Ce soir-là, la place Vendôme, sous une pluie battante et balayée par le vent, brille de mille feux. Chez Jaeger-LeCoultre, les lumières restent allumées plus tard que d’habitude. La météo, maussade, n’a pas empêché une centaine d’invités de se déplacer pour découvrir, le temps d’une soirée, les nouveautés Jaeger-LeCoultre (SIHH 2015) présentées conjointement avec le « Moc-Weston », la toute dernière création de chez J.M. Weston.
Rien ne prédestinait ces deux grandes maisons aux savoir-faire transmis de générations en générations à se rencontrer, et pourtant… Tout d’abord, elles sont voisines. Weston possède en effet, un concept-store rue St-Honoré et JLC, son flagship sur la place Vendôme. Une centaine de mètres seulement séparent ces prestigieuses boutiques… Ensuite, ces deux grands noms du luxe sont restés des artisans, dans le sens noble du terme. Des entreprises où l’intelligence de la main des ouvriers reste indispensable pour créer des garde-temps et des chaussures intemporels.
Des montres et des derbys, boots ou richelieu qui dureront dans le temps, car c’est bien là le propre du luxe : durer et être indémodable. Au même titre qu’une Reverso ou qu’un mocassin 180. Tous deux traverseront les années, les décennies même, sans prendre une ride. Certes, il faudra un jour ou l’autre faire réviser votre montre et refaire la semelle de vos chaussures… Mais une fois fait, ces deux accessoires vous accompagneront de nouveau dans votre vie quotidienne, et pour longtemps.
Rien ne prédestinait ces deux grandes maisons aux savoir-faire transmis de générations en générations à se rencontrer, et pourtant… Tout d’abord, elles sont voisines. Weston possède en effet, un concept-store rue St-Honoré et JLC, son flagship sur la place Vendôme. Une centaine de mètres seulement séparent ces prestigieuses boutiques… Ensuite, ces deux grands noms du luxe sont restés des artisans, dans le sens noble du terme. Des entreprises où l’intelligence de la main des ouvriers reste indispensable pour créer des garde-temps et des chaussures intemporels.
Des montres et des derbys, boots ou richelieu qui dureront dans le temps, car c’est bien là le propre du luxe : durer et être indémodable. Au même titre qu’une Reverso ou qu’un mocassin 180. Tous deux traverseront les années, les décennies même, sans prendre une ride. Certes, il faudra un jour ou l’autre faire réviser votre montre et refaire la semelle de vos chaussures… Mais une fois fait, ces deux accessoires vous accompagneront de nouveau dans votre vie quotidienne, et pour longtemps.
Derrière ces produits ? Des Hommes. En blouses blanches dans l’horlogerie. Comme Jérôme qui, installé à son établi au rez-de-chaussée, fait découvrir aux invités les secrets du calibre mécanique à remontage manuel 822 qui équipe la Grande Reverso. Un mouvement entièrement manufacturé, assemblé et décoré à la main au sein de la Grande Maison. Au premier étage, Alexandre, un jeune compagnon protégé par son tablier en cuir, est l’un des trois artisans de chez Weston capable de réaliser le fameux cousu norvégien. Celui de l’iconique modèle Chasse (réf 677) de la manufacture limougeaude… Il lui faut une journée entière pour exécuter la couture d’une seule chaussure ! A chacun ses complications.
Pour l’occasion, les deux maisons présentaient également leurs dernières créations… Celles du SIHH 2015 pour Jaeger-LeCoultre et le « Moc-Weston » pour J.M. Weston. Rappelons que cette année, JLC a rendu hommage à l’astronomie en réalisant plusieurs nouveautés en relation avec la science des astres... Une évolution tout à fait logique au regard de l’histoire de la marque, qui dès la fin du 19ème siècle, a commencé à produire des montres de poche dotées de complications inspirées par les étoiles et les mouvements de la Terre…
De son côté, J.M. Weston, dévoilait son « Moc-Weston », une toute nouvelle collection de mocassins spécialement pensée pour l’été par Michel Perry, le directeur artistique de la marque. Un modèle haut en couleurs (notamment en version croco jaune safrané de toute beauté), qui a demandé deux ans de travail et qui s’inspire, bien évidemment, du célébrissime 180 mais dans une version légèrement et intelligemment revisitée. Idéale pour l’été.
JLC et JMW… Une rencontre improbable dans l’absolu, mais qui fait sens tant ces deux maisons sont les gardiens de savoir-faire séculaires, les dignes représentants de traditions ancestrales, helvétiques d’un côté et françaises de l’autre, qui n’ont qu’un but : proposer du beau, du durable, de l’indémodable, du raffiné, de l’élégant et de l’intemporel. Bref, du luxe.
Jean-Philippe Tarot
Pour l’occasion, les deux maisons présentaient également leurs dernières créations… Celles du SIHH 2015 pour Jaeger-LeCoultre et le « Moc-Weston » pour J.M. Weston. Rappelons que cette année, JLC a rendu hommage à l’astronomie en réalisant plusieurs nouveautés en relation avec la science des astres... Une évolution tout à fait logique au regard de l’histoire de la marque, qui dès la fin du 19ème siècle, a commencé à produire des montres de poche dotées de complications inspirées par les étoiles et les mouvements de la Terre…
De son côté, J.M. Weston, dévoilait son « Moc-Weston », une toute nouvelle collection de mocassins spécialement pensée pour l’été par Michel Perry, le directeur artistique de la marque. Un modèle haut en couleurs (notamment en version croco jaune safrané de toute beauté), qui a demandé deux ans de travail et qui s’inspire, bien évidemment, du célébrissime 180 mais dans une version légèrement et intelligemment revisitée. Idéale pour l’été.
JLC et JMW… Une rencontre improbable dans l’absolu, mais qui fait sens tant ces deux maisons sont les gardiens de savoir-faire séculaires, les dignes représentants de traditions ancestrales, helvétiques d’un côté et françaises de l’autre, qui n’ont qu’un but : proposer du beau, du durable, de l’indémodable, du raffiné, de l’élégant et de l’intemporel. Bref, du luxe.
Jean-Philippe Tarot