Cette nouvelle Grande Complication reprend le flambeau de la fameuse référence 5016, qui a été lancée en 1993 et a connu un succès ininterrompu auprès des collectionneurs durant dix-huit ans.
« Ce garde-temps a occupé la place de montre-bracelet la plus compliquée de la collection courante jusqu’à l’arrivée du Sky Moon Tourbillon en 2001 » précise la manufacture dans son communiqué.
Cette nouvelle référence 5216 vient donc se classer au quatrième rang parmi les montres-bracelets Patek Philippe les plus compliquées, après le Sky Moon Tourbillon référence 5002, la nouvelle Grande Complication référence 5208 et la référence 5207 lancée en 2008.
Rappelons que Patek Philippe fabrique des montres de poche à répétition depuis 1844. En 1916, la manufacture a présenté la première montre-bracelet du monde pour dame avec répétition à 5 minutes. Peu de marques possèdent une aussi longue tradition, ininterrompue, dans le domaine des mécanismes sonores et des défis particuliers qu’ils posent aux horlogers.
Car ces garde-temps d’une extrême complexité exigent de maîtriser à la perfection les minuscules systèmes de limaçons, râteaux et ressorts pour synchroniser l’indication sonore avec l’heure affichée sur le cadran. Le mode de production du son joue également un rôle essentiel, et il se base notamment sur le principe « plus il y a de volume, plus il y a de résonance ». Si le boîtier de la précédente référence 5016 affichait un diamètre de 36,80 mm, celui de la nouvelle référence 5216 est passé à 39,50 mm.
Dans ce « microcosme mécanique » où tout se joue au centième de millimètre près, ce gain de 2,7 mm équivaut à une toute nouvelle dimension. Une différence qui frappe aussi… l’oreille. En effet, il suffit d’activer le verrou logé dans le flanc gauche du boîtier pour que la montre égrène la mélodie du temps avec cette sonorité riche et pleine qui fait les délices des connaisseurs. D’abord viennent les heures sur le timbre grave, puis les quarts marqués par un double coup aigu/grave et pour finir, les minutes écoulées depuis le dernier quart sur le timbre aigu. Une symphonie qui prend toute son ampleur à 12 h 59, quand résonnent 32 coups !
« Ce garde-temps a occupé la place de montre-bracelet la plus compliquée de la collection courante jusqu’à l’arrivée du Sky Moon Tourbillon en 2001 » précise la manufacture dans son communiqué.
Cette nouvelle référence 5216 vient donc se classer au quatrième rang parmi les montres-bracelets Patek Philippe les plus compliquées, après le Sky Moon Tourbillon référence 5002, la nouvelle Grande Complication référence 5208 et la référence 5207 lancée en 2008.
Rappelons que Patek Philippe fabrique des montres de poche à répétition depuis 1844. En 1916, la manufacture a présenté la première montre-bracelet du monde pour dame avec répétition à 5 minutes. Peu de marques possèdent une aussi longue tradition, ininterrompue, dans le domaine des mécanismes sonores et des défis particuliers qu’ils posent aux horlogers.
Car ces garde-temps d’une extrême complexité exigent de maîtriser à la perfection les minuscules systèmes de limaçons, râteaux et ressorts pour synchroniser l’indication sonore avec l’heure affichée sur le cadran. Le mode de production du son joue également un rôle essentiel, et il se base notamment sur le principe « plus il y a de volume, plus il y a de résonance ». Si le boîtier de la précédente référence 5016 affichait un diamètre de 36,80 mm, celui de la nouvelle référence 5216 est passé à 39,50 mm.
Dans ce « microcosme mécanique » où tout se joue au centième de millimètre près, ce gain de 2,7 mm équivaut à une toute nouvelle dimension. Une différence qui frappe aussi… l’oreille. En effet, il suffit d’activer le verrou logé dans le flanc gauche du boîtier pour que la montre égrène la mélodie du temps avec cette sonorité riche et pleine qui fait les délices des connaisseurs. D’abord viennent les heures sur le timbre grave, puis les quarts marqués par un double coup aigu/grave et pour finir, les minutes écoulées depuis le dernier quart sur le timbre aigu. Une symphonie qui prend toute son ampleur à 12 h 59, quand résonnent 32 coups !
Comme toujours chez « PP », la perfection du son de chaque montre terminée est contrôlée dans une chambre insonorisée à l’aide d’instruments de mesure ultramodernes et sur la base de modèles digitalisés.
