Attention, désormais, il y aura deux références d’Explorer 39 mm 214270. Celles d’avant 2016 et celles d’après. Des montres très similaires mais toutefois suffisamment différentes pour que l’on revienne en détails sur ce qui fait que la deuxième génération est nettement plus intéressante que la première…
Mais avant d’aller plus loin, revenons en quelques mots sur l’histoire de la Rolex Explorer… L’un des incontournables du catalogue Rolex, une icône Rolex et l’une des premières Oyster pour hommes à avoir été adoptée par les femmes il y a une quinzaine d’années…
Edmund Hillary, le géant néo-zélandais de 1.90 mètre, ancien apiculteur, qui vainquit l’Everest et ses 8.848 mètres le 29 mai 1953 en compagnie de son ami, le sherpa Tensing Norgay, s’est éteint le 11 janvier 2008 à l'âge de 88 ans à l’hôpital d'Auckland (Nouvelle-Zélande) des suites d’une crise cardiaque.
Mais pour tous les amateurs de Rolex, le nom de Sir Edmund Hillary restera indéfiniment lié au modèle Explorer qui fut créé suite à la première ascension victorieuse de l’Everest. En effet, il faut savoir qu’au début des années 50, la marque genevoise commence à commercialiser ses premières montres professionnelles.
Mais avant d’aller plus loin, revenons en quelques mots sur l’histoire de la Rolex Explorer… L’un des incontournables du catalogue Rolex, une icône Rolex et l’une des premières Oyster pour hommes à avoir été adoptée par les femmes il y a une quinzaine d’années…
Edmund Hillary, le géant néo-zélandais de 1.90 mètre, ancien apiculteur, qui vainquit l’Everest et ses 8.848 mètres le 29 mai 1953 en compagnie de son ami, le sherpa Tensing Norgay, s’est éteint le 11 janvier 2008 à l'âge de 88 ans à l’hôpital d'Auckland (Nouvelle-Zélande) des suites d’une crise cardiaque.
Mais pour tous les amateurs de Rolex, le nom de Sir Edmund Hillary restera indéfiniment lié au modèle Explorer qui fut créé suite à la première ascension victorieuse de l’Everest. En effet, il faut savoir qu’au début des années 50, la marque genevoise commence à commercialiser ses premières montres professionnelles.
Elle soutient alors des aventuriers de l’extrême et devient « sponsor » de cette expédition britannique en équipant quelques-uns de ses membres. Les montres fonctionnèrent avec la plus grande précision pendant toute l'aventure, malgré des différences de températures affolantes et des chocs violents et répétés. Aujourd’hui, la Rolex que portait le sherpa Tensing Norway lors de l’expédition de 1953, se trouve au musée Rolex de Genève.
Ce modèle de 36 mm sans date est immédiatement reconnaissable grâce à son cadran noir, son large triangle inversé à 12 heures, ses chiffres arabes 3/6/9 à la place des index et son aiguille des heures de type étoile « Mercedes ». L’histoire veut également qu’à l’époque, cette montre était extrêmement résistante aux écarts de température, fonctionnant sans problème de -20°C à +40°C, grâce à une huile spécifique.
Dans le cadre du « rajeunissement » progressif de ses collections, la marque genevoise a présenté en 2010 une nouvelle mouture de sa Rolex Explorer. Taillée dans un bloc d’acier 904L aux propriétés anticorrosion exceptionnelles, elle s’affirme alors dans un boîtier légèrement élargi de 39mm (vs 36 mm). Autre différence par rapport au modèle 114270 ? Les chiffres 3, 6 et 9 ne sont pas en Superluminova dans l’Explo de 2010 (ce qui ne plait pas aux fans du modèle) et le terme Explorer n’est plus placé dans la partie supérieure mais inférieure du cadran, juste au-dessus de Superlative Chronometer Officially Certified.
Cette version 2010 munie de son mouvement mécanique à remontage automatique (Calibre Rolex 3132, 48 h de réserve de marche, certifiée COSC) équipé du rotor Perpetual, du spiral Parachrom et des amortisseurs de chocs Paraflex, va être commercialisée jusqu’à cette année (fin 2015/début 2016). Mais surprise ! Rolex décide de l’arrêter et de la remplacer par une nouvelle montre qui porte la même référence, intègre le même calibre, mais avec quelques petits plus qui vont faire toute la différence !
Ce modèle de 36 mm sans date est immédiatement reconnaissable grâce à son cadran noir, son large triangle inversé à 12 heures, ses chiffres arabes 3/6/9 à la place des index et son aiguille des heures de type étoile « Mercedes ». L’histoire veut également qu’à l’époque, cette montre était extrêmement résistante aux écarts de température, fonctionnant sans problème de -20°C à +40°C, grâce à une huile spécifique.
