A l’instar de toutes les grandes complications bracelets Patek Philippe, cette montre à répétition minutes et tourbillon à trois aiguilles avec petite seconde et cinq guichets a été conçue non pas comme une pièce unique destinée à illustrer le savoir-faire de la manufacture, mais comme un enrichissement de la famille des grandes complications Patek Philippe en production régulière.
L’aspect le plus notable de cette grande complication Patek Philippe réside dans son extrême discrétion. A première vue, la configuration de son cadran évoque la rondeur épurée d’une Calatrava classique.
Seul un examen attentif révélera le verrou de sa répétition minutes. Quant au tourbillon, on sait que la tradition technique de Patek Philippe l’impose côté fond du mouvement.
L’intégration d’un quantième perpétuel n’est pas davantage apparente, du moins tant que l’oeil ne s’arrête pas sur le petit guichet à droite des phases de lune pour y lire l’année.
De découverte en découverte, l’étonnement de l’amateur va ainsi grandissant jusqu’à ce qu’apparaisse avec évidence que, chez Patek Philippe, la philosophie des complications est de faciliter la vie du détenteur de la montre. « Il lui faudra attendre minuit pour faire une dernière découverte d’importance : le changement instantané de tous les affichages du quantième –qui ne constitue pas seulement une fonction appréciable mais aussi une complication supplémentaire extrêmement élaborée, fondée sur l’interaction de 212 composants » souligne la marque dans son communiqué.
L’aspect le plus notable de cette grande complication Patek Philippe réside dans son extrême discrétion. A première vue, la configuration de son cadran évoque la rondeur épurée d’une Calatrava classique.
Seul un examen attentif révélera le verrou de sa répétition minutes. Quant au tourbillon, on sait que la tradition technique de Patek Philippe l’impose côté fond du mouvement.
L’intégration d’un quantième perpétuel n’est pas davantage apparente, du moins tant que l’oeil ne s’arrête pas sur le petit guichet à droite des phases de lune pour y lire l’année.
De découverte en découverte, l’étonnement de l’amateur va ainsi grandissant jusqu’à ce qu’apparaisse avec évidence que, chez Patek Philippe, la philosophie des complications est de faciliter la vie du détenteur de la montre. « Il lui faudra attendre minuit pour faire une dernière découverte d’importance : le changement instantané de tous les affichages du quantième –qui ne constitue pas seulement une fonction appréciable mais aussi une complication supplémentaire extrêmement élaborée, fondée sur l’interaction de 212 composants » souligne la marque dans son communiqué.
Selon leur construction, les montres mécaniques à quantième demandent généralement de 20 minutes à plusieurs heures pour modifier leurs affichages.
C’est le 28 février autour de minuit qu’apparaît la situation la plus critique : le disque de date doit avancer de quatre jours pour afficher le 1er mars.
Ce problème a longtemps préoccupé les ingénieurs de chez Patek Philippe, qui ont consacré cinq ans au développement d’un mécanisme capable d’assurer, à minuit, l’avancée simultanée et instantanée des disques indiquant le jour, la date, le mois et l’année bissextile.
Le cœur de leur invention consiste en un mécanisme composé de leviers et de cames de programmation pour lequel deux brevets ont été déposés.
Le mécanisme à quantième perpétuel instantané a été entièrement conçu sous la forme d’un dispositif modulaire intégrable dans un mouvement existant. Dans le cas de la nouvelle Réf. 5207, l’hôte est le très convoité calibre R TO 27 PS qui, associé au quantième perpétuel instantané, prend le nom de calibre R TO 27 PS QI (R pour répétition minutes, TO pour tourbillon, 27 pour 27 mm de diamètre, PS pour petite seconde et QI pour quantième perpétuel instantané).
Les amateurs de montres qui prennent le temps de se familiariser avec les mécanismes horlogers réalisent rapidement que le summum de la subtilité en la matière réside dans l’efficience énergétique : orchestrer des fonctions complexes au moyen de forces réduites.
