Depuis quelques années, pratiquement toutes les marques horlogères se mettent, au bronze. Un métal en passe de devenir un classique de l’horlogerie même s’il est généralement réservé à des séries limitées. Comme c’est le cas pour cette Perigraph de chez MeisterSinger qui ne sera produite qu’à cent exemplaires pour le monde dont cinq –a priori- pour le marché Français.
Remis au gout du jour il y a huit ans quand Panerai a sorti sa première « Bronzo », depuis, cette matière a séduit de nombreuses marques (de Tudor à Oris en passant par Eterna, Anonimo, Laco, Maurice Lacroix ou Zenith).
Présentant une teinte initiale évoquant les nuances de l’or rose ou de l’or rouge, le bronze acquiert rapidement une patine qui lui confère un incomparable look « hors d’âge » : du vert-de-gris à l’ardoise en passant par toutes les étapes intermédiaires.
Son oxydation -qui protège le métal- va dépendre du climat, de l’humidité, de l’endroit où vous vivez, etc. Bref, chaque boitier vieillit différemment et donc, chaque boitier en bronze est unique.
Cette série limitée MeisterSinger est donc dotée d’un boitier en bronze de 43 mm étanche 50 mètres. Sa lunette, très fine, cède toute sa place au large cadran. Cette montre, comme toujours chez MeisterSinger, affiche l’heure par le biais d’une mono-aiguille et vous indique le temps, selon votre interprétation, à une ou deux minutes près ! De plus, dans ce modèle, un disque de quantième vous offre la date à 12h ; elle est soulignée par un triangle rouge. Coté mécanique, la Perigraph embarque un calibre automatique suisse base ETA 2824-2 ou Sellita SW 200-1.
Rappelons que la marque est née de la passion d’un homme : Manfred Brassler. Grand collectionneur de montres, ce designer a été maintes fois récompensé pour ses créations épurées par des jurys internationaux. Son objectif fut, dès le début, de créer une montre-bracelet à la fois contemporaine et authentique, un garde-temps qui, sans rompre avec la tradition, prenne la pleine « mesure » de son époque. MeisterSinger est vendu chez Forges à Paris.
Remis au gout du jour il y a huit ans quand Panerai a sorti sa première « Bronzo », depuis, cette matière a séduit de nombreuses marques (de Tudor à Oris en passant par Eterna, Anonimo, Laco, Maurice Lacroix ou Zenith).
Présentant une teinte initiale évoquant les nuances de l’or rose ou de l’or rouge, le bronze acquiert rapidement une patine qui lui confère un incomparable look « hors d’âge » : du vert-de-gris à l’ardoise en passant par toutes les étapes intermédiaires.
Son oxydation -qui protège le métal- va dépendre du climat, de l’humidité, de l’endroit où vous vivez, etc. Bref, chaque boitier vieillit différemment et donc, chaque boitier en bronze est unique.
Cette série limitée MeisterSinger est donc dotée d’un boitier en bronze de 43 mm étanche 50 mètres. Sa lunette, très fine, cède toute sa place au large cadran. Cette montre, comme toujours chez MeisterSinger, affiche l’heure par le biais d’une mono-aiguille et vous indique le temps, selon votre interprétation, à une ou deux minutes près ! De plus, dans ce modèle, un disque de quantième vous offre la date à 12h ; elle est soulignée par un triangle rouge. Coté mécanique, la Perigraph embarque un calibre automatique suisse base ETA 2824-2 ou Sellita SW 200-1.
Rappelons que la marque est née de la passion d’un homme : Manfred Brassler. Grand collectionneur de montres, ce designer a été maintes fois récompensé pour ses créations épurées par des jurys internationaux. Son objectif fut, dès le début, de créer une montre-bracelet à la fois contemporaine et authentique, un garde-temps qui, sans rompre avec la tradition, prenne la pleine « mesure » de son époque. MeisterSinger est vendu chez Forges à Paris.