Dans le cadre du « rajeunissement » progressif de ses collections, la marque genevoise a présenté en 2010 une nouvelle mouture de sa Rolex Explorer. Taillée dans un bloc d’acier 904L aux propriétés anticorrosion exceptionnelles, elle s’affirme alors dans un boîtier légèrement élargi de 39mm (vs 36 mm). Autre différence par rapport au modèle 114270 ? Les chiffres 3, 6 et 9 ne sont pas en Superluminova dans l’Explo de 2010 (ce qui ne plait pas aux fans du modèle) et le terme Explorer n’est plus placé dans la partie supérieure mais inférieure du cadran, juste au-dessus de Superlative Chronometer Officially Certified.
Cette version 2010 munie de son mouvement mécanique à remontage automatique (Calibre Rolex 3132, 48 h de réserve de marche, certifiée COSC) équipé du rotor Perpetual, du spiral Parachrom et des amortisseurs de chocs Paraflex, va être commercialisée jusqu’à cette année (fin 2015/début 2016). Mais surprise ! Rolex décide de l’arrêter et de la remplacer par une nouvelle montre qui porte la même référence, intègre le même calibre, mais avec quelques petits plus qui vont faire toute la différence !
Dans cette nouvelle Explo réf. 214270, le cadran est doté d’un affichage entièrement luminescent pour une lisibilité renforcée. Même les chiffres 3, 6 et 9, caractéristiques du modèle, sont désormais recouverts d’une matière luminescente longue durée émettant dans le bleu (Chromalight), tout comme les index et les aiguilles. Premier point important. Deuxième changement subtil mais primordial : les aiguilles sont maintenant plus larges et ont été allongées afin d’améliorer le confort visuel et surtout, afin d’être plus adaptées à la taille du cadran (l’aiguille des minutes dépasse le bout de l’index ce qui n’était pas le cas auparavant et l’aiguille des heures est plus trapue).
Le fond cannelé du boitier est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial ; étanche 100 mètres. La couronne de remontoir, munie du système de double étanchéité Twinlock, se visse solidement sur le boîtier. Quant à la glace, elle est en saphir pratiquement inrayable. Totalement étanche, le boîtier de l’Explorer protège ainsi de manière optimale le mouvement haute précision qu’il abrite.
Côté calibre, cette Professionnelle embarque l’éprouvé 3132 ; l’oscillateur, véritable cœur de la montre, comprend un spiral Parachrom bleu breveté et fabriqué par Rolex dans un alliage exclusif. Parfaitement insensible aux champs magnétiques, ce spiral présente une grande stabilité face aux variations de température et reste jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs. Il est muni d’une courbe Rolex garantissant sa régularité dans toutes les positions.
Enfin, « last but not least », cette nouvelle Explorer bénéficie de la certification Chronomètre Superlatif redéfinie par Rolex en 2015 pour garantir des performances hors norme. Ce titre exclusif atteste que la montre a subi avec succès toute une batterie de tests menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères ; des tests plus sévères que les normes horlogères.
Cette certification porte sur la montre dans son ensemble, une fois le mouvement emboîté (le COSC est mesuré sur le calibre seul non monté). La précision requise désormais par Rolex (Chronomètre Superlatif Rolex) est de l’ordre de -2/+2 secondes par jour, soit plus de deux fois celle exigée par le COSC. A noter que le statut de Chronomètre Superlatif est symbolisé par le sceau vert (vs rouge précédemment) livré avec chaque montre et s’accompagne d’une garantie internationale de cinq ans.
L’Explorer est assortie d’un bracelet Oyster à maillons massifs en acier 904L avec fermoir de sécurité Oysterlock prévenant toute ouverture accidentelle. Ce bracelet dispose de la maille de rallonge rapide Easylink, un système breveté par Rolex qui permet d’ajuster facilement la longueur d’environ 5 mm pour un surcroît de confort en toute circonstance. Idéal en été quand le poignet a tendance à gonfler.
Le fond cannelé du boitier est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial ; étanche 100 mètres. La couronne de remontoir, munie du système de double étanchéité Twinlock, se visse solidement sur le boîtier. Quant à la glace, elle est en saphir pratiquement inrayable. Totalement étanche, le boîtier de l’Explorer protège ainsi de manière optimale le mouvement haute précision qu’il abrite.
Côté calibre, cette Professionnelle embarque l’éprouvé 3132 ; l’oscillateur, véritable cœur de la montre, comprend un spiral Parachrom bleu breveté et fabriqué par Rolex dans un alliage exclusif. Parfaