L’horlogerie traditionnelle telle que nous la connaissons est en pleine évolution. De nos jours, les montres changent de forme et cessent d’être de simples objets plus ou moins plats pour se développer en trois dimensions…
« Grâce à ses montres et ses instruments, Linde Werdelin a imprimé sa marque dans l’industrie horlogère en créant la première montre totalement squelette au mouvement entièrement apparent, la SpidoLite » rappelle la marque dans son communiqué.
Deux ans plus tard, Linde Werdelin continue de repousser les limites du design et de la construction en annonçant le lancement de SpidoSpeed, un instrument qui permet de vivre pleinement la 3D avec une structure squelette.
SpidoSpeed est par ailleurs le premier chronographe de la marque ; il s’inspire de l’industrie automobile, tout en conservant une forte parenté avec la gamme SpidoLite. Plus concrètement, ce modèle présente un boitier en acier de type squelette nouveau et plus complexe qui a bénéficié de la technologie de la réduction du poids tout en maintenant l’intégrité de sa résistance. Ceci, associé à une structure de cadran multicouche, permet de profiter de la 3D dans sa globalité.
La référence à l’industrie automobile est évidente lorsque l’on examine les caractéristiques détaillées de la surface du cadran ainsi que les petits trous visibles sur les compteurs qui rappellent les disques de frein et les perforations arrondies sur le bracelet comme clin d’oeil aux gants de conduite.
« J’ai souhaité que le SpidoSpeed soit entièrement conçu en trois dimensions, quel que soit l’angle à partir duquel on le regarde », explique à ce sujet Morten Linde. « Que ce soit au niveau du cadran à dix couches, du boîtier à structure squelette, du fond transparent ou du bracelet, j’ai voulu que ce modèle permette à son propriétaire de vivre une expérience 3D globale ».
« Grâce à ses montres et ses instruments, Linde Werdelin a imprimé sa marque dans l’industrie horlogère en créant la première montre totalement squelette au mouvement entièrement apparent, la SpidoLite » rappelle la marque dans son communiqué.
Deux ans plus tard, Linde Werdelin continue de repousser les limites du design et de la construction en annonçant le lancement de SpidoSpeed, un instrument qui permet de vivre pleinement la 3D avec une structure squelette.
SpidoSpeed est par ailleurs le premier chronographe de la marque ; il s’inspire de l’industrie automobile, tout en conservant une forte parenté avec la gamme SpidoLite. Plus concrètement, ce modèle présente un boitier en acier de type squelette nouveau et plus complexe qui a bénéficié de la technologie de la réduction du poids tout en maintenant l’intégrité de sa résistance. Ceci, associé à une structure de cadran multicouche, permet de profiter de la 3D dans sa globalité.
La référence à l’industrie automobile est évidente lorsque l’on examine les caractéristiques détaillées de la surface du cadran ainsi que les petits trous visibles sur les compteurs qui rappellent les disques de frein et les perforations arrondies sur le bracelet comme clin d’oeil aux gants de conduite.
« J’ai souhaité que le SpidoSpeed soit entièrement conçu en trois dimensions, quel que soit l’angle à partir duquel on le regarde », explique à ce sujet Morten Linde. « Que ce soit au niveau du cadran à dix couches, du boîtier à structure squelette, du fond transparent ou du bracelet, j’ai voulu que ce modèle permette à son propriétaire de vivre une expérience 3D globale ».
Au total, 32 composants ont été méticuleusement assemblés pour constituer le boitier (en trois parties). La première partie consiste en une chambre cylindrique qui repose à l’intérieur de la troisième partie et s’accroche sur le fond du boîtier (la deuxième partie). Il aura fallu deux ans pour parvenir à ce résultat…
La structure squelette s’est avérée être la pièce la plus compliquée et la plus longue à réaliser, du fait de la complexité de sa configuration. En effet, le perçage du boîtier a dû se faire à l’aide de deux machines à 5 axes différentes et extrêmement sophistiquées. Et l’opération de réglage de la machine à 5 axes prend à elle seule presque une journée de travail !
Par ailleurs, le boîtier a été surélevé de 3mm par rapport à celui de la SpidoLite, afin de faire de la place pour accommoder les poussoirs du chronographe. « Cette construction de boitier -plus ouvert- permet de réduire le matériau utilisé, sans aucun compromis au niveau de la solidité et de l’étanchéité de l’ensemble » assure la marque dans son communiqué.
Les poussoirs du chronographe sont dissimulés à 2 et 4 heures sur le côté du boîtier et parfaitement protégés lors des activités sportives, tout en permettant d’attacher le Rock (instrument pour le ski) et le Reef (instrument pour la plongée).
De son côté, le cadran a été construit en deux parties, en obéissant à la même philosophie que le boîtier mais en rajoutant de la profondeur à la montre lorsqu’on lit l’heure. L’utilisation de combinaisons de surfaces et de couleurs différentes permet également de renforcer cette profondeur, avec là-encore, une forte référence à l’industrie des voitures de course.
« Le fait d’ajouter jusqu’à dix couches sur le cadran seul accentue l’aspect 3D. Le SpidoSpeed joue sur la capacité de l’oeil à faire le point sur des détails de l’ordre du millimètre, ce qui rend cette montre particulièrement fascinante », ajoute encore Morten Linde.
Le fond de cadran perlé (partie inférieure) arbore le logo de Linde Werdelin et constitue la base sur laquelle repose la partie supérieure, qui affiche les repères et les chiffres, ainsi que les compteurs du chronographe indiquant les heures, les minutes et les secondes. La base du cadran a été percée aux endroits où reposent les compteurs afin de rappeler les disques de frein d’une voiture de course.
Les compteurs sont conçus pour maximiser la lisibilité du cadran. Le compteur des heures, situé à 6 heures, occupe une place privilégiée en tant que cadran principal, tandis que celui des minutes est placé à 3 heures et celui des secondes à 9 heures. La lettre « R » à 4 heures sur le compteur des heures symbolise « Rock » ou « Reef » et donne une indication du temps qu’il faut pour recharger complètement l’instrument.
« La conception d’un chronographe constitue un défi que l’on a relevé avec plaisir », explique Morten Linde. « A mes yeux, un chronographe est une pièce d’horlogerie hautement symbolique. La somme des informations à incorporer dans si peu d’espace est telle que, pour moi, parvenir à conserver une lisibilité et une fonctionnalité optimum tout en proposant un instrument intéressant représente un véritable challenge ».
Le SpidoSpeed bénéficie d’un mouvement de chronographe intégré, réalisé sur mesure pour LW (par Concepto), qui est en partie visible au travers du fond de boîtier en cristal saphir. Son rotor est spécifiquement conçu pour s’aligner également de façon graphique sur le boîtier SpidoSpeed.
La structure squelette s’est avérée être la pièce la plus compliquée et la plus longue à réaliser, du fait de la complexité de sa configuration. En effet, le perçage du boîtier a dû se faire à l’aide de deux machines à 5 axes différentes et extrêmement sophistiquées. Et l’opération de réglage de la machine à 5 axes prend à elle seule presque une journée de travail !
Par ailleurs, le boîtier a été surélevé de 3mm par rapport à celui de la SpidoLite, afin de faire de la place pour accommoder les poussoirs du chronographe. « Cette construction de boitier -plus ouvert- permet de réduire le matériau utilisé, sans aucun compromis au niveau de la solidité et de l’étanchéité de l’ensemble » assure la marque dans son communiqué.
Les poussoirs du chronographe sont dissimulés à 2 et 4 heures sur le côté du boîtier et parfaitement protégés lors des activités sportives, tout en permettant d’attacher le Rock (instrument pour le ski) et le Reef (instrument pour la plongée).
De son côté, le cadran a été construit en deux parties, en obéissant à la même philosophie que le boîtier mais en rajoutant de la profondeur à la montre lorsqu’on lit l’heure. L’utilisation de combinaisons de surfaces et de couleurs différentes permet également de renforcer cette profondeur, avec là-encore, une forte référence à l’industrie des voitures de course.
« Le fait d’ajouter jusqu’à dix couches sur le cadran seul accentue l’aspect 3D. Le SpidoSpeed joue sur la capacité de l’oeil à faire le point sur des détails de l’ordre du millimètre, ce qui rend cette montre particulièrement fascinante », ajoute encore Morten Linde.
Le fond de cadran perlé (partie inférieure) arbore le logo de Linde Werdelin et constitue la base sur laquelle repose la partie supérieure, qui affiche les repères et les chiffres, ainsi que les compteurs du chronographe indiquant les heures, les minutes et les secondes. La base du cadran a été percée aux endroits où reposent les compteurs afin de rappeler les disques de frein d’une voiture de course.
Les compteurs sont conçus pour maximiser la lisibilité du cadran. Le compteur des heures, situé à 6 heures, occupe une place privilégiée en tant que cadran principal, tandis que celui des minutes est placé à 3 heures et celui des secondes à 9 heures. La lettre « R » à 4 heures sur le compteur des heures symbolise « Rock » ou « Reef » et donne une indication du temps qu’il faut pour recharger complètement l’instrument.
« La conception d’un chronographe constitue un défi que l’on a relevé avec plaisir », explique Morten Linde. « A mes yeux, un chronographe est une pièce d’horlogerie hautement symbolique. La somme des informations à incorporer dans si peu d’espace est telle que, pour moi, parvenir à conserver une lisibilité et une fonctionnalité optimum tout en proposant un instrument intéressant représente un véritable challenge ».
Le SpidoSpeed bénéficie d’un mouvement de chronographe intégré, réalisé sur mesure pour LW (par Concepto), qui est en partie visible au travers du fond de boîtier en cristal saphir. Son rotor est spécifiquement conçu pour s’aligner également de façon graphique sur le boîtier SpidoSpeed.
Linde Werdeling en quelques mots…
Morten Linde et Jorn Werdelin ont fondé la société Linde Werdelin en 2002 et proposent depuis des montres et des instruments de plongée et de ski amovibles qui ont redéfini le monde des montres de sport haut de gamme en rassemblant le savoir-faire horloger suisse et le design danois associés à une technologie d’avant-garde. Ainsi, les instruments Reef et Rock s’attachent de façon sécurisée sur le dessus de la montre pour intensifier la pratique des activités sportives, que ce soit et à la mer pour le Reef et à la montagne pour le Rock. D’une manière générale, Linde Werdelin se spécialise dans la production en petites séries limitées de montres numérotées, à commencer par la série A de 100 pièces.
Spécifications techniques de la Linde Werdelin SpidoSpeed Chronograph Skeleton Watch
Mouvement chronographe
Nombre de composants : 237
Fréquence du balancier : 28 800 Alt/H
Oscillateur conçu par LW
Réserve de marche : 48 heures
Boîtier : constitué de trois parties en acier de construction microbilles
Nombre de pièces : 32
Verre saphir anti-reflets
Boîtier noir : crystal saphir transparent, motifs gravés sur les compteurs et motifs en toile d’araignée / Vis insérée dans la couronne avec le logo LW / Poussoirs du chronographe à 2 et 4 heures
Dimensions : 44 mm (l) sur 46 mm (L) sur 15 mm (h)
Cadran noir galvanisé en deux parties : fond à surface perlée, partie supérieure du cadran en opaline / Compteurs de chronographe pour les heures, les minutes et les secondes / Aiguilles : six aiguilles en forme diamant découpées à la main / SLN gris sur le cadran principal et les repères des compteurs
Etanchéité : 100 m
Bracelet en cuir de veau à motif texturé SpidoSpeed avec boucle déployante
Série A numérotée, XX/100
Les SpidoSpeed Steel, Black DLC et Rose Gold Titanium DLC sont respectivement commercialisées à 11.760 euros, 12.360 euros et 16.560 euros
Nombre de composants : 237
Fréquence du balancier : 28 800 Alt/H
Oscillateur conçu par LW
Réserve de marche : 48 heures
Boîtier : constitué de trois parties en acier de construction microbilles
Nombre de pièces : 32
Verre saphir anti-reflets
Boîtier noir : crystal saphir transparent, motifs gravés sur les compteurs et motifs en toile d’araignée / Vis insérée dans la couronne avec le logo LW / Poussoirs du chronographe à 2 et 4 heures
Dimensions : 44 mm (l) sur 46 mm (L) sur 15 mm (h)
Cadran noir galvanisé en deux parties : fond à surface perlée, partie supérieure du cadran en opaline / Compteurs de chronographe pour les heures, les minutes et les secondes / Aiguilles : six aiguilles en forme diamant découpées à la main / SLN gris sur le cadran principal et les repères des compteurs
Etanchéité : 100 m
Bracelet en cuir de veau à motif texturé SpidoSpeed avec boucle déployante
Série A numérotée, XX/100
Les SpidoSpeed Steel, Black DLC et Rose Gold Titanium DLC sont respectivement commercialisées à 11.760 euros, 12.360 euros et 16.560 euros