Fin 2013, la manufacture horlogère suisse Parmigiani Fleurier présentait l'Aérolithe, un très séduisant chrono de pilote avec fonction flyback avec poussoirs intégrés sur la gauche de la boite ; boite en titane et or blanc (41 mm / étanche 30 mètres). Ce garde-temps, de très belle facture, accueille naturellement un calibre mécanique automatique « maison » et offre sur son cadran bicompax une date trainante à six heures.
Aujourd’hui, « P.F. » équipe ce chrono d’un nouveau bracelet qui laisse entrevoir deux strates de cuir avec une nuance de couleur distincte. La couche superficielle est ajourée et forme un motif en « nid d’abeilles », c’est-à-dire une structure alvéolée qui dévoile par superposition la couche secondaire de cuir. Chaque alvéole est découpée par jet d’eau, une technique de pointe qui permet la précision la plus fine, tout en préservant le cuir qu’un découpage laser aurait brûlé. Les deux couches de cuir sont ensuite assemblées et cousues main avec un point sellier qui ajoute, par son relief sophistiqué, au raffinement de l’ensemble.
Le tour de force de ce bracelet tient au fait qu’il conserve une ergonomie et une souplesse sans pareil malgré les couches multiples qui le composent. Ceci révèle le talent de maroquinerie et la finesse artisanale du travail des cuirs qui les sous-tend. Le bracelet alvéolé permet un jeu de couleurs supplémentaire qui s’accorde d’autant mieux avec le cadran de la montre.
La première exécution de la Bugatti Aérolithe et son cadran « bleu abyss », est parée d’un bracelet ton sur ton, bleu profond sur bleu nuit. Les nuances volontairement proches des cuirs reprennent les effets de lumière et de profondeur du cadran. La seconde exécution, est la couleur « crème de menthe » qui est unique dans le monde de l’horlogerie. Ce cadran et ses reflets argentés s’accordent avec un bracelet gris-vert sur une strate de fond camel-crème.
Aujourd’hui, « P.F. » équipe ce chrono d’un nouveau bracelet qui laisse entrevoir deux strates de cuir avec une nuance de couleur distincte. La couche superficielle est ajourée et forme un motif en « nid d’abeilles », c’est-à-dire une structure alvéolée qui dévoile par superposition la couche secondaire de cuir. Chaque alvéole est découpée par jet d’eau, une technique de pointe qui permet la précision la plus fine, tout en préservant le cuir qu’un découpage laser aurait brûlé. Les deux couches de cuir sont ensuite assemblées et cousues main avec un point sellier qui ajoute, par son relief sophistiqué, au raffinement de l’ensemble.
Le tour de force de ce bracelet tient au fait qu’il conserve une ergonomie et une souplesse sans pareil malgré les couches multiples qui le composent. Ceci révèle le talent de maroquinerie et la finesse artisanale du travail des cuirs qui les sous-tend. Le bracelet alvéolé permet un jeu de couleurs supplémentaire qui s’accorde d’autant mieux avec le cadran de la montre.
La première exécution de la Bugatti Aérolithe et son cadran « bleu abyss », est parée d’un bracelet ton sur ton, bleu profond sur bleu nuit. Les nuances volontairement proches des cuirs reprennent les effets de lumière et de profondeur du cadran. La seconde exécution, est la couleur « crème de menthe » qui est unique dans le monde de l’horlogerie. Ce cadran et ses reflets argentés s’accordent avec un bracelet gris-vert sur une strate de fond camel-crème.