Chaque montre arrive ensuite sur le bureau du président Thierry Stern ou celui du président d’honneur Philippe Stern, lesquels écoutent longuement sa sonnerie avant de décider si elle satisfait –ou pas- aux critères sévères de l’oreille humaine. « Cet examen donne aux montres à répétition Patek Philippe leur signature acoustique incomparable » remarque encore le communiqué.
La référence 5216 ne se distingue pas seulement par sa nouvelle dimension sonore. Elle fascine également par son extrême précision. Cet exploit s’explique par la présence d’un tourbillon –un dispositif qui compense les effets négatifs de l’attraction terrestre sur le balancier dans les positions verticales en faisant tourner son centre de gravité une fois par minute autour de son axe. Malgré ses 69 composants, la minuscule cage en acier ne pèse que 0,3 gramme.
Partant du principe que le tourbillon doit être entièrement au service de la précision et qu’il exige, de ce fait, d’être toujours parfaitement lubrifié, Patek Philippe s’inscrit dans la tradition horlogère, laquelle consiste à ne pas exposer le tourbillon par une ouverture sur le cadran. « Les rayons ultraviolets de la lumière du jour peuvent en effet diminuer considérablement la qualité de l’huile en très peu de temps » précise la marque. Le tourbillon se laisse cependant admirer à travers le fond en verre saphir. Cette discrétion a pour récompense une précision se situant dans un écart maximal de –2 à +1 seconde par jour – conformément aux exigences du Poinçon Patek Philippe liées aux mouvements dotés de tourbillons. Le réglage de chaque référence 5216 peut donc prendre plusieurs mois et les résultats sont attestés individuellement par un « bulletin de précision de marche ».
Pour corser le tout, ce nouveau garde-temps possède également un quantième perpétuel affichant automatiquement la date, le jour, le mois et le cycle des années bissextiles jusqu’en 2100, dans la mesure où la montre est constamment remontée. Le jour, le mois et le cycle des années bissextiles apparaissent dans des petits guichets, tandis que la date s’affiche au moyen d’une aiguille rétrograde parcourant un arc de cercle de 250°, avant de revenir d’un bond au 1er du mois suivant. Un système de sécurité empêche qu’en sautant en arrière, l’aiguille ne rebondisse sur le 2 ou le 3.
Dernière complication : l’indication des phases de lune montrant, au centre de la petite seconde à 6h, le visage sans cesse changeant de notre satellite. Ce spectacle fascine non seulement par sa poésie, mais aussi par son extrême précision. Il faut 122 ans et 45 jours pour que l’affichage des phases de lune diffère d’un seul jour par rapport au véritable cycle lunaire, soit 3420 ans pour une erreur d’une lunaison.
La nouvelle Grande Complication Patek Philippe référence 5216 sait aussi se montrer très simple quand il s’agit de la fonctionnalité et de la lisibilité. Vu du dehors, rien ne laisse présager son extrême complexité. Le boîtier rond en or rose présente des lignes épurées ne s’écartant du design classique Calatrava que par la présence discrète du verrou de répétition minutes. Le remontage manuel quotidien s’effectue à l’aide d’une grande couronne très maniable. Des boutons correcteurs logés dans la carrure permettent de régler les fonctions du calendrier à l’aide du crayon correcteur en ébène et or rose livré avec la montre. Les huit affichages du temps civil et du calendrier sont disposés sur le cadran de manière claire et aérée. Les heures et les minutes sont indiquées à l’aide d’aiguilles « dauphine » facettées et d’index appliques, les secondes grâce à une fine aiguille « bâton » à 6h. Le calendrier possède des guichets lisibles pour le jour (9h), le mois (3h) et le cycle des années bissextiles (12h) ainsi qu’une aiguille centrale rétrograde pointant la date avec une flèche rouge.
Le tourbillon –comble du luxe- ne se signale côté cadran que par une petite inscription, mais on peut l’admirer dans toute sa magnificence par le fond saphir transparent. Ceux qui préfèrent la discrétion absolue peuvent faire échanger le fond transparent contre le fond plein en or rose livré avec la montre –double comble du luxe !.
La référence 5216 est proposée sur bracelet en cuir d’alligator cousu main. Elle est équipée d’une boucle déployante en or 18 carats qui allie, elle aussi, une construction complexe à un maniement simple et sûr.
Chaque montre arrive ensuite sur le bureau du président Thierry Stern ou celui du président d’honneur Philippe Stern, lesquels écoutent longuement sa sonnerie avant de décider si elle satisfait –ou pas- aux critères sévères de l’oreille humaine. « Cet examen donne aux montres à répétition Patek Philippe leur signature acoustique incomparable » remarque encore le communiqué.
