent pas la vitesse de l’athlète dont seul importe la victoire. En effet, les premières compétitions sportives au sens moderne du temps se développent à partir des années 1850. La recherche de la performance au détriment de la confrontation entre individus ouvre dès lors la porte à la chronométrie horlogère.
Avec les Jeux Olympiques modernes rétablis à Athènes en 1896 sur proposition de Pierre Fredy, baron de Coubertin, l’athlète doit battre des records dans un esprit qui associe sport, culture et éducation. Ainsi précision, perfection, élégance, beauté, qualité, exclusivité, en un mot exigence, sont les valeurs du sportif, identiques depuis toujours à celles du Maître horloger dont les montres d’exception reflètent le génie humain.
Ce dernier, dans l’exposition « La Haute Horlogerie célèbre le Sport » ne se traduit ni par des appareils technologiques qui depuis plus d’un siècle chronomètrent scientifiquement l’exploit de l’Athlète, ni par des montres fonctionnelles ou éditées pour commémorer un évènement sportif. Il se manifeste par contre au travers de soixante-quatorze œuvres horlogères choisies pour la technique, le savoir, le savoir faire et la beauté qu’elles renferment, exprimant ainsi un idéal de dépassement et de valorisation identique à celui du sportif auquel chacun cherche à s’identifier.
Ces montres-bracelet mises en scène par Dominique Fléchon proviennent à la fois du patrimoine des marques et des principaux musées d’horlogerie suisses. Les photographies d’art qui accompagnent la présentation évoquent jusqu’aux années 1970 l’influence mutuelle des sports mécaniques ou physiques et de la montre-bracelet. La fonctionnalité des garde-temps s’estompe ensuite, apparemment supplantée par le design. Au cours des dernières années, l’iconographie prouve que les montres les plus élaborées des Maîtres horlogers sont toujours techniquement en osmose avec les épreuves entreprises par des hommes d’exception, héros de notre temps.
L’exposition est complétée par un ouvrage bilingue français-anglais conçu par Franco Cologni, Dominique Fléchon et Suzanne Tise-Isoré.
Avec les Jeux Olympiques modernes rétablis à Athènes en 1896 sur proposition de Pierre Fredy, baron de Coubertin, l’athlète doit battre des records dans un esprit qui associe sport, culture et éducation. Ainsi précision, perfection, élégance, beauté, qualité, exclusivité, en un mot exigence, sont les valeurs du sportif, identiques depuis toujours à celles du Maître horloger dont les montres d’exception reflètent le génie humain.
Ce dernier, dans l’exposition « La Haute Horlogerie célèbre le Sport » ne se traduit ni par des appareils technologiques qui depuis plus d’un siècle chronomètrent scientifiquement l’exploit de l’Athlète, ni par des montres fonctionnelles ou éditées pour commémorer un évènement sportif. Il se manifeste par contre au travers de soixante-quatorze œuvres horlogères choisies pour la technique, le savoir, le savoir faire et la beauté qu’elles renferment, exprimant ainsi un idéal de dépassement et de valorisation identique à celui du sportif auquel chacun cherche à s’identifier.
Ces montres-bracelet mises en scène par Dominique Fléchon proviennent à la fois du patrimoine des marques et des principaux musées d’horlogerie suisses. Les photographies d’art qui accompagnent la présentation évoquent jusqu’aux années 1970 l’influence mutuelle des sports mécaniques ou physiques et de la montre-bracelet. La fonctionnalité des garde-temps s’estompe ensuite, apparemment supplantée par le design. Au cours des dernières années, l’iconographie prouve que les montres les plus élaborées des Maîtres horlogers sont toujours techniquement en osmose avec les épreuves entreprises par des hommes d’exception, héros de notre temps.
L’exposition est complétée par un ouvrage bilingue français-anglais conçu par Franco Cologni, Dominique Fléchon et Suzanne Tise-Isoré.