Dans le nouveau calibre, un ressort-moteur de 425 millimètres de long enroulé dans un barillet d’un diamètre intérieur de 9,18 millimètres doit permettre une exécution fiable de l’intégralité des fonctions de la montre sur une période d’environ 48 heures – y compris l’avancée collective et instantanée de toutes les indications du quantième à minuit.
Le fait que les affichages ne soient pas assurés par de fines aiguilles poids plume constitue ici un défi particulier. Dans cette montre, on a opté pour la lisibilité optimale d’un affichage par guichets ouverts sur des disques, dont la masse est bien supérieure à celle d’aiguilles.
Le cahier des charges établi pour le nouveau quantième perpétuel instantané stipulait que le changement instantané de tous les affichages devait pouvoir être assuré dans tous les cas, y compris avec une réserve de marche résiduelle d’à peine 2 heures et demie. Afin de surmonter cette difficulté, Patek Philippe a conçu un mécanisme de quantième pour lequel ont été déposés deux brevets (Dépôt de brevet européen n° EP 1734419 A1 et dépôt de brevet suisse n° 01080/07).
C’est le 28 février autour de minuit qu’apparaît la situation la plus critique : le disque de date doit avancer de quatre jours pour afficher le 1er mars.
Ce problème a longtemps préoccupé les ingénieurs de chez Patek Philippe, qui ont consacré cinq ans au développement d’un mécanisme capable d’assurer, à minuit, l’avancée simultanée et instantanée des disques indiquant le jour, la date, le mois et l’année bissextile.
Le cœur de leur invention consiste en un mécanisme composé de leviers et de cames de programmation pour lequel deux brevets ont été déposés.
Le mécanisme à quantième perpétuel instantané a été entièrement conçu sous la forme d’un dispositif modulaire intégrable dans un mouvement existant. Dans le cas de la nouvelle Réf. 5207, l’hôte est le très convoité calibre R TO 27 PS qui, associé au quantième perpétuel instantané, prend le nom de calibre R TO 27 PS QI (R pour répétition minutes, TO pour tourbillon, 27 pour 27 mm de diamètre, PS pour petite seconde et QI pour quantième perpétuel instantané).
Les amateurs de montres qui prennent le temps de se familiariser avec les mécanismes horlogers réalisent rapidement que le summum de la subtilité en la matière réside dans l’efficience énergétique : orchestrer des fonctions complexes au moyen de forces réduites.
Dans le nouveau calibre, un ressort-moteur de 425 millimètres de long enroulé dans un barillet d’un diamètre intérieur de 9,18 millimètres doit permettre une exécution fiable de l’intégralité des fonctions de la montre sur une période d’environ 48 heures – y compris l’avancée collective et instantanée de toutes les indications du quantième à minuit.
Le fait que les affichages ne soient pas assurés par de fines aiguilles poids plume constitue ici un défi particulier. Dans cette montre, on a opté pour la lisibilité optimale d’un affichage par guichets ouverts sur des disques, dont la masse est bien supérieure à celle d’aiguilles.
Le cahier des charges établi pour le nouveau quantième perpétuel instantané stipulait que le changement instantané de tous les affichages devait pouvoir être assuré dans tous les cas, y compris avec une réserve de marche résiduelle d’à peine 2 heures et demie. Afin de surmonter cette difficulté, Patek Philippe a conçu un mécanisme de quantième pour lequel ont été déposés deux brevets (Dépôt de brevet européen n° EP 1734419 A1 et dépôt de brevet suisse n° 01080/07).
La première innovation brevetée concerne l’activation des indications du quantième au moyen d’une grande bascule.
La grande bascule est commandée par un râteau à quatre échelons qui, travaillant conjointement avec un levier des mois, positionne la came de programmation annuelle, elle-même reliée à d’autres cames de commutation via des bras articulés, et contrôle le changement collectif et instantané des disques de date, de jour, de mois et d’année bissextile.
