Depuis sa première montre, le calibre RM 001, Richard Mille n’a cessé de puiser dans de nouvelles inspirations, d’explorer des matériaux inédits afin de créer les montres du 21ème siècle.
Une créativité qui n’a de limites -sans cesse repoussées- que celle des hommes qui donnent forme au rêve de Richard Mille. Car la réalisation de chaque nouvelle pièce oblige les horlogers travaillant pour la marque à se remettre en cause quotidiennement.
De nouveaux matériaux, utilisés jusque-là dans l’aéronautique ou la Formule 1, se retrouvent régulièrement entre les mains des horlogers dans un monde aux dimensions infinitésimales.
Le processus de fabrication, le façonnage et la finition de chaque pièce se fait alors à la main, avec des gestes d’une infinie précision répétés inlassablement jusqu’à la perfection absolue.
A chaque fois, c’est un nouvel apprentissage, de nouvelles embûches qui entraînent un taux de déchets de l’ordre de 30 à 50 %. Un paramètre avec lequel les horlogers doivent composer au quotidien… Le salaire de la peur, en quelque sorte.
Après avoir sublimé les composants dans le premier ouvrage, ce deuxième opus s’attache à transcender l’art des horlogers qui les façonnent, les assemblent, les polissent. Les photos de Guy Lucas de Peslouan mettent en scène le travail de ces hommes, leur précision chirurgicale, leur angoisse devant la difficulté de la tâche.
Le texte de Gilbert Hottois, grand philosophe spécialiste des questions d’éthique de techno-science, rend également hommage, à travers un texte de portée philosophique à ces hommes qui donnent forme à la créativité de l’inventeur. Car chez Richard Mille plus que partout ailleurs, la modernité et l’innovation s’expriment par la main de l’homme.
Parution : Mars 2010
Présentation au Salon du Livre de Paris, du 26 au 31 mars 2010.
En vente dans toutes les grandes librairies et dans les rayons Beaux Arts.
Edité par Cercle d’Art.
Prix : 100 euros
Une créativité qui n’a de limites -sans cesse repoussées- que celle des hommes qui donnent forme au rêve de Richard Mille. Car la réalisation de chaque nouvelle pièce oblige les horlogers travaillant pour la marque à se remettre en cause quotidiennement.
De nouveaux matériaux, utilisés jusque-là dans l’aéronautique ou la Formule 1, se retrouvent régulièrement entre les mains des horlogers dans un monde aux dimensions infinitésimales.
Le processus de fabrication, le façonnage et la finition de chaque pièce se fait alors à la main, avec des gestes d’une infinie précision répétés inlassablement jusqu’à la perfection absolue.
A chaque fois, c’est un nouvel apprentissage, de nouvelles embûches qui entraînent un taux de déchets de l’ordre de 30 à 50 %. Un paramètre avec lequel les horlogers doivent composer au quotidien… Le salaire de la peur, en quelque sorte.
Après avoir sublimé les composants dans le premier ouvrage, ce deuxième opus s’attache à transcender l’art des horlogers qui les façonnent, les assemblent, les polissent. Les photos de Guy Lucas de Peslouan mettent en scène le travail de ces hommes, leur précision chirurgicale, leur angoisse devant la difficulté de la tâche.
Le texte de Gilbert Hottois, grand philosophe spécialiste des questions d’éthique de techno-science, rend également hommage, à travers un texte de portée philosophique à ces hommes qui donnent forme à la créativité de l’inventeur. Car chez Richard Mille plus que partout ailleurs, la modernité et l’innovation s’expriment par la main de l’homme.
Parution : Mars 2010
Présentation au Salon du Livre de Paris, du 26 au 31 mars 2010.
En vente dans toutes les grandes librairies et dans les rayons Beaux Arts.
Edité par Cercle d’Art.
Prix : 100 euros