Bâle 1991 : j’avais six ans ! Pour la première fois, je suis allé voir mon père (ndlr : Pierre-Michel Herbelin) à la foire de Bâle pour une journée. Le tout premier souvenir qui me vient à l’esprit : l’émerveillement.
Un émerveillement de voir de si beaux stands. C’était le début, qui depuis, n’a cessé d’évoluer dans la surenchère… J’étais fasciné tellement c’était incroyable à mes yeux.
Et ensuite, chaque année, je rêvais d’aller à la foire de Bâle. C’était une fête pour moi que d’y passer une journée. Et, j’étais toujours très déçu de devoir rentrer le soir ! Il y avait alors une ambiance extraordinaire, entretenue par de nombreux échanges entre les marques alors que sur la fin, tout était devenu très cloisonné.
Tout le monde se connaissait. J’allais sur les stands où j’étais accueilli à bras ouverts. Quelle convivialité ! A l’époque, je prenais un vrai plaisir à observer les stands, à juger quels étaient les plus beaux, à voir où il y avait le plus de monde. L'ambiance était conviviale et c'est devenu, au fil du temps, un rendez-vous incontournable pour moi.
Dix-huit ans plus tard, l’année 2009 marquera ma première foire de Bâle en tant que professionnel. Je peux dire qu'à l'époque encore, c'était un événement déterminant pour les marques. Lorsque l'affluence et l'enthousiasme étaient présents, cela présageait d’une bonne année.
Cela nous permettait également de concrétiser des contrats internationaux majeurs. Je pense notamment à la Corée du Sud qui est encore, à l'heure actuelle, l'un de nos principaux clients.
Un émerveillement de voir de si beaux stands. C’était le début, qui depuis, n’a cessé d’évoluer dans la surenchère… J’étais fasciné tellement c’était incroyable à mes yeux.
Et ensuite, chaque année, je rêvais d’aller à la foire de Bâle. C’était une fête pour moi que d’y passer une journée. Et, j’étais toujours très déçu de devoir rentrer le soir ! Il y avait alors une ambiance extraordinaire, entretenue par de nombreux échanges entre les marques alors que sur la fin, tout était devenu très cloisonné.
Tout le monde se connaissait. J’allais sur les stands où j’étais accueilli à bras ouverts. Quelle convivialité ! A l’époque, je prenais un vrai plaisir à observer les stands, à juger quels étaient les plus beaux, à voir où il y avait le plus de monde. L'ambiance était conviviale et c'est devenu, au fil du temps, un rendez-vous incontournable pour moi.
Dix-huit ans plus tard, l’année 2009 marquera ma première foire de Bâle en tant que professionnel. Je peux dire qu'à l'époque encore, c'était un événement déterminant pour les marques. Lorsque l'affluence et l'enthousiasme étaient présents, cela présageait d’une bonne année.
Cela nous permettait également de concrétiser des contrats internationaux majeurs. Je pense notamment à la Corée du Sud qui est encore, à l'heure actuelle, l'un de nos principaux clients.
Maxime Herbelin est le directeur marketing associé et le petit-fils du fondateur de la maison horlogère Michel Herbelin, entreprise française installée à Charquemont dans le Doubs depuis 1947.