Ce fonctionnement complexe explique la forme inédite et compliquée de cette grande bascule, constituée de quinze composants individuels, dont certains sont mobiles. Elle permet l’activation collective et instantanée des indications du quantième. La programmation annuelle repose sur une came de 4 ans, satellite de la came des mois.
La seconde innovation brevetée touche au tour de force quotidien nécessaire au changement des indications du quantième. A la fin des mois de 31 jours, le disque de date n’a besoin d’être avancé que d’un jour mais de deux si le mois est de 30 jours. Les années bissextiles, le disque doit ainsi sauter trois jours pour passer du 29 février au 1er mars. Les années normales, le quantième doit sauter quatre jours pour passer du 28 février au 1er mars.
Tout ceci se traduit par un accroissement graduel de la trajectoire et de la déviation angulaire de la grande bascule, et donc par une réduction progressive de l’angle entre la grande bascule et l’axe dans lequel s’exerce l’action du ressort d’entraînement, ce qui affaiblit d’autant la force résultante du ressort. On ne peut remédier au déclin de cette force en optant simplement pour un ressort plus puissant, notamment parce que ce faisant, on augmenterait, à la fin de mois de longue durée, le risque de voir le disque de date sauter jusqu’au 2e ou au 3e jour au lieu de s’arrêter au 1er. Les ingénieurs ont dû ainsi trouver une solution pour faire avancer le disque de date avec une force contrôlée, quelle que soit la durée du mois en cours.
Patek Philippe a inventé un système doté de deux ressorts, de même puissance, agissant dans des directions différentes. Durant les mois de longue durée, la grande bascule n’est reliée qu’au premier ressort à cause de son angle fermé. L’énergie de ce ressort suffit à faire avancer le disque de date (et les autres indications du quantième) d’un ou deux jours d’une manière instantanée et contrôlée. Mais plus la bascule est déviée, plus faible est la force du premier ressort.
Lorsqu’on dépasse un certain angle, la grande bascule entre en contact avec le deuxième ressort, dont le vecteur de force dévie d’environ 45° par rapport à celui du premier ressort : plus faible est la force exercée sur la grande bascule par le premier ressort, plus fort est l’effet du second ressort.
Cette précaution garantit que, même à la fin du mois de février, les indications du quantième bénéficieront de suffisamment d’énergie pour avancer d’une manière contrôlée au 1er mars. Ce dispositif est la seconde innovation ayant donné lieu à un dépôt de brevet (Dépôt de brevet suisse n° 01080/07 ).
Pour protéger cette fragile interaction de forces, les phases de lune sont avancées séparément à 2h00 du matin. A cette heure, la grande bascule est complètement passive, si bien que l’amplitude du balancier n’est pas affectée par les mouvements du mécanisme de quantième.
La grande bascule est commandée par un râteau à quatre échelons qui, travaillant conjointement avec un levier des mois, positionne la came de programmation annuelle, elle-même reliée à d’autres cames de commutation via des bras articulés, et contrôle le changement collectif et instantané des disques de date, de jour, de mois et d’année bissextile.
Ce fonctionnement complexe explique la forme inédite et compliquée de cette grande bascule, constituée de quinze composants individuels, dont certains sont mobiles. Elle permet l’activation collective et instantanée des indications du quantième. La programmation annuelle repose sur une came de 4 ans, satellite de la came des mois.
La seconde innovation brevetée touche au tour de force quotidien nécessaire au changement des indications du quantième. A la fin des mois de 31 jours, le disque de date n’a besoin d’être avancé que d’un jour mais de deux si le mois est de 30 jours. Les années bissextiles, le disque doit ainsi sauter trois jours pour passer du 29 février au 1er mars. Les années normales, le quantième doit sauter quatre jours pour passer du 28 février au 1er mars.
