« Chronométreur des rêves olympiques depuis 1932 » : tel est le fil rouge de la campagne. Ce nouveau slogan vise à mettre en avant la longue histoire qui unit Omega au chronométrage des Jeux olympiques et son engagement dans le soutien et la réalisation des rêves de gloire de tous les athlètes.
Aux JO de Rio 2016, l’horloger cette difficile mission pour la 27ème fois. En 84 ans, la marque a su évoluer et révolutionner les outils de chronométrage dont dépendent les sportifs pour enregistrer chaque résultat avec force précision et expertise. Des athlètes de très haut niveau dont la carrière et les aspirations dépendent parfois d'une seule seconde.
Cette nouvelle campagne de com’ a été conçue en « double exposition » autour d'une superposition d'images qui permet au public de pénétrer dans l'esprit des sportifs, de regarder leurs rêves se construire et de toucher du doigt la motivation qui alimente leurs performances.
Pour créer ces illustrations, l’horloger a photographié et filmé sous toutes les coutures quatre de ses ambassadeurs olympiques : l'heptathlète britannique Jessica Ennis-Hill, le golfeur espagnol Sergio Garcia, le nageur sud-africain Chad Le Clos et bien sûr, « last but not least », le nageur américain Michael Phelps.
Trois d'entre eux sont médaillés d'or et Michael Phelps est l'athlète olympique le plus titré de tous les temps. Pour renforcer leur côté onirique, la chanson qui rythme les spots publicitaires est interprétée par un petit garçon. Il s'agit de Hall of Fame du groupe The Script, devenue pour l'occasion la bande originale des rêves qui habitent les sportifs dès leur plus jeune âge.
Comme l’indique Michael Phelps : « quand je me suis lancé dans l’aventure en 2000, je ne m’attendais pas à en arriver là, même si j’en rêvais. En tout cas, je m'en croyais capable, et c'est pour ça que je n'ai jamais abandonné. J'avais à peine quinze ans quand j'ai dit à mon manager que je voulais changer le monde de la natation ».
Aux JO de Rio 2016, de nombreux rêves de médaille olympique vont à nouveau devenir réalité... ou s’envoler. Quels athlètes monteront sur la plus haute marche du podium, la seule qui compte vraiment ? Seul le temps, chronométré par Omega, nous le dira...
Aux JO de Rio 2016, l’horloger cette difficile mission pour la 27ème fois. En 84 ans, la marque a su évoluer et révolutionner les outils de chronométrage dont dépendent les sportifs pour enregistrer chaque résultat avec force précision et expertise. Des athlètes de très haut niveau dont la carrière et les aspirations dépendent parfois d'une seule seconde.
Cette nouvelle campagne de com’ a été conçue en « double exposition » autour d'une superposition d'images qui permet au public de pénétrer dans l'esprit des sportifs, de regarder leurs rêves se construire et de toucher du doigt la motivation qui alimente leurs performances.
Pour créer ces illustrations, l’horloger a photographié et filmé sous toutes les coutures quatre de ses ambassadeurs olympiques : l'heptathlète britannique Jessica Ennis-Hill, le golfeur espagnol Sergio Garcia, le nageur sud-africain Chad Le Clos et bien sûr, « last but not least », le nageur américain Michael Phelps.
Trois d'entre eux sont médaillés d'or et Michael Phelps est l'athlète olympique le plus titré de tous les temps. Pour renforcer leur côté onirique, la chanson qui rythme les spots publicitaires est interprétée par un petit garçon. Il s'agit de Hall of Fame du groupe The Script, devenue pour l'occasion la bande originale des rêves qui habitent les sportifs dès leur plus jeune âge.
Comme l’indique Michael Phelps : « quand je me suis lancé dans l’aventure en 2000, je ne m’attendais pas à en arriver là, même si j’en rêvais. En tout cas, je m'en croyais capable, et c'est pour ça que je n'ai jamais abandonné. J'avais à peine quinze ans quand j'ai dit à mon manager que je voulais changer le monde de la natation ».
Aux JO de Rio 2016, de nombreux rêves de médaille olympique vont à nouveau devenir réalité... ou s’envoler. Quels athlètes monteront sur la plus haute marche du podium, la seule qui compte vraiment ? Seul le temps, chronométré par Omega, nous le dira...