1/ Lionel, quelle a été votre toute première montre ?
Ma toute première montre m'a été offerte, a l'âge de 15 ans, par mon père. Il s'agissait d'une TAG Heuer dont il avait changé le bracelet. Malheureusement, je l'ai cassée, puis perdue.
Cependant, je crois que ma passion pour les montres est née à cette époque là. Ensuite, il m'a fallu attendre et économiser pour pouvoir acquérir une montre de luxe. Une de celles que l'on câline, que l'on caresse, que l'on regarde, que l'on a envie de conserver...
2/ En tant que pilote et instructeur de pilotage, quelles sont les qualités indispensables pour qu'une montre tienne la route ?
Personnellement il me faut une fiabilité et une solidité à toute épreuve. J'ai envie de pouvoir porter ma montre et la mettre en avant parce qu'elle est belle, mais je ne veux pas avoir à m'en préoccuper à longueur de temps.
Côté mouvement, il me faut une mécanique qui résiste bien aux chocs et aux vibrations de la voiture pendant les courses. Si dans mon métier je recherche le centième de seconde à chaque fois que je suis derrière le volant, dans la vie de tous les jours, je me repose un peu. Je ne recherche donc pas l'extrême précision à tout prix. Et ma montre me ressemble.
Côté boitier, il faut qu'il soit résistant et qu'il ne marque pas trop à chaque coup qu'il reçoit. Enfin, côté esthétique, j'aime les montres qui sont à la fois belles et viriles.
Ma toute première montre m'a été offerte, a l'âge de 15 ans, par mon père. Il s'agissait d'une TAG Heuer dont il avait changé le bracelet. Malheureusement, je l'ai cassée, puis perdue.
Cependant, je crois que ma passion pour les montres est née à cette époque là. Ensuite, il m'a fallu attendre et économiser pour pouvoir acquérir une montre de luxe. Une de celles que l'on câline, que l'on caresse, que l'on regarde, que l'on a envie de conserver...
2/ En tant que pilote et instructeur de pilotage, quelles sont les qualités indispensables pour qu'une montre tienne la route ?
Personnellement il me faut une fiabilité et une solidité à toute épreuve. J'ai envie de pouvoir porter ma montre et la mettre en avant parce qu'elle est belle, mais je ne veux pas avoir à m'en préoccuper à longueur de temps.
Côté mouvement, il me faut une mécanique qui résiste bien aux chocs et aux vibrations de la voiture pendant les courses. Si dans mon métier je recherche le centième de seconde à chaque fois que je suis derrière le volant, dans la vie de tous les jours, je me repose un peu. Je ne recherche donc pas l'extrême précision à tout prix. Et ma montre me ressemble.
Côté boitier, il faut qu'il soit résistant et qu'il ne marque pas trop à chaque coup qu'il reçoit. Enfin, côté esthétique, j'aime les montres qui sont à la fois belles et viriles.
3/ Justement, que portez-vous comme montre actuellement ? Et pourquoi ?
Depuis 2005 je porte une Panerai. Un modèle Luminor Marina, la PAM 111, celle avec la petite seconde à 9 heures. J'ai choisi cette montre pour plusieurs raisons.
La première, c'est que je la trouve très sexy. Elle ne ressemble à aucune autre. Le boîtier, à la fois rond et carré, est très masculin. Et puis son fond avec la glace saphir lui donne un relief particulier dès le premier coup d'œil. J'ai un peu l'impression qu'elle me ressemble !
La deuxième raison, c'est que cette montre est d'origine italienne comme mes lointains aïeux. Enfin, je l'ai adopté pour sa solidité.
Au départ, j'ai découvert cette marque dans un magazine. C'est là que j'en suis tombé amoureux. J'ai choisi un modèle de la gamme « historique », car dans la photo qui présentait Officine Panerai, j'ai pu admirer l'un des modèles d'origine : le boitier était martelé par le temps, la glace était tellement rayée que l'on ne distinguait plus le cadran et le bracelet en cuir paraissait bien fatigué... Tout comme le mien d'ailleurs ! C'était une pièce des années 40. Et là, je me suis dit : « si dans cinquante ans, ma montre ressemble à ça, alors c'est celle là que je veux ! ».
J'ai donc cherché ma PAM 111 dans toute la France. Je l'ai trouvé à Marseille, chez Frojo. Je les ai appelés pour la réserver et je l'ai acheté sans hésiter.
4/ Lionel, quels sont les autres modèles de montres qui vous font craquer ?
J'aime les Bell&Ross, notamment la BR01 avec réserve de marche. J'aime également la TAG Heuer Monaco. Normal, c'est une montre de pilote. Et puis je craque aussi pour une pièce moins connue, la Manometro de Guiliano Mazzuolli. J'aime son design épuré. Mais j'aimerais bien m'offrir encore une Panerai, une avec réserve de marche !
5/ Enfin, quelles sont vos trois marques préférées ?
Clairement, en premier, c'est Panerai. Ensuite j'aime bien Bell & Ross, et puis Hublot qui vient de sortir une « Foudroyante Ayrton Senna ». Tout simplement magnifique.
Propos recueillis par Jean-Philippe Tarot pour www.montres-de-luxe.com
Depuis 2005 je porte une Panerai. Un modèle Luminor Marina, la PAM 111, celle avec la petite seconde à 9 heures. J'ai choisi cette montre pour plusieurs raisons.
La première, c'est que je la trouve très sexy. Elle ne ressemble à aucune autre. Le boîtier, à la fois rond et carré, est très masculin. Et puis son fond avec la glace saphir lui donne un relief particulier dès le premier coup d'œil. J'ai un peu l'impression qu'elle me ressemble !
La deuxième raison, c'est que cette montre est d'origine italienne comme mes lointains aïeux. Enfin, je l'ai adopté pour sa solidité.
Au départ, j'ai découvert cette marque dans un magazine. C'est là que j'en suis tombé amoureux. J'ai choisi un modèle de la gamme « historique », car dans la photo qui présentait Officine Panerai, j'ai pu admirer l'un des modèles d'origine : le boitier était martelé par le temps, la glace était tellement rayée que l'on ne distinguait plus le cadran et le bracelet en cuir paraissait bien fatigué... Tout comme le mien d'ailleurs ! C'était une pièce des années 40. Et là, je me suis dit : « si dans cinquante ans, ma montre ressemble à ça, alors c'est celle là que je veux ! ».
J'ai donc cherché ma PAM 111 dans toute la France. Je l'ai trouvé à Marseille, chez Frojo. Je les ai appelés pour la réserver et je l'ai acheté sans hésiter.
4/ Lionel, quels sont les autres modèles de montres qui vous font craquer ?
J'aime les Bell&Ross, notamment la BR01 avec réserve de marche. J'aime également la TAG Heuer Monaco. Normal, c'est une montre de pilote. Et puis je craque aussi pour une pièce moins connue, la Manometro de Guiliano Mazzuolli. J'aime son design épuré. Mais j'aimerais bien m'offrir encore une Panerai, une avec réserve de marche !
5/ Enfin, quelles sont vos trois marques préférées ?
Clairement, en premier, c'est Panerai. Ensuite j'aime bien Bell & Ross, et puis Hublot qui vient de sortir une « Foudroyante Ayrton Senna ». Tout simplement magnifique.
Propos recueillis par Jean-Philippe Tarot pour www.montres-de-luxe.com
La colonne bambou, par Lionel Comole
La Colonne Bambou de Lionel Comole, vient de sortir en librairie. Cet ouvrage, dans lequel le jeune pilote atteint de spondylarthrite ankylosante, nous décrit comment il a appris petit à petit à apprivoiser sa maladie. Un livre qui invite chacun à comprendre cette affection, à l'étudier mais aussi à l'accepter pour mieux la combattre.
La colonne Bambou, c'est le récit d'une vie, celle de Lionel Comole qui se construit autour de sa colonne vertébrale. Celle-ci dicte son existence et détruit ses rêves, elle organise sa réalité et paradoxalement nourrit son énergie… La maladie de la Colonne Bambou soude les os de Lionel mais il lutte au quotidien pour l'empêcher de progresser.
Lionel ne raffole pas des médecins et déteste les médicaments. Depuis tout gamin, il ne cesse pourtant de croiser les premiers, et d'avaler les seconds. Ces maux avancent hypocrites et sournois. Sans pour autant gâcher ses rêves. A vingt-cinq ans, il mène une vie saine, termine ses études d'ingénieur. Il aime le sport et rêve de course automobile…
Mais le mal le rattrape encore, le plonge dans le calvaire de cette maladie terriblement douloureuse qui est alors diagnostiquée : Lionel souffre de spondylarthrite ankylosante. Une maladie de la famille des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques. Un fléau qui touche de plus en plus de Français – 600 000 personnes.
Aujourd'hui âgé de 32 ans, Lionel Comole n'en a pas moins réussi à se construire. Il est ingénieur, marié, père de famille et pilote des voitures de course. En effectuant des performances de haut niveau, il promeut la recherche sur ces Rhumatismes Inflammatoires Chroniques et délivre lors du prestigieux Championnat de France des rallyes des messages positifs comme une première victoire contre la maladie.
Lionel décrit de ce livre vérité toute la souffrance et les difficultés qu'entraîne cette maladie. Il nous invite aussi à vibrer pour ses passions, les moteurs de sa vie. C'est un homme dynamique, battant et courageux qui veut mener une vie heureuse et contredire l'idée que la maladie pourrait l'en priver.
Les droits d’auteur de cet ouvrage seront reversés à la Fondation Arthritis pour lutter contre cette maladie.
La colonne bambou de Lionel Comole.
La colonne Bambou, c'est le récit d'une vie, celle de Lionel Comole qui se construit autour de sa colonne vertébrale. Celle-ci dicte son existence et détruit ses rêves, elle organise sa réalité et paradoxalement nourrit son énergie… La maladie de la Colonne Bambou soude les os de Lionel mais il lutte au quotidien pour l'empêcher de progresser.
Lionel ne raffole pas des médecins et déteste les médicaments. Depuis tout gamin, il ne cesse pourtant de croiser les premiers, et d'avaler les seconds. Ces maux avancent hypocrites et sournois. Sans pour autant gâcher ses rêves. A vingt-cinq ans, il mène une vie saine, termine ses études d'ingénieur. Il aime le sport et rêve de course automobile…
Mais le mal le rattrape encore, le plonge dans le calvaire de cette maladie terriblement douloureuse qui est alors diagnostiquée : Lionel souffre de spondylarthrite ankylosante. Une maladie de la famille des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques. Un fléau qui touche de plus en plus de Français – 600 000 personnes.
Aujourd'hui âgé de 32 ans, Lionel Comole n'en a pas moins réussi à se construire. Il est ingénieur, marié, père de famille et pilote des voitures de course. En effectuant des performances de haut niveau, il promeut la recherche sur ces Rhumatismes Inflammatoires Chroniques et délivre lors du prestigieux Championnat de France des rallyes des messages positifs comme une première victoire contre la maladie.
Lionel décrit de ce livre vérité toute la souffrance et les difficultés qu'entraîne cette maladie. Il nous invite aussi à vibrer pour ses passions, les moteurs de sa vie. C'est un homme dynamique, battant et courageux qui veut mener une vie heureuse et contredire l'idée que la maladie pourrait l'en priver.
Les droits d’auteur de cet ouvrage seront reversés à la Fondation Arthritis pour lutter contre cette maladie.
La colonne bambou de Lionel Comole.