Cette montre de navigation présente une série de vagues gravées au laser en relief positif sur le cadran en céramique blanche finition mate. Quant au trophée tant convoité, il apparaît –sur le recto et verso.
L’aiguille centrale des secondes est dotée d’un contrepoids représentant le trophée de l’America’s Cup du même bleu que le logo de Barcelone.
On retrouve bien évidemment, les fameuses aiguilles semi-squelettées (pointe « ronde » pour les heures et « triangle » pour les minutes) propres à la Seamaster 300 associées à de larges index qui rendent l’ensemble extrêmement lisible.
Lire aussi : Omega Seamaster ETNZ : un splendide chrono entièrement en céramique noire !
L’aiguille centrale des secondes est dotée d’un contrepoids représentant le trophée de l’America’s Cup du même bleu que le logo de Barcelone.
On retrouve bien évidemment, les fameuses aiguilles semi-squelettées (pointe « ronde » pour les heures et « triangle » pour les minutes) propres à la Seamaster 300 associées à de larges index qui rendent l’ensemble extrêmement lisible.
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Le logo complet, avec « Auld Mug » et B pour Barcelone, se trouve également sur le fond saphir du boîtier. Derrière laquelle se trouve sa source d’énergie : le calibre Co-Axial Master Chronometer 8806 d’Omega d’une réserve de marche de 55 heures.
À l’instar des équipages en compétition, l’hommage d’Omega à l’America’s Cup a été testé au plus haut niveau.
En tant que Master Chronometer certifié, la montre et le mouvement répondent aux normes strictes de précision, de performance et de résistance magnétique fixées par l'Institut fédéral suisse indépendant de métrologie (METAS).
À l’instar des équipages en compétition, l’hommage d’Omega à l’America’s Cup a été testé au plus haut niveau.
En tant que Master Chronometer certifié, la montre et le mouvement répondent aux normes strictes de précision, de performance et de résistance magnétique fixées par l'Institut fédéral suisse indépendant de métrologie (METAS).
La montre, présentée dans un coffret bleu commémoratif aux surpiqûres rouges, peut être portée de deux manières : sur un bracelet en acier ou sur un bracelet en caoutchouc bleu. Tous deux avec le système breveté Quick-Change d’Omega.
Pour rappel, la Seamaster Professional 300M, qui était à l’origine disponible en version quartz ou automatique, a effectué sa première plongée en 1993 avant de devenir célèbre dans le monde entier au poignet de Pierce Brosnan dans Goldeneye en 1995.
La 37e édition de la célèbre régate marquera la quatrième participation d'Omega (en 2024) en tant que chronométreur officiel. L’horloger a d’ores et déjà chronométré la Coupe de l'America en 2000, 2003 et 2021.
Pour rappel, la Seamaster Professional 300M, qui était à l’origine disponible en version quartz ou automatique, a effectué sa première plongée en 1993 avant de devenir célèbre dans le monde entier au poignet de Pierce Brosnan dans Goldeneye en 1995.
La 37e édition de la célèbre régate marquera la quatrième participation d'Omega (en 2024) en tant que chronométreur officiel. L’horloger a d’ores et déjà chronométré la Coupe de l'America en 2000, 2003 et 2021.
Pour la petite histoire, c'est à bord de la goélette « America » que les membres de l'équipe du New York Yacht Club (NYYC), portant les couleurs des États-Unis, en août 1851, lors de la Coupe des Cent Souverains organisée par le Royal Yacht Squadron, ont disputé la course autour de l'île anglaise de Wight.
Alors que la goélette approche du Royal Yacht Squadron, prête à remporter le trophée, la Reine Victoria demande qui est le second.
Et l'un de ses officiers de répondre : « Votre Majesté, il n'y a pas de second ». Aujourd'hui encore, cette réponse continue de traduire l'esprit de la Coupe de l'America, soit une singulière poursuite de l'excellence.
Après la victoire des États-Unis sur les Anglais, le trophée prit, à juste titre, le nom de « Coupe de l'America », en hommage au navire vainqueur, ce qui fit l'objet d'un acte de donation au NYYC.
L'acte de donation définit la Coupe comme une compétition perpétuelle et, durant plus d'un siècle, les États-Unis prouvèrent leurs compétences nautiques, régnant sur la course avec le plus grand nombre de victoires enregistrées tout au long de l'histoire de ce sport.
Aujourd’hui, les Néo-zélandais ont pris le contrôle de la Coupe. Affaire à suivre dans les prochains mois…
Alors que la goélette approche du Royal Yacht Squadron, prête à remporter le trophée, la Reine Victoria demande qui est le second.
Et l'un de ses officiers de répondre : « Votre Majesté, il n'y a pas de second ». Aujourd'hui encore, cette réponse continue de traduire l'esprit de la Coupe de l'America, soit une singulière poursuite de l'excellence.
Après la victoire des États-Unis sur les Anglais, le trophée prit, à juste titre, le nom de « Coupe de l'America », en hommage au navire vainqueur, ce qui fit l'objet d'un acte de donation au NYYC.
L'acte de donation définit la Coupe comme une compétition perpétuelle et, durant plus d'un siècle, les États-Unis prouvèrent leurs compétences nautiques, régnant sur la course avec le plus grand nombre de victoires enregistrées tout au long de l'histoire de ce sport.
Aujourd’hui, les Néo-zélandais ont pris le contrôle de la Coupe. Affaire à suivre dans les prochains mois…