Les montres militaires ont toujours exercé une fascination particulière chez les collectionneurs de garde-temps, notamment les montres de pilote. Rappelons que ces garde-temps de pilote furent fabriqués pendant la Seconde guerre mondiale. Dans ce club très fermé de manufactures suisses et allemandes, figure la marque Laco, en compagnie d’IWC, de Lange & Söhne, de Wempe et de Glashütte.
Si le modèle original de 55 mm de diamètre a été réédité d’autres pièces aux tailles tout de même plus portables -de 45, 42 mm et 36 mm- à remontage automatique ou manuel permettent d’accéder plus facilement à ce look rustique et militaire qui nous plait tant. Incontestablement, Laco l’a bien compris.
De fait, désormais, cette montre dotée d’un imposant boitier de 45 mm (épaisseur de 13 mm et étanche à 50 mètres) est proposée dans une intéressante version en bronze, métal de plus en plus présent dans l’industrie horlogère depuis qui Panerai l’a remis au gout du jour, suivi de Tudor et de biens d’autres…
Présentant une teinte initiale évoquant les nuances de l’or rose ou de l’or rouge, le bronze (satiné en l’occurrence) acquiert rapidement une patine qui lui confère un incomparable look « hors d’âge » : du vert-de-gris à l’ardoise en passant par toutes les étapes intermédiaires. Cela dépend du climat, de l’humidité, de l’endroit où vous vivez, etc. Bref, chaque boitier en bronze vieillit différemment et donc, chaque boitier est unique.
Deux versions de cadrans (Baumuster type A et B) sont disponibles et le fond de boite plein est en acier pour éviter les problèmes d’allergie. A noter que les aiguilles en acier bleui et les index affichent un aspect vieilli. Remarquez également l'absence du nom de la marque sur le cadran, ce qui n'est pas pour nous déplaire.
Ce montre se porte sur un bracelet en veau « vieilli » marron clair qui correspond parfaitement à l’esprit du modèle. L’ensemble, « Made in Germany » est parfaitement réussi et le prix reste très raisonnable (dans les 1.500 euros).
Si le modèle original de 55 mm de diamètre a été réédité d’autres pièces aux tailles tout de même plus portables -de 45, 42 mm et 36 mm- à remontage automatique ou manuel permettent d’accéder plus facilement à ce look rustique et militaire qui nous plait tant. Incontestablement, Laco l’a bien compris.
De fait, désormais, cette montre dotée d’un imposant boitier de 45 mm (épaisseur de 13 mm et étanche à 50 mètres) est proposée dans une intéressante version en bronze, métal de plus en plus présent dans l’industrie horlogère depuis qui Panerai l’a remis au gout du jour, suivi de Tudor et de biens d’autres…
Présentant une teinte initiale évoquant les nuances de l’or rose ou de l’or rouge, le bronze (satiné en l’occurrence) acquiert rapidement une patine qui lui confère un incomparable look « hors d’âge » : du vert-de-gris à l’ardoise en passant par toutes les étapes intermédiaires. Cela dépend du climat, de l’humidité, de l’endroit où vous vivez, etc. Bref, chaque boitier en bronze vieillit différemment et donc, chaque boitier est unique.
Deux versions de cadrans (Baumuster type A et B) sont disponibles et le fond de boite plein est en acier pour éviter les problèmes d’allergie. A noter que les aiguilles en acier bleui et les index affichent un aspect vieilli. Remarquez également l'absence du nom de la marque sur le cadran, ce qui n'est pas pour nous déplaire.
Ce montre se porte sur un bracelet en veau « vieilli » marron clair qui correspond parfaitement à l’esprit du modèle. L’ensemble, « Made in Germany » est parfaitement réussi et le prix reste très raisonnable (dans les 1.500 euros).