Tout ceci se traduit par un accroissement graduel de la trajectoire et de la déviation angulaire de la grande bascule, et donc par une réduction progressive de l’angle entre la grande bascule et l’axe dans lequel s’exerce l’action du ressort d’entraînement, ce qui affaiblit d’autant la force résultante du ressort. On ne peut remédier au déclin de cette force en optant simplement pour un ressort plus puissant, notamment parce que ce faisant, on augmenterait, à la fin de mois de longue durée, le risque de voir le disque de date sauter jusqu’au 2e ou au 3e jour au lieu de s’arrêter au 1er. Les ingénieurs ont dû ainsi trouver une solution pour faire avancer le disque de date avec une force contrôlée, quelle que soit la durée du mois en cours.
Patek Philippe a inventé un système doté de deux ressorts, de même puissance, agissant dans des directions différentes. Durant les mois de longue durée, la grande bascule n’est reliée qu’au premier ressort à cause de son angle fermé. L’énergie de ce ressort suffit à faire avancer le disque de date (et les autres indications du quantième) d’un ou deux jours d’une manière instantanée et contrôlée. Mais plus la bascule est déviée, plus faible est la force du premier ressort.
Lorsqu’on dépasse un certain angle, la grande bascule entre en contact avec le deuxième ressort, dont le vecteur de force dévie d’environ 45° par rapport à celui du premier ressort : plus faible est la force exercée sur la grande bascule par le premier ressort, plus fort est l’effet du second ressort.
Cette précaution garantit que, même à la fin du mois de février, les indications du quantième bénéficieront de suffisamment d’énergie pour avancer d’une manière contrôlée au 1er mars. Ce dispositif est la seconde innovation ayant donné lieu à un dépôt de brevet (Dépôt de brevet suisse n° 01080/07 ).
Pour protéger cette fragile interaction de forces, les phases de lune sont avancées séparément à 2h00 du matin. A cette heure, la grande bascule est complètement passive, si bien que l’amplitude du balancier n’est pas affectée par les mouvements du mécanisme de quantième.
La répétition minutes est considérée comme la complication la plus aboutie. Avec un mécanisme composé de différents râteaux et limaçons, minuscules marteaux et timbres délicats, elle impose de formidables défis aux horlogers, surtout lorsqu’il s’agit de l’intégrer dans l’espace restreint d’une montre-bracelet.
Fort de plus de 160 ans d’expérience dans les répétitions, Patek Philippe a porté cet art à un niveau de perfection sans précédent. Le résultat acoustique prend vie lorsque le détenteur d’une Réf. 5207 active le verrou et écoute sa montre sonner les heures sur un timbre grave, faire retentir les quarts par doubles coups sur deux timbres, puis égrainer sur le timbre aigu le nombre de minutes écoulées depuis le dernier quart.
Il a fallu plusieurs années de recherche pour développer le meilleur alliage acier et optimiser la forme et la fixation des timbres en coopération avec l’Institut fédéral suisse de technologie à Lausanne, mondialement respecté.
« Chez les connaisseurs, la sonorité et la résonance des timbres dans les montres-bracelets Patek Philippe à répétition minutes sont considérées comme d’une perfection absolue » souligne la marque dans son communiqué.
On ne s’étonnera pas que le président de la manufacture, Philippe Stern, écoute attentivement le son de chacune de ces montres rares avant de décider si ce garde-temps d’exception est prêt à être livré ou doit retourner aux ateliers pour un léger réajustement acoustique. Le son parfait, qui constitue pour Philippe Stern la signature acoustique de Patek Philippe, a été enregistré et numérisé dans une chambre anéchoïque pour servir ultérieurement de référence.
