La clé d'une collaboration réussie est de s'appuyer sur les talents et les compétences uniques de chacun des partenaires pour créer quelque chose qu'aucun d'entre eux ne pourrait produire seul. Dont acte.
The Armoury a été créée à Hong Kong en 2010 par Mark Cho et Alan See. Elle est née de leur passion commune pour le style classique avec la volonté de sensibiliser leurs clients à la confection en les « éduquant » grâce à l’histoire d’artisans d’exception et de leurs produits.
Recherchant constamment l’élégance, spécialiste du sur-mesure, The Armoury est une marque de référence pour les connaisseurs.
The Armoury a été créée à Hong Kong en 2010 par Mark Cho et Alan See. Elle est née de leur passion commune pour le style classique avec la volonté de sensibiliser leurs clients à la confection en les « éduquant » grâce à l’histoire d’artisans d’exception et de leurs produits.
Recherchant constamment l’élégance, spécialiste du sur-mesure, The Armoury est une marque de référence pour les connaisseurs.
À l’origine de ce partenariat ? Une rencontre. Celle de Mark avec Edouard Meylan, en 2019, à New York. Partageant la même passion pour les vêtements et pour les montres, des liens se tissent et l’idée d’une collaboration se fait jour...
Comme le souligne Mark Cho, co-fondateur de The Armoury : « quand Edouard et moi avons commencé à évoquer l'idée de fabriquer une montre ensemble, ma principale exigence était qu'elle soit petite. J'aime les montres qui sont discrètes mais qui révèlent une complexité plus profonde si on leur prête plus d'attention. Pour moi, le cadran fumé et le cadran Vantablack de Moser sont des icônes et je voulais travailler avec l'un d'eux comme point de départ pour le design ».
Et de poursuivre : « rapidement, le Vantablack s’est imposé et j’ai eu l’idée d’ajouter des éléments sur le cadran, ce qui n’avait encore jamais été fait. Mon partenaire de conception, Elliot Hammer, a alors suggéré que nous imaginions le design sur le thème d'une éclipse solaire totale. C'est ainsi qu'est née la Endeavour Small Seconds Total Eclipse ».
Comme le souligne Mark Cho, co-fondateur de The Armoury : « quand Edouard et moi avons commencé à évoquer l'idée de fabriquer une montre ensemble, ma principale exigence était qu'elle soit petite. J'aime les montres qui sont discrètes mais qui révèlent une complexité plus profonde si on leur prête plus d'attention. Pour moi, le cadran fumé et le cadran Vantablack de Moser sont des icônes et je voulais travailler avec l'un d'eux comme point de départ pour le design ».
Et de poursuivre : « rapidement, le Vantablack s’est imposé et j’ai eu l’idée d’ajouter des éléments sur le cadran, ce qui n’avait encore jamais été fait. Mon partenaire de conception, Elliot Hammer, a alors suggéré que nous imaginions le design sur le thème d'une éclipse solaire totale. C'est ainsi qu'est née la Endeavour Small Seconds Total Eclipse ».
Sur le plan conceptuel, ce garde-temps s’annonce comme « la parfaite représentation d’une éclipse solaire totale, quand le soleil est totalement dissimulé derrière la lune ».
Absorbant 99,965% de la lumière comme un véritable trou noir, le cadran en Vantablack évoque la silhouette de la lune, alors que la lunette en acier ainsi que le réhaut intérieur poli, en acier ou en or rouge, représentent le halo de la couronne solaire, soit la partie gazeuse la plus externe de l’atmosphère du soleil, visible à l’œil nu uniquement lors d’une éclipse solaire totale.
Si jusqu’ici, les modèles munis d’un cadran en Vantablack se distinguaient par leur pureté minimaliste absolue, cette montre arbore de nombreux détails, en toute discrétion. À commencer par les index, repères en forme de points d'une grande finesse, qui viennent rythmer le cadran.
Absorbant 99,965% de la lumière comme un véritable trou noir, le cadran en Vantablack évoque la silhouette de la lune, alors que la lunette en acier ainsi que le réhaut intérieur poli, en acier ou en or rouge, représentent le halo de la couronne solaire, soit la partie gazeuse la plus externe de l’atmosphère du soleil, visible à l’œil nu uniquement lors d’une éclipse solaire totale.
Si jusqu’ici, les modèles munis d’un cadran en Vantablack se distinguaient par leur pureté minimaliste absolue, cette montre arbore de nombreux détails, en toute discrétion. À commencer par les index, repères en forme de points d'une grande finesse, qui viennent rythmer le cadran.
Une première pour Moser qui met ici en oeuvre un savoir-faire unique acquis au contact du Vantablack, une surface que l'on peut endommager juste en l'effleurant ! Composé de nanostructures de carbone, elle ne supporte en effet aucun contact. La manufacture de Schaffhouse a donc développé une technique spécifique pour pouvoir satisfaire la demande de Mark et de The Armoury.
Classique, la Endeavour Small Seconds Total Eclipse l’est jusqu’au bout de ses aiguilles, venant compléter à merveille les index. Leur extrémité se terminant par un cercle, les aiguilles des heures et des minutes s’inscrivent dans le style Breguet, particulièrement cher à Mark, alors que l’aiguille de la petite seconde est ornée d’un point du même type que les index. Sur un cadran vierge de tout logo.
« Absolument tout dans ce modèle s’apparente à une quête de l’élégance ultime, associant classicisme et modernité », souligne Edouard Meylan, patron de Moser. « Son diamètre, de 38 mm, est parfaitement équilibré. Nous avons opté pour le plus petit et le plus fin de nos mouvements, le calibre HMC 327 à remontage manuel, muni d’une petite seconde excentrée à 6 heures, qui rappelle l’esthétique des montres de poche ».
Un bracelet noir en veau a été imaginé par The Armoury. Sur boucle ardillon. Deux éditions limitées de 28 exemplaires chacune.
Classique, la Endeavour Small Seconds Total Eclipse l’est jusqu’au bout de ses aiguilles, venant compléter à merveille les index. Leur extrémité se terminant par un cercle, les aiguilles des heures et des minutes s’inscrivent dans le style Breguet, particulièrement cher à Mark, alors que l’aiguille de la petite seconde est ornée d’un point du même type que les index. Sur un cadran vierge de tout logo.
« Absolument tout dans ce modèle s’apparente à une quête de l’élégance ultime, associant classicisme et modernité », souligne Edouard Meylan, patron de Moser. « Son diamètre, de 38 mm, est parfaitement équilibré. Nous avons opté pour le plus petit et le plus fin de nos mouvements, le calibre HMC 327 à remontage manuel, muni d’une petite seconde excentrée à 6 heures, qui rappelle l’esthétique des montres de poche ».
Un bracelet noir en veau a été imaginé par The Armoury. Sur boucle ardillon. Deux éditions limitées de 28 exemplaires chacune.