Certes, il faut oser porter cette montre toute en or. Mais une fois posée sur le poignet, cette pièce dégage un petit quelque chose de plus… Peut-être la classe et l’élégance naturelle de son créateur, Pierre Arpels, tout simplement, qui ressurgit plus de soixante années après sa création… Avec ses attaches centrales si caractéristiques de ce modèle, la montre Pierre Arpels associait jusqu’à présent l’or à l’alligator. Beau mais convenu. Désormais, la maison va encore plus loin et propose cette montre (mouvement mécanique à remontage manuel) dans deux versions toutes en or : blanc ou rose (notre préférée).
Le bracelet en maille milanaise fait bien évidemment écho au métal précieux et aux lignes épurées du boîtier. Les chiffres romains du cadran, légèrement en relief illuminent le cadran laqué de blanc, tandis que le motif piqué, au centre, rappelle à la fois le poinçon de Van Cleef & Arpels et l’étoffe des chemises de smoking. La classe. De plus, pour parfaire le tout, un diamant siège discrètement au centre de la couronne de remontoir.
Créée en 1949 par Pierre Arpels pour son usage personnel, cette montre masculine est d’abord reproduite pour quelques proches avant d’être finalement commercialisée à partir de 1967 (plus tard, dans les années 80, Cartier lancera la Vendôme, un modèle très similaire). En 2012, à l’occasion du SIHH, VC&A dévoile une nouvelle interprétation de cette pièce devenue une signature de Van Cleef & Arpels. Son style intemporel traduit le goût de son créateur : troisième fils de Julien Arpels (frère d’Estelle Arpels), Pierre est un esthète aux manières exquises qui, chaque matin, choisit son costume, sa cravate et ses souliers avec le plus grand soin. Sa montre symbolise cette élégance essentielle où la beauté est suggérée plutôt qu’affichée : sa forme circulaire parfaite est la plus ancienne des figures géométriques et le boîtier plat aux contours biseautés glisse facilement sous le poignet de la chemise.
Dans ce nouveau modèle, chaque bracelet en maille milanaise pressée, fabriqué à la main selon une technique artisanale, requiert plus de quinze opérations différentes. Les fils d’or, tirés puis enroulés en spirale, sont ensuite entrelacés pour donner corps au bracelet. Les contours sont alors soudés et limés, puis le bracelet est chauffé à plusieurs reprises, afin de lui offrir sa grande souplesse. Étape importante : sa surface extérieure est pressée jusqu’à devenir lisse et douce, créant un remarquable effet « seconde peau ». La pièce est ensuite polie, ce qui renforce son éclat, avant que soit fixée une boucle en or poinçonnée.
Le bracelet en maille milanaise fait bien évidemment écho au métal précieux et aux lignes épurées du boîtier. Les chiffres romains du cadran, légèrement en relief illuminent le cadran laqué de blanc, tandis que le motif piqué, au centre, rappelle à la fois le poinçon de Van Cleef & Arpels et l’étoffe des chemises de smoking. La classe. De plus, pour parfaire le tout, un diamant siège discrètement au centre de la couronne de remontoir.
Créée en 1949 par Pierre Arpels pour son usage personnel, cette montre masculine est d’abord reproduite pour quelques proches avant d’être finalement commercialisée à partir de 1967 (plus tard, dans les années 80, Cartier lancera la Vendôme, un modèle très similaire). En 2012, à l’occasion du SIHH, VC&A dévoile une nouvelle interprétation de cette pièce devenue une signature de Van Cleef & Arpels. Son style intemporel traduit le goût de son créateur : troisième fils de Julien Arpels (frère d’Estelle Arpels), Pierre est un esthète aux manières exquises qui, chaque matin, choisit son costume, sa cravate et ses souliers avec le plus grand soin. Sa montre symbolise cette élégance essentielle où la beauté est suggérée plutôt qu’affichée : sa forme circulaire parfaite est la plus ancienne des figures géométriques et le boîtier plat aux contours biseautés glisse facilement sous le poignet de la chemise.
Dans ce nouveau modèle, chaque bracelet en maille milanaise pressée, fabriqué à la main selon une technique artisanale, requiert plus de quinze opérations différentes. Les fils d’or, tirés puis enroulés en spirale, sont ensuite entrelacés pour donner corps au bracelet. Les contours sont alors soudés et limés, puis le bracelet est chauffé à plusieurs reprises, afin de lui offrir sa grande souplesse. Étape importante : sa surface extérieure est pressée jusqu’à devenir lisse et douce, créant un remarquable effet « seconde peau ». La pièce est ensuite polie, ce qui renforce son éclat, avant que soit fixée une boucle en or poinçonnée.