La référence 5216 ne se distingue pas seulement par sa nouvelle dimension sonore. Elle fascine également par son extrême précision. Cet exploit s’explique par la présence d’un tourbillon –un dispositif qui compense les effets négatifs de l’attraction terrestre sur le balancier dans les positions verticales en faisant tourner son centre de gravité une fois par minute autour de son axe. Malgré ses 69 composants, la minuscule cage en acier ne pèse que 0,3 gramme.
Partant du principe que le tourbillon doit être entièrement au service de la précision et qu’il exige, de ce fait, d’être toujours parfaitement lubrifié, Patek Philippe s’inscrit dans la tradition horlogère, laquelle consiste à ne pas exposer le tourbillon par une ouverture sur le cadran. « Les rayons ultraviolets de la lumière du jour peuvent en effet diminuer considérablement la qualité de l’huile en très peu de temps » précise la marque. Le tourbillon se laisse cependant admirer à travers le fond en verre saphir. Cette discrétion a pour récompense une précision se situant dans un écart maximal de –2 à +1 seconde par jour – conformément aux exigences du Poinçon Patek Philippe liées aux mouvements dotés de tourbillons. Le réglage de chaque référence 5216 peut donc prendre plusieurs mois et les résultats sont attestés individuellement par un « bulletin de précision de marche ».
Pour corser le tout, ce nouveau garde-temps possède également un quantième perpétuel affichant automatiquement la date, le jour, le mois et le cycle des années bissextiles jusqu’en 2100, dans la mesure où la montre est constamment remontée. Le jour, le mois et le cycle des années bissextiles apparaissent dans des petits guichets, tandis que la date s’affiche au moyen d’une aiguille rétrograde parcourant un arc de cercle de 250°, avant de revenir d’un bond au 1er du mois suivant. Un système de sécurité empêche qu’en sautant en arrière, l’aiguille ne rebondisse sur le 2 ou le 3.
Dernière complication : l’indication des phases de lune montrant, au centre de la petite seconde à 6h, le visage sans cesse changeant de notre satellite. Ce spectacle fascine non seulement par sa poésie, mais aussi par son extrême précision. Il faut 122 ans et 45 jours pour que l’affichage des phases de lune diffère d’un seul jour par rapport au véritable cycle lunaire, soit 3420 ans pour une erreur d’une lunaison.
La nouvelle Grande Complication Patek Philippe référence 5216 sait aussi se montrer très simple quand il s’agit de la fonctionnalité et de la lisibilité. Vu du dehors, rien ne laisse présager son extrême complexité. Le boîtier rond en or rose présente des lignes épurées ne s’écartant du design classique Calatrava que par la présence discrète du verrou de répétition minutes. Le remontage manuel quotidien s’effectue à l’aide d’une grande couronne très maniable. Des boutons correcteurs logés dans la carrure permettent de régler les fonctions du calendrier à l’aide du crayon correcteur en ébène et or rose livré avec la montre. Les huit affichages du temps civil et du calendrier sont disposés sur le cadran de manière claire et aérée. Les heures et les minutes sont indiquées à l’aide d’aiguilles « dauphine » facettées et d’index appliques, les secondes grâce à une fine aiguille « bâton » à 6h. Le calendrier possède des guichets lisibles pour le jour (9h), le mois (3h) et le cycle des années bissextiles (12h) ainsi qu’une aiguille centrale rétrograde pointant la date avec une flèche rouge.
Le tourbillon –comble du luxe- ne se signale côté cadran que par une petite inscription, mais on peut l’admirer dans toute sa magnificence par le fond saphir transparent. Ceux qui préfèrent la discrétion absolue peuvent faire échanger le fond transparent contre le fond plein en or rose livré avec la montre –double comble du luxe !.
La référence 5216 est proposée sur bracelet en cuir d’alligator cousu main. Elle est équipée d’une boucle déployante en or 18 carats qui allie, elle aussi, une construction complexe à un maniement simple et sûr.
Spécificités techniques de la Patek Philippe Grande Complication référence 5216 en or rose
Mouvement : Calibre R TO 27 PS QR LU
Mouvement mécanique à remontage manuel, répétition minutes, tourbillon, quantième perpétuel avec aiguille de date rétrograde. Jour, mois, année bissextile, phases de lune et indication jour/nuit par guichets. Petite aiguille de seconde.
Diamètre : 28 mm
Hauteur : 8,6 mm
Nombre de composants : 506
Nombre de rubis : 28
Balancier : Gyromax
Fréquence : 21 600 alternances par heure (3 Hz)
Tourbillon : Cage en acier, 69 composants, 0,3 gramme, 1 tour par minute.