Fort de plus de 160 ans d’expérience dans les répétitions, Patek Philippe a porté cet art à un niveau de perfection sans précédent. Le résultat acoustique prend vie lorsque le détenteur d’une Réf. 5207 active le verrou et écoute sa montre sonner les heures sur un timbre grave, faire retentir les quarts par doubles coups sur deux timbres, puis égrainer sur le timbre aigu le nombre de minutes écoulées depuis le dernier quart.
Il a fallu plusieurs années de recherche pour développer le meilleur alliage acier et optimiser la forme et la fixation des timbres en coopération avec l’Institut fédéral suisse de technologie à Lausanne, mondialement respecté.
« Chez les connaisseurs, la sonorité et la résonance des timbres dans les montres-bracelets Patek Philippe à répétition minutes sont considérées comme d’une perfection absolue » souligne la marque dans son communiqué.
On ne s’étonnera pas que le président de la manufacture, Philippe Stern, écoute attentivement le son de chacune de ces montres rares avant de décider si ce garde-temps d’exception est prêt à être livré ou doit retourner aux ateliers pour un léger réajustement acoustique. Le son parfait, qui constitue pour Philippe Stern la signature acoustique de Patek Philippe, a été enregistré et numérisé dans une chambre anéchoïque pour servir ultérieurement de référence.
La troisième caractéristique marquante de la Grande Complication Patek Philippe, Réf. 5207, est l’échappement à tourbillon qui garantit une excellente régularité de marche à la montre, même en positions verticales.
Construction bien connue de nombreux connaisseurs des complications Patek Philippe, elle est dotée d’une cage en acier qui tourne une fois par minute autour de son axe. Bien que constitué de 69 composants individuels pour un poids total de seulement 0,3 gramme, ce chefd’œuvre d’ingénierie micromécanique est aussi un modèle de finition. Tous les aciers sont individuellement anglés, satinés, diamantés ou polis à la main.
Comme toutes les montres-bracelets Patek Philippe à tourbillon, la Réf. 5207 est livrée avec un certificat du Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (C.O.S.C.). Alors que la vocation principale d’un tourbillon est d’améliorer la régularité de marche, Patek Philippe impose à ses modèles tourbillon des critères bien plus stricts que ceux du C.O.S.C. lui-même.
Les régleurs, horlogers spécialement formés à cette discipline, se voient confier la tâche d’optimiser la précision de ces mouvements. Ils passent un minimum d’une semaine à réaliser un réglage en finesse de chaque calibre avant de l’envoyer au C.O.S.C. pour quatorze jours de tests.
Après avoir réussi les tests du C.O.S.C., chaque chronomètre est soumis au jugement de Philippe Stern, qui décide personnellement si la pièce mérite l’inscription « Patek Philippe Tourbillon » ou si la procédure complète exige d’être répétée. Comme les critères internes chez Patek Philippe sont au minimum deux fois plus exigeants que ceux du bureau de contrôle officiel, il n’est pas rare qu’un mouvement soit réglé une seconde fois et renvoyé ensuite au C.O.S.C..
Le numéro de série du mouvement est mentionné, pour des raisons d’identification, sur le certificat du bureau officiel. Ce même numéro figure également sur le cadran de la montre-bracelet tourbillon, mais hormis cela, rien d’autre ne suggère explicitement que le garde-temps incarne un tel niveau d’excellence. La cage du tourbillon est lubrifiée avec de l’huile sensible aux rayons ultraviolets du soleil et pourrait vieillir prématurément si elle y était exposée.
Pour cette raison Patek Philippe s’abstient de placer le tourbillon sous les feux de la rampe. Le fond en platine massif du boîtier peut être toutefois remplacé par un fond en verre saphir livré avec la montre, si bien qu’à ses heures perdues, montre hors poignet, le détenteur d’une Réf. 5207 bénéficie toujours de la possibilité d’admirer le fascinant mouvement planétaire du balancier en rotation au centre du tourbillon.
