Les montres en argent et/ou en vermeil (argent recouvert d’or) sont devenues très rares sur le marché. Mais on le sait, la maison horlogère suisse encore en mains familiales, Claude Meylan, ne fait jamais rien comme les autres…
C’est ainsi qu’elle vient de dévoiler, la semaine dernière à Genève, sa nouvelle collection de montres féminines baptisée Ondine.
Dans la pièce de Jean Giraudoux en 1939, créée à la demande de Louis Jouvet, Ondine passait pour être la fille d’un vieux couple de pêcheurs mais il n’en était rien en réalité…
En effet, sous cette apparence humaine des plus gracieuses, se cachait un génie féminin, une ondine qui n’était autre que la nièce du Roi des Ondins, régnant sur le monde des eaux…
C’est ainsi qu’elle vient de dévoiler, la semaine dernière à Genève, sa nouvelle collection de montres féminines baptisée Ondine.
Dans la pièce de Jean Giraudoux en 1939, créée à la demande de Louis Jouvet, Ondine passait pour être la fille d’un vieux couple de pêcheurs mais il n’en était rien en réalité…
En effet, sous cette apparence humaine des plus gracieuses, se cachait un génie féminin, une ondine qui n’était autre que la nièce du Roi des Ondins, régnant sur le monde des eaux…
Cette collection porte donc le nom de ce génie féminin qui tomba amoureux d’un prince aperçut au bord d’un lac… Une collection très féminine constituée de deux modèles : l’une en argent et l’autre en vermeil.
Une collection inspirée par le plaisir de faire des ronds dans l’eau, des ondes qui se propagent sous forme d’un premier cercle, puis un deuxième, puis un troisième et ainsi de suite… Ondine décline cette infinie sérénité.
Plutôt que de concevoir d’un côté une boîte et de l’autre un bracelet, puis de se mettre en quête de la meilleure manière de les intégrer l’un à l’autre, Claude Meylan a opté pour une autre approche… Boitier ET bracelet (très légèrement en chute) ne font qu’un. Et de fait, jamais, la « montre-bracelet » n’aura aussi bien porté son nom !
Le boitier rond (étanche à 30 mètres) accueille un calibre mécanique à remontage manuel, Swiss Made bien évidemment, un Peseux 7001 entièrement squeletté. Ce mouvement « deux aiguilles », d’une réserve de marche de 42h, est mis en beauté par un rehaut laqué de blanc, ponctuée de 12 chiffres romains.
A noter que cette montre-bracelet est aussi disponible en bracelet uniquement.
Une collection inspirée par le plaisir de faire des ronds dans l’eau, des ondes qui se propagent sous forme d’un premier cercle, puis un deuxième, puis un troisième et ainsi de suite… Ondine décline cette infinie sérénité.
Plutôt que de concevoir d’un côté une boîte et de l’autre un bracelet, puis de se mettre en quête de la meilleure manière de les intégrer l’un à l’autre, Claude Meylan a opté pour une autre approche… Boitier ET bracelet (très légèrement en chute) ne font qu’un. Et de fait, jamais, la « montre-bracelet » n’aura aussi bien porté son nom !
Le boitier rond (étanche à 30 mètres) accueille un calibre mécanique à remontage manuel, Swiss Made bien évidemment, un Peseux 7001 entièrement squeletté. Ce mouvement « deux aiguilles », d’une réserve de marche de 42h, est mis en beauté par un rehaut laqué de blanc, ponctuée de 12 chiffres romains.
A noter que cette montre-bracelet est aussi disponible en bracelet uniquement.