Cette jeune pousse de l’horlogerie fut lancée à l’origine en 2018 par Ben Küffer qui embarqua avec lui dans cette aventure, Ted Schneider, un héritier de la famille qui possédait « Breitling » avant que cette dernière ne soit revendue à un groupe d’investisseurs.
Norqain est donc une entreprise horlogère familiale helvétique, entièrement indépendante et basée à Nidau (Bienne), au cœur de l’industrie horlogère suisse. Et depuis quelques mois, l’incontournable Jean-Claude Biver, est consultant pour la marque auprès du conseil d’administration.
Ces garde-temps disponibles chez Bucherer à Paris sont exclusivement composés de mouvements mécaniques automatiques (pas de quartz chez Norqain). La marque propose principalement des montres sportives pour l’outdoor, ce qui reflète d’ailleurs, l’état d’esprit de l’équipe dirigeante…
Norqain est donc une entreprise horlogère familiale helvétique, entièrement indépendante et basée à Nidau (Bienne), au cœur de l’industrie horlogère suisse. Et depuis quelques mois, l’incontournable Jean-Claude Biver, est consultant pour la marque auprès du conseil d’administration.
Ces garde-temps disponibles chez Bucherer à Paris sont exclusivement composés de mouvements mécaniques automatiques (pas de quartz chez Norqain). La marque propose principalement des montres sportives pour l’outdoor, ce qui reflète d’ailleurs, l’état d’esprit de l’équipe dirigeante…
Tout cet esprit Norqain se retrouve donc au sein de cette nouvelle collection de cinq montres baptisée Independence, lancée il y a quelques semaines à Zermatt en Suisse à l’occasion des cinq ans de la marque.
Au-delà du discours marketing et le story-telling qui prône le « courage qu’il faut pour entreprendre l’imprévu », cette montre est tout simplement très réussie ; ce qui n’est d’ailleurs pas le cas de toutes les Norqain !
Le boitier mixte de 40 mm (qui n’est pas sans évoquer celui de la Calibre de chez Cartier) est proposé en acier 316L et est étanche à 100 mètres (couronne vissée). Sur son côté gauche, une petite « plaque » permet à son propriétaire d’y faire graver ses initiales par exemple. Attention en cas de revente, c’est plus difficile avec une gravure…
Au-delà du discours marketing et le story-telling qui prône le « courage qu’il faut pour entreprendre l’imprévu », cette montre est tout simplement très réussie ; ce qui n’est d’ailleurs pas le cas de toutes les Norqain !
Le boitier mixte de 40 mm (qui n’est pas sans évoquer celui de la Calibre de chez Cartier) est proposé en acier 316L et est étanche à 100 mètres (couronne vissée). Sur son côté gauche, une petite « plaque » permet à son propriétaire d’y faire graver ses initiales par exemple. Attention en cas de revente, c’est plus difficile avec une gravure…
Cette collection propose des cadrans squelettés, un modèle présente un cadran de type « léopard », deux modèles offrent des cadrans fumés vert ou marrons et un dernier est commercialisé sur commande avec cadran bleu glacier avec diamants. Ces cadrans et leurs aiguilles avec Superluminova sont protégés par un verre saphir antireflet.
Côté « moteur », ces Norqain trois aiguilles et date embarquent le fameux calibre SW200-1 (4Hz) de chez Sellita, COSC et d’une réserve de marche d’une quarantaine d’heures. Le tout visible à travers un fond transparent.
L’Independence se porte au choix sur un bracelet en caoutchouc ou sur un nouveau strap en acier avec micro-ajustement. Une montre d’un excellent rapport qualité-prix à découvrir chez Bucherer à Paris qui accueille la marque depuis plus de six mois.
Côté « moteur », ces Norqain trois aiguilles et date embarquent le fameux calibre SW200-1 (4Hz) de chez Sellita, COSC et d’une réserve de marche d’une quarantaine d’heures. Le tout visible à travers un fond transparent.
L’Independence se porte au choix sur un bracelet en caoutchouc ou sur un nouveau strap en acier avec micro-ajustement. Une montre d’un excellent rapport qualité-prix à découvrir chez Bucherer à Paris qui accueille la marque depuis plus de six mois.
