Cette montre a été conçue comme un régulateur avec son aiguille de minutes au centre et ses deux compteurs à heures sautantes respectivement dédiés au temps local et à celui du lieu de départ.
Ce nouveau garde-temps de chez Cartier est estampillé du Poinçon de Genève et fait de sa transparence un jeu pour révéler aux amateurs avertis quelques détails de sa fascinante et mouvante mécanique.
Avec la Ballon Bleu de Cartier tourbillon second fuseau double sautant, « la symétrie d’ensemble et ses nobles volumes ont été mis en valeur par un jeu de ruptures harmoniques judicieusement choisies » assure la marque dans son communiqué.
Le but : faire se concentrer le regard en quelques points préalablement déterminés comme les disques d’heures sautantes, afin de lui offrir les moyens d’accéder intuitivement aux deux informations horaires qui lui sont proposées et pour laquelle cette montre a été créée.
Une fois saisis les chiffres des deux fuseaux pointés par les aiguilles bleues individuellement paramétrables, l’oeil pourrait s’étonner du puissant diamètre de ce garde-temps. Comme par magie, son fin dessin inspiré d’une montre de poche fait oublier ses 46 mm et, dans le même temps, magnifie les courbes de sa carrure adaptée à tous les poignets.
Posée au creux de la paume avant d’être passée au poignet, cette montre Cartier révèle, par ses deux faces, combien son mouvement estampillé du Poinçon de Genève possède une véritable dimension de sculpture cinétique.
Fruit d’une réflexion globale associant ingénieurs et horlogers, ce garde-temps dispose d’un calibre mécanique à remontage manuel de manufacture régulé par un tourbillon volant (calibre 9456 MC) dont la cage, légèrement surélevée pour s’inscrire au cœur de la mécanique du double fuseau sautant, s’inspire du « C » de Cartier.
Ce nouveau garde-temps de chez Cartier est estampillé du Poinçon de Genève et fait de sa transparence un jeu pour révéler aux amateurs avertis quelques détails de sa fascinante et mouvante mécanique.
Avec la Ballon Bleu de Cartier tourbillon second fuseau double sautant, « la symétrie d’ensemble et ses nobles volumes ont été mis en valeur par un jeu de ruptures harmoniques judicieusement choisies » assure la marque dans son communiqué.
Le but : faire se concentrer le regard en quelques points préalablement déterminés comme les disques d’heures sautantes, afin de lui offrir les moyens d’accéder intuitivement aux deux informations horaires qui lui sont proposées et pour laquelle cette montre a été créée.
Une fois saisis les chiffres des deux fuseaux pointés par les aiguilles bleues individuellement paramétrables, l’oeil pourrait s’étonner du puissant diamètre de ce garde-temps. Comme par magie, son fin dessin inspiré d’une montre de poche fait oublier ses 46 mm et, dans le même temps, magnifie les courbes de sa carrure adaptée à tous les poignets.
Posée au creux de la paume avant d’être passée au poignet, cette montre Cartier révèle, par ses deux faces, combien son mouvement estampillé du Poinçon de Genève possède une véritable dimension de sculpture cinétique.
Fruit d’une réflexion globale associant ingénieurs et horlogers, ce garde-temps dispose d’un calibre mécanique à remontage manuel de manufacture régulé par un tourbillon volant (calibre 9456 MC) dont la cage, légèrement surélevée pour s’inscrire au cœur de la mécanique du double fuseau sautant, s’inspire du « C » de Cartier.
Son cœur individuellement numéroté, à la symétrie très étudiée, laisse voir à travers le cadran savamment squeletté une partie du mécanisme rétrograde permettant l’affichage des deux heures sautantes parfaitement synchronisées, mais indépendamment paramétrables.
La première, réglable par la couronne de remontoir, inscrite dans le flanc de la boîte, et lisible à la pointe de l’aiguille bleuie dans le grand compteur portant des chiffres romains, donne l’heure du lieu d’origine. La seconde, associée à l’heure de l’endroit du monde où le porteur de la montre se trouve, se règle par le truchement du poussoir intégré à la carrure à 10 h.
Cette complication modulaire inédite, d’une incroyable utilité pour les esthètes appréciant les voyages aux longs cours, possède un charme rare. Les amateurs de fine mécanique observeront chaque heure durant, et à travers les ajourages du cadran, la lente translation des bascules commandant le saut des aiguilles d’heures. En s’effectuant durant 60 minutes, leur mouvement est presque imperceptible, mais concourt à rendre la consommation énergétique destinée à leur armement négligeable et, par conséquent, sans incidence sur la précision de l’organe réglant.