Construction bien connue de nombreux connaisseurs des complications Patek Philippe, elle est dotée d’une cage en acier qui tourne une fois par minute autour de son axe. Bien que constitué de 69 composants individuels pour un poids total de seulement 0,3 gramme, ce chefd’œuvre d’ingénierie micromécanique est aussi un modèle de finition. Tous les aciers sont individuellement anglés, satinés, diamantés ou polis à la main.
Comme toutes les montres-bracelets Patek Philippe à tourbillon, la Réf. 5207 est livrée avec un certificat du Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (C.O.S.C.). Alors que la vocation principale d’un tourbillon est d’améliorer la régularité de marche, Patek Philippe impose à ses modèles tourbillon des critères bien plus stricts que ceux du C.O.S.C. lui-même.
Les régleurs, horlogers spécialement formés à cette discipline, se voient confier la tâche d’optimiser la précision de ces mouvements. Ils passent un minimum d’une semaine à réaliser un réglage en finesse de chaque calibre avant de l’envoyer au C.O.S.C. pour quatorze jours de tests.
Après avoir réussi les tests du C.O.S.C., chaque chronomètre est soumis au jugement de Philippe Stern, qui décide personnellement si la pièce mérite l’inscription « Patek Philippe Tourbillon » ou si la procédure complète exige d’être répétée. Comme les critères internes chez Patek Philippe sont au minimum deux fois plus exigeants que ceux du bureau de contrôle officiel, il n’est pas rare qu’un mouvement soit réglé une seconde fois et renvoyé ensuite au C.O.S.C..
Le numéro de série du mouvement est mentionné, pour des raisons d’identification, sur le certificat du bureau officiel. Ce même numéro figure également sur le cadran de la montre-bracelet tourbillon, mais hormis cela, rien d’autre ne suggère explicitement que le garde-temps incarne un tel niveau d’excellence. La cage du tourbillon est lubrifiée avec de l’huile sensible aux rayons ultraviolets du soleil et pourrait vieillir prématurément si elle y était exposée.
Pour cette raison Patek Philippe s’abstient de placer le tourbillon sous les feux de la rampe. Le fond en platine massif du boîtier peut être toutefois remplacé par un fond en verre saphir livré avec la montre, si bien qu’à ses heures perdues, montre hors poignet, le détenteur d’une Réf. 5207 bénéficie toujours de la possibilité d’admirer le fascinant mouvement planétaire du balancier en rotation au centre du tourbillon.
Bien que limitée à quelques exemplaires par an, la nouvelle Réf. 5207 démontre une fois de plus que les montres-bracelets à Grande Complication Patek Philippe ne sont pas de simples manifestations occasionnelles de la créativité de la manufacture. Patek Philippe possède la compétence et la capacité de travailler continuellement au plus haut niveau technologique.
Celui-ci s’applique également au classique boîtier de style Calatrava en platine de 41 millimètres arboré par la Réf. 5207. Recourant au procédé traditionnel du matriçage à froid, il est fabriqué au sein de la manufacture au moyen de presses de haut tonnage. Ses flancs et son verrou de répétition minutes sont gravés à la main, et comme tous les boîtiers Patek Philippe en platine, il se distingue par un diamant Top Wesselton discrètement serti à l’entre-cornes, à 6 heures.
Sous le verre saphir légèrement bombé, le cadran en or 18 carats de couleur « Honey Gold » révèle une configuration inhabituelle pour un quantième perpétuel. Les guichets avec cadres polis miroir indiquant le jour, la date et le mois sont positionnés le long d’un arc entre 10h et 2h.
Le grand guichet de date à 12h avec son cadre en or gris poli miroir est particulièrement marquant. Le cadran auxiliaire des secondes à 6 heures est doté d’un guichet pour les phases de lune, indication poétique mais de haute précision, qui ne s’écarte de la vraie lunaison que d’un jour en 122 ans de fonctionnement.
