La mission Apollo-Soyouz a marqué l’histoire par ses dimensions politique, technologique et historique. C’était en effet la première fois que des engins spatiaux construits par différents pays s’arrimèrent dans l’espace.
Cet événement débuta une ère de coopération internationale qui aboutit à la construction d’une station spatiale occupée en permanence.
Le 17 juillet 1975 à 16:19 GMT au dessus de Metz (France), le lieutenant général Thomas P. Stafford (astronaute, Etats-Unis) et le lieutenant général Alexeï A. Leonov (cosmonaute, URSS) se serrèrent la main dans le sas reliant leurs vaisseaux respectifs. Ces pionniers de l’espace portaient chacun à leur poignet… un chronographe Omega Speedmaster Professional. Cette mission marqua également le dernier lancement d’un vaisseau spatial Apollo.
Le 35e anniversaire de cette poignée de main historique, est célébré cette année par le lancement du chronographe Omega Speedmaster Professional Apollo-Soyuz “35th Anniversary” en une édition limitée à (forcément) 1975 pièces.
Le cadran de ce garde-temps a été façonné à partir d’une météorite ayant survécu à son entrée dans notre atmosphère et à son impact avec la Terre. La structure inhabituelle des météorites résulte des températures extrêmement élevées atteintes lors de leur entrée dans l’atmosphère terrestre, suivie d’une période de refroidissement.
Dans ce cas précis, le cadran est constitué d’une seule pièce découpée dans la météorite et, parce qu’il n’existe pas deux morceaux de météorite identiques, chaque montre de cette édition limitée peut-être considérée unique.
A noter que la couleur noire du cadran en météorite résulte d’un traitement galvanique. Les aiguilles ainsi que les appliques sont rhodiées et les compteurs du chronographe ont été laissés dans la couleur naturelle de la météorite.
Cet événement débuta une ère de coopération internationale qui aboutit à la construction d’une station spatiale occupée en permanence.
Le 17 juillet 1975 à 16:19 GMT au dessus de Metz (France), le lieutenant général Thomas P. Stafford (astronaute, Etats-Unis) et le lieutenant général Alexeï A. Leonov (cosmonaute, URSS) se serrèrent la main dans le sas reliant leurs vaisseaux respectifs. Ces pionniers de l’espace portaient chacun à leur poignet… un chronographe Omega Speedmaster Professional. Cette mission marqua également le dernier lancement d’un vaisseau spatial Apollo.
Le 35e anniversaire de cette poignée de main historique, est célébré cette année par le lancement du chronographe Omega Speedmaster Professional Apollo-Soyuz “35th Anniversary” en une édition limitée à (forcément) 1975 pièces.
Le cadran de ce garde-temps a été façonné à partir d’une météorite ayant survécu à son entrée dans notre atmosphère et à son impact avec la Terre. La structure inhabituelle des météorites résulte des températures extrêmement élevées atteintes lors de leur entrée dans l’atmosphère terrestre, suivie d’une période de refroidissement.
Dans ce cas précis, le cadran est constitué d’une seule pièce découpée dans la météorite et, parce qu’il n’existe pas deux morceaux de météorite identiques, chaque montre de cette édition limitée peut-être considérée unique.
A noter que la couleur noire du cadran en météorite résulte d’un traitement galvanique. Les aiguilles ainsi que les appliques sont rhodiées et les compteurs du chronographe ont été laissés dans la couleur naturelle de la météorite.