Tourbillon disposé sur le même axe que le balancier et la roue des secondes
Spiral : Breguet
Piton : Mobile
Réserve de marche : Max. 48 heures
Fonctions :
Couronne à deux positions :
- tirée: mise à l’heure
- poussée: remontage du mouvement
Signe distinctif : Poinçon Patek Philippe
Bulletin de précision de marche Patek Philippe pour montres à tourbillon
Affichages :
Aiguilles des heures et des minutes au centre
Date indiquée sur un arc de cercle de 8h à 4h au centre du cadran
Cadran auxiliaire :
- petite seconde à 6h
Guichets :
- jour à 9h
- mois à 3h
- phases de lune à 6h
- année bissextile à 12h
Boutons correcteurs :
- correction de la date et du jour entre 11h et 12h
- correction du mois et du cycle de l’année bissextile entre 3h et 4h
- correction de la phase de lune entre 5h et 6h
- correction du jour entre 6h et 7h
Livrée avec un crayon correcteur en ébène incrusté d’or rose 18 carats
Répétition minutes frappant les heures sur le 1er timbre, les minutes sur le 2e timbre et les quarts sur les deux timbres
Habillage
Boîtier : or rose (5N) 18 carats, livré avec un fond plein en or rose 18 carats et un fond en verre saphir interchangeables
Dimensions : diamètre: 39,50 mm
Epaisseur : 12,23 mm
Entre-cornes : 21 mm
Verrou : Intégré dans le boîtier, pour l'activation de la répétition minutes
Cadran : Opalin argenté
13 index appliques en or rose 18 carats de style «obus»
Aiguilles des heures et des minutes en or rose 18 carats de style « dauphine »
Indication de la date par une aiguille avec extrémité en forme de flèche peinte en rouge, chiffres arabes 1 à 31 peints en noir
Minuterie perlée sur le pourtour du cadran
Bracelet : alligator écailles carrées brun chocolat brillant, cousu main, avec boucle déployante en or rose 18 carats
Mouvement mécanique à remontage manuel, répétition minutes, tourbillon, quantième perpétuel avec aiguille de date rétrograde. Jour, mois, année bissextile, phases de lune et indication jour/nuit par guichets. Petite aiguille de seconde.
Diamètre : 28 mm
Hauteur : 8,6 mm
Nombre de composants : 506
Nombre de rubis : 28
Balancier : Gyromax
Fréquence : 21 600 alternances par heure (3 Hz)
Tourbillon : Cage en acier, 69 composants, 0,3 gramme, 1 tour par minute.
Tourbillon disposé sur le même axe que le balancier et la roue des secondes
Spiral : Breguet
Piton : Mobile
Réserve de marche : Max. 48 heures
Fonctions :
Couronne à deux positions :
- tirée: mise à l’heure
- poussée: remontage du mouvement
Signe distinctif : Poinçon Patek Philippe
Bulletin de précision de marche Patek Philippe pour montres à tourbillon
Affichages :
Aiguilles des heures et des minutes au centre
Date indiquée sur un arc de cercle de 8h à 4h au centre du cadran
Cadran auxiliaire :
- petite seconde à 6h
Guichets :
- jour à 9h
- mois à 3h
- phases de lune à 6h
- année bissextile à 12h
Boutons correcteurs :
- correction de la date et du jour entre 11h et 12h
- correction du mois et du cycle de l’année bissextile entre 3h et 4h
- correction de la phase de lune entre 5h et 6h
- correction du jour entre 6h et 7h
Livrée avec un crayon correcteur en ébène incrusté d’or rose 18 carats
Répétition minutes frappant les heures sur le 1er timbre, les minutes sur le 2e timbre et les quarts sur les deux timbres
Habillage
Boîtier : or rose (5N) 18 carats, livré avec un fond plein en or rose 18 carats et un fond en verre saphir interchangeables
Dimensions : diamètre: 39,50 mm
Epaisseur : 12,23 mm
Entre-cornes : 21 mm
Verrou : Intégré dans le boîtier, pour l'activation de la répétition minutes
Cadran : Opalin argenté
13 index appliques en or rose 18 carats de style «obus»
Aiguilles des heures et des minutes en or rose 18 carats de style « dauphine »
Indication de la date par une aiguille avec extrémité en forme de flèche peinte en rouge, chiffres arabes 1 à 31 peints en noir
Minuterie perlée sur le pourtour du cadran
Bracelet : alligator écailles carrées brun chocolat brillant, cousu main, avec boucle déployante en or rose 18 carats