A sa gauche, entre 7h et 8h, un petit guichet accueille l’indication jour/nuit. Le guichet situé entre 4h et 5h s’ouvre sur le cycle des années bissextiles avec chiffres romains de I à IV. En dépit de ses nombreuses indications, le cadran offre une esthétique équilibrée et une excellente lisibilité.
En raison de son extrême rareté, la Réf. 5207 sera exclusivement proposée dans les Salons Patek Philippe de Genève, durant une phase initiale de lancement.
Celui-ci s’applique également au classique boîtier de style Calatrava en platine de 41 millimètres arboré par la Réf. 5207. Recourant au procédé traditionnel du matriçage à froid, il est fabriqué au sein de la manufacture au moyen de presses de haut tonnage. Ses flancs et son verrou de répétition minutes sont gravés à la main, et comme tous les boîtiers Patek Philippe en platine, il se distingue par un diamant Top Wesselton discrètement serti à l’entre-cornes, à 6 heures.
Sous le verre saphir légèrement bombé, le cadran en or 18 carats de couleur « Honey Gold » révèle une configuration inhabituelle pour un quantième perpétuel. Les guichets avec cadres polis miroir indiquant le jour, la date et le mois sont positionnés le long d’un arc entre 10h et 2h.
Le grand guichet de date à 12h avec son cadre en or gris poli miroir est particulièrement marquant. Le cadran auxiliaire des secondes à 6 heures est doté d’un guichet pour les phases de lune, indication poétique mais de haute précision, qui ne s’écarte de la vraie lunaison que d’un jour en 122 ans de fonctionnement.
A sa gauche, entre 7h et 8h, un petit guichet accueille l’indication jour/nuit. Le guichet situé entre 4h et 5h s’ouvre sur le cycle des années bissextiles avec chiffres romains de I à IV. En dépit de ses nombreuses indications, le cadran offre une esthétique équilibrée et une excellente lisibilité.
En raison de son extrême rareté, la Réf. 5207 sera exclusivement proposée dans les Salons Patek Philippe de Genève, durant une phase initiale de lancement.
Spécificités techniques de la Grande Complication, Réf. 5207, en platine Patek Philippe
Tourbillon, répétition minutes, quantième perpétuel instantané et phases de lune
Mouvement : Calibre R TO 27 PS QI
Mouvement mécanique à remontage manuel, Tourbillon, Répétition minutes, Quantième perpétuel instantané. Jour, date, mois, année bissextile par guichets, indication jour/nuit, phases de lune et petite aiguille de seconde.
Diamètre total : 32 mm
Hauteur : Hauteur : 9,33 mm
Nombre de composants : 548
Nombre de rubis : 35
Réserve de marche : max. 48 heures
Balancier : Gyromax
Alternances/heure : 21 600 (3 Hz)
Tourbillon : Cage en acier, 69 composants, 0,3 gramme
1 tour par minute. Tourbillon disposé sur le même axe que le balancier et la roue des secondes
Spiral : Breguet
Piton : Mobile
Dispositif de mise à l’heure : Couronne à deux positions :
- Tirée : mise à l’heure
- Poussée : remontage du mouvement
Certificat : Certificat exclusif émanant du C.O.S.C. (Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres) et du Poinçon de Genève réunis
Affichage : Par 3 aiguilles :
Heures et minutes au centre
Secondes à 6h
Par 6 guichets :
Jour entre 10h et 11h dans un cadre frappé en or gris diamanté poli
Date à 12h dans un cadre frappé en or gris diamanté poli
Mois entre 1h et 2h dans un cadre frappé en or gris diamanté poli
Phases de lune à 6h
Indication jour/nuit entre 7h et 8h
Année bissextile entre 4h et 5h
Boutons correcteurs : - entre 11h et 12h, correction du jour
- entre 12h et 13h, correction du mois
- entre 5h et 6h, correction de la phase de lune
- entre 6h et 7h, correction de la date
Livrée avec un crayon correcteur en ébène incrusté d’or gris 18 carats
Répétition minutes frappant les heures sur le 1er timbre, les minutes sur le 2ème timbre et les quarts sur les deux timbres.
