Véritable standard d’excellence, le Poinçon de Genève, institué par la République et le Canton de Genève en 1886, s’adapte à son temps et crée, à cet effet, un poinçon plus distinct, plus précis, qui n’altère plus la matière environnante. Afin qu’un calibre soit approuvé « Poinçon de Genève », il est nécessaire de respecter une procédure bien spécifique. Le calibre en question doit notamment réunir douze conditions particulières pour être certifié. Les marques* ont la charge de présenter un kit complet de l’ensemble des pièces du mouvement ainsi que les plans de ses composants. Suite à cela, TIMELAB (responsable de la délivrance des poinçons) détermine si la montre est apte ou non, à recevoir le prestigieux certificat !
Cette technologie de marquage nanostructurant devrait offrir à l’avenir, la possibilité de marquer des objets métalliques de valeur ainsi que ses composants dont l’authenticité est critique pour la sécurité. Citons par exemple, la joaillerie, ainsi que les pièces de haute sécurité de l’industrie aérospatiale, en passant par les prothèses et les instruments médicaux. Plus concrètement, ce procédé modifie à l’échelle microscopique les surfaces de pièces métalliques, permettant de marquer des composants mécaniques de très faible dimension.
Cette méthode de poinçonnage peut directement être façonnée sur les plaquettes encore non découpées ou sur la pièce finale, ce qui offre une plus grande souplesse aux manufactures qui pourront décider à quel stade leur pièce sera poinçonnée. Trois tailles standard d’empreintes seront utilisées pour le poinçonnage. A noter que cette nouvelle technologie est sans contact, ce qui permet d’apposer des poinçons sur des pièces métalliques extrêmement fines et délicates.
La gravure résultante est sans dépouille ; les manufactures peuvent donc procéder aux étapes de finition sans aucun risque de voir le poinçon s’amoindrir. Par ailleurs, l’esthétisme du nouveau poinçon est beaucoup plus net, avec une définition parfaite de ses lignes. Dorénavant, il n’y a plus de débordement de matière, ni de déformation des plaquettes dû au choc du poinçonnage. Les divers aciers ainsi que les métaux durs et métaux précieux comme le platine, sont désormais poinçonnables. Cette avancée respecte à 100% l’intégrité physique de la pièce.
Rappelons que l’ancien poinçon fonctionnait par choc mécanique à l’aide d’une presse ou potence munies d’un réglage de l’intensité de l’impact. Les pièces à estampiller étaient disposées sur un support spécifique et l’emplacement de l’empreinte était réalisé à l’aide d’une table XY. La gravure de la matrice était réalisée à la main par des graveurs avertis.
*Vacheron Constantin, Cartier, Chopard ou Roger Dubuis par exemple, qui certifie l’ensemble de sa production du fameux poinçon. Patek Philippe a pour sa part créé son propre label qualité.
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Cette technologie de marquage nanostructurant devrait offrir à l’avenir, la possibilité de marquer des objets métalliques de valeur ainsi que ses composants dont l’authenticité est critique pour la sécurité. Citons par exemple, la joaillerie, ainsi que les pièces de haute sécurité de l’industrie aérospatiale, en passant par les prothèses et les instruments médicaux. Plus concrètement, ce procédé modifie à l’échelle microscopique les surfaces de pièces métalliques, permettant de marquer des composants mécaniques de très faible dimension.
Cette méthode de poinçonnage peut directement être façonnée sur les plaquettes encore non découpées ou sur la pièce finale, ce qui offre une plus grande souplesse aux manufactures qui pourront décider à quel stade leur pièce sera poinçonnée. Trois tailles standard d’empreintes seront utilisées pour le poinçonnage. A noter que cette nouvelle technologie est sans contact, ce qui permet d’apposer des poinçons sur des pièces métalliques extrêmement fines et délicates.
La gravure résultante est sans dépouille ; les manufactures peuvent donc procéder aux étapes de finition sans aucun risque de voir le poinçon s’amoindrir. Par ailleurs, l’esthétisme du nouveau poinçon est beaucoup plus net, avec une définition parfaite de ses lignes. Dorénavant, il n’y a plus de débordement de matière, ni de déformation des plaquettes dû au choc du poinçonnage. Les divers aciers ainsi que les métaux durs et métaux précieux comme le platine, sont désormais poinçonnables. Cette avancée respecte à 100% l’intégrité physique de la pièce.
Rappelons que l’ancien poinçon fonctionnait par choc mécanique à l’aide d’une presse ou potence munies d’un réglage de l’intensité de l’impact. Les pièces à estampiller étaient disposées sur un support spécifique et l’emplacement de l’empreinte était réalisé à l’aide d’une table XY. La gravure de la matrice était réalisée à la main par des graveurs avertis.
*Vacheron Constantin, Cartier, Chopard ou Roger Dubuis par exemple, qui certifie l’ensemble de sa production du fameux poinçon. Patek Philippe a pour sa part créé son propre label qualité.
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