En cette période pour le moins inhabituelle et post-confinement (ou presque), l’idée de partir pour de longues randonnées dans la forêt, dans la campagne ou dans la montage s’avère assez séduisante. Quittons donc les villes et leurs clusters pour s’aérer les poumons et l’esprit en marchant.
L’authenticité étant la marque première de l’élégance, on prendra soin de s’équiper d’un vêtement ou d’un soulier authentique qui soit porté dans son élément. Et en matière d’authenticité, Le Soulor 1925 est tout ce qu’il y a de plus légitime.
Dans cet esprit, si vous devez vous équiper d’une chaussure de randonnée, votre choix devrait donc se tourner vers leur modèle Vignemale qui emprunte son nom au point culminant des Pyrénées françaises.
L’authenticité étant la marque première de l’élégance, on prendra soin de s’équiper d’un vêtement ou d’un soulier authentique qui soit porté dans son élément. Et en matière d’authenticité, Le Soulor 1925 est tout ce qu’il y a de plus légitime.
Dans cet esprit, si vous devez vous équiper d’une chaussure de randonnée, votre choix devrait donc se tourner vers leur modèle Vignemale qui emprunte son nom au point culminant des Pyrénées françaises.
Ce soulier a accompagné pendant des décennies, les bergers, les randonneurs, et autres bucherons de la région. Des hommes de la montagne qui savent qu’un bon équipement -autant qu’un bon outil- peut leur sauver la vie ou en tout cas, leur éviter bien des dangers et des désagréments.
Si cette entreprise (labellisée « entreprise du patrimoine vivant -EPV ») est bientôt centenaire, elle est née en 1925, elle a bien failli disparaitre… Heureusement, elle a pu survivre grâce à son rachat en 2016 par Stéphane Bajenoff et Philippe Courraché, qui l’ont sauvée de la disparition !
C’est donc grâce à ces deux hommes qu’il reste possible aujourd’hui de s’offrir un modèle Vignemale. Des chaussures à tige haute avec lacets rouges (indispensables) qui sont adaptées à la randonnée moyenne et haute montagne (mais certains la portent en ville depuis quelques temps).
Si cette entreprise (labellisée « entreprise du patrimoine vivant -EPV ») est bientôt centenaire, elle est née en 1925, elle a bien failli disparaitre… Heureusement, elle a pu survivre grâce à son rachat en 2016 par Stéphane Bajenoff et Philippe Courraché, qui l’ont sauvée de la disparition !
C’est donc grâce à ces deux hommes qu’il reste possible aujourd’hui de s’offrir un modèle Vignemale. Des chaussures à tige haute avec lacets rouges (indispensables) qui sont adaptées à la randonnée moyenne et haute montagne (mais certains la portent en ville depuis quelques temps).
Elles sont réalisées dans des cuirs gras et souples de la tannerie Degermann de Barr. L’un des intérêts de Le Soulor 1925, c’est la personnalisation de votre paire : vous pouvez choisir le cuir (naturel ou acajou), la doublure laine ou non et le type de semelle (trois choix pour cette référence).
De la découpe du cuir à la couture, tout est fait sur place à Pontacq dans le Béarn, au sein du même atelier historique. Pour sa fabrication, compter environ deux mois. Compter entre 325 et 375 euros (disponible en ligne).
L’Atelier Le Soulor
25 rue Maréchal Foch
64530 Pontacq
De la découpe du cuir à la couture, tout est fait sur place à Pontacq dans le Béarn, au sein du même atelier historique. Pour sa fabrication, compter environ deux mois. Compter entre 325 et 375 euros (disponible en ligne).
L’Atelier Le Soulor
25 rue Maréchal Foch
64530 Pontacq