Habillage
Boîtier : Platine 950, livré avec un fond plein en platine et un fond en verre saphir interchangeables, diamant d’env. 0,02 carat serti à l’entrecornes à 6h
Dimensions : Diamètre : 41 mm
Hauteur : 16.25 mm
Entre-corne : 20 mm
Verrou : Intégré dans le boîtier, pour l'activation de la répétition minutes
Cadran : Or 18 carats de couleur « Honey Gold » (Nouvelle couleur de cadran exclusive Patek Philippe)
11 index appliques en or gris 18 carats de style Obus
Aiguilles des heures et des minutes en or gris 18 carats de style Dauphine
Aiguille des secondes de style Bâton avec contrepoids, en or gris 18 carats
Minuterie perlée sur le pourtour du cadran
Bracelet : Alligator écailles carrées brun chocolat brillant, cousu main, avec boucle ardillon de 16 mm en platine
Mouvement : Calibre R TO 27 PS QI
Mouvement mécanique à remontage manuel, Tourbillon, Répétition minutes, Quantième perpétuel instantané. Jour, date, mois, année bissextile par guichets, indication jour/nuit, phases de lune et petite aiguille de seconde.
Diamètre total : 32 mm
Hauteur : Hauteur : 9,33 mm
Nombre de composants : 548
Nombre de rubis : 35
Réserve de marche : max. 48 heures
Balancier : Gyromax
Alternances/heure : 21 600 (3 Hz)
Tourbillon : Cage en acier, 69 composants, 0,3 gramme
1 tour par minute. Tourbillon disposé sur le même axe que le balancier et la roue des secondes
Spiral : Breguet
Piton : Mobile
Dispositif de mise à l’heure : Couronne à deux positions :
- Tirée : mise à l’heure
- Poussée : remontage du mouvement
Certificat : Certificat exclusif émanant du C.O.S.C. (Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres) et du Poinçon de Genève réunis
Affichage : Par 3 aiguilles :
Heures et minutes au centre
Secondes à 6h
Par 6 guichets :
Jour entre 10h et 11h dans un cadre frappé en or gris diamanté poli
Date à 12h dans un cadre frappé en or gris diamanté poli
Mois entre 1h et 2h dans un cadre frappé en or gris diamanté poli
Phases de lune à 6h
Indication jour/nuit entre 7h et 8h
Année bissextile entre 4h et 5h
Boutons correcteurs : - entre 11h et 12h, correction du jour
- entre 12h et 13h, correction du mois
- entre 5h et 6h, correction de la phase de lune
- entre 6h et 7h, correction de la date
Livrée avec un crayon correcteur en ébène incrusté d’or gris 18 carats
Répétition minutes frappant les heures sur le 1er timbre, les minutes sur le 2ème timbre et les quarts sur les deux timbres.
Habillage
Boîtier : Platine 950, livré avec un fond plein en platine et un fond en verre saphir interchangeables, diamant d’env. 0,02 carat serti à l’entrecornes à 6h
Dimensions : Diamètre : 41 mm
Hauteur : 16.25 mm
Entre-corne : 20 mm
Verrou : Intégré dans le boîtier, pour l'activation de la répétition minutes
Cadran : Or 18 carats de couleur « Honey Gold » (Nouvelle couleur de cadran exclusive Patek Philippe)
11 index appliques en or gris 18 carats de style Obus
Aiguilles des heures et des minutes en or gris 18 carats de style Dauphine
Aiguille des secondes de style Bâton avec contrepoids, en or gris 18 carats
Minuterie perlée sur le pourtour du cadran
Bracelet : Alligator écailles carrées brun chocolat brillant, cousu main, avec boucle ardillon de 16 mm en platine