Chaque construction mécanique élaborée possède toujours quelque chose de féerique. Dans le cas de cette création originale, la magie se révèle en une fraction de seconde, une fois chaque heure échue dans un petit claquement sec que les amateurs de mécanique sophistiquée apprécieront. En effet, une fois que les deux bascules sont arrivées en bout de course (chacune étant associées à un ressort formé en spirale), celles-ci sont libérées. Soumis à l’action de leur ressort, ces deux composants effectuent simultanément un mouvement rétrograde pour reprendre, en une fraction de seconde, leur position de départ. Durant leur déplacement, ces éléments dotés d’un doigt d’armement rétractable attrapent l’une des douze dents de la roue étoilée à laquelle ils sont respectivement assujettis. Ce déplacement fait tourner en un temps inférieur à un battement de cil, chacune des deux roues d’un douzième de tour, entraînant du même coup les deux aiguilles à afficher l’heure suivante dans leurs compteurs respectifs affichant, l’un, l’heure locale, et l’autre, celle du lieu de départ.
Cette montre d’exception est proposée sur bracelet alligator en une édition limitée à 50 exemplaires en or rose comme en or gris.
La première, réglable par la couronne de remontoir, inscrite dans le flanc de la boîte, et lisible à la pointe de l’aiguille bleuie dans le grand compteur portant des chiffres romains, donne l’heure du lieu d’origine. La seconde, associée à l’heure de l’endroit du monde où le porteur de la montre se trouve, se règle par le truchement du poussoir intégré à la carrure à 10 h.
Cette complication modulaire inédite, d’une incroyable utilité pour les esthètes appréciant les voyages aux longs cours, possède un charme rare. Les amateurs de fine mécanique observeront chaque heure durant, et à travers les ajourages du cadran, la lente translation des bascules commandant le saut des aiguilles d’heures. En s’effectuant durant 60 minutes, leur mouvement est presque imperceptible, mais concourt à rendre la consommation énergétique destinée à leur armement négligeable et, par conséquent, sans incidence sur la précision de l’organe réglant.
Chaque construction mécanique élaborée possède toujours quelque chose de féerique. Dans le cas de cette création originale, la magie se révèle en une fraction de seconde, une fois chaque heure échue dans un petit claquement sec que les amateurs de mécanique sophistiquée apprécieront. En effet, une fois que les deux bascules sont arrivées en bout de course (chacune étant associées à un ressort formé en spirale), celles-ci sont libérées. Soumis à l’action de leur ressort, ces deux composants effectuent simultanément un mouvement rétrograde pour reprendre, en une fraction de seconde, leur position de départ. Durant leur déplacement, ces éléments dotés d’un doigt d’armement rétractable attrapent l’une des douze dents de la roue étoilée à laquelle ils sont respectivement assujettis. Ce déplacement fait tourner en un temps inférieur à un battement de cil, chacune des deux roues d’un douzième de tour, entraînant du même coup les deux aiguilles à afficher l’heure suivante dans leurs compteurs respectifs affichant, l’un, l’heure locale, et l’autre, celle du lieu de départ.
Cette montre d’exception est proposée sur bracelet alligator en une édition limitée à 50 exemplaires en or rose comme en or gris.
Spécificités techniques de la montre Ballon Bleu de Cartier tourbillon second fuseau double sautant en or gris
Boîte : en or gris 18 carats
Épaisseur : 13,8 mm
Diamètre : 46 mm
Couronne : cannelée en or gris 18 carats ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : à 30 mètres
Cadran : grille ajourée satinée effet soleil avec décalque noire des chiffres romains et arabes
Aiguilles : en forme de glaive en acier bleui
Bracelet : en alligator noir
Boucle : double déployante réglable en or gris 18 carats
Calibre : 9456MC
Mouvement : mécanique Manufacture à remontage manuel, certifié Poinçon de Genève, tourbillon volant avec cage de tourbillon en forme de C, deux fuseaux à saut instantané
Diamètre d’encageage : 24,5 mm
Diamètre total : 30 mm
Épaisseur : 6,75 mm
Nombre de rubis : 44
Nombre de pièces : 304
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : 50 heures
Épaisseur : 13,8 mm
Diamètre : 46 mm
Couronne : cannelée en or gris 18 carats ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : à 30 mètres
Cadran : grille ajourée satinée effet soleil avec décalque noire des chiffres romains et arabes
Aiguilles : en forme de glaive en acier bleui
Bracelet : en alligator noir
Boucle : double déployante réglable en or gris 18 carats
Calibre : 9456MC
Mouvement : mécanique Manufacture à remontage manuel, certifié Poinçon de Genève, tourbillon volant avec cage de tourbillon en forme de C, deux fuseaux à saut instantané
Diamètre d’encageage : 24,5 mm
Diamètre total : 30 mm
Épaisseur : 6,75 mm
Nombre de rubis : 44
Nombre de pièces : 304
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : 50 heures