Plus concrètement, cette exposition présente jusqu’au 24 septembre 2024, toute une collection de petits objets précieux (tabatière, pistolet à parfum, bonbonnière, drageoir, carnet, etc.) en or, enrichis de pierres dures ou de pierres précieuses, couverts de nacre, de porcelaine ou d’émaux translucides, parfois ornés de miniatures.
Naturellement, les usages de ces objets varient, mais ils ressortent tous des us et coutumes d’un quotidien raffiné. Signe de richesse de l’époque, souvenir intime. Rappelons qu’au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitèrent un véritable engouement en France d’abord, puis dans toute l’Europe.
Dans cet esprit, cette exposition souhaite renouveler le regard que l’on porte sur ces objets du quotidien, en adoptant une approche plurielle, qui convoque à la fois l’histoire de l’art et l’histoire de la mode, l’histoire des techniques, l’histoire culturelle et l’anthropologie en faisant résonner ces objets avec d’autres œuvres…
Par exemple :des accessoires de mode, mais aussi les vêtements qu’ils viennent compléter, le mobilier où ils sont rangés ou présentés et enfin, des tableaux, dessins et gravures où ces objets sont mis en scène.
Un dialogue qui permet d’envisager ces objets dans le contexte plus large du luxe et de la mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle.
Point de départ de cette nouvelle exposition, la collection d’Ernest Cognacq qui est ici, enrichie de prêts importants afin d’offrir une nouvelle lecture de ces accessoires indispensables du luxe.
Naturellement, les usages de ces objets varient, mais ils ressortent tous des us et coutumes d’un quotidien raffiné. Signe de richesse de l’époque, souvenir intime. Rappelons qu’au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitèrent un véritable engouement en France d’abord, puis dans toute l’Europe.
Dans cet esprit, cette exposition souhaite renouveler le regard que l’on porte sur ces objets du quotidien, en adoptant une approche plurielle, qui convoque à la fois l’histoire de l’art et l’histoire de la mode, l’histoire des techniques, l’histoire culturelle et l’anthropologie en faisant résonner ces objets avec d’autres œuvres…
Par exemple :des accessoires de mode, mais aussi les vêtements qu’ils viennent compléter, le mobilier où ils sont rangés ou présentés et enfin, des tableaux, dessins et gravures où ces objets sont mis en scène.
Un dialogue qui permet d’envisager ces objets dans le contexte plus large du luxe et de la mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle.
Point de départ de cette nouvelle exposition, la collection d’Ernest Cognacq qui est ici, enrichie de prêts importants afin d’offrir une nouvelle lecture de ces accessoires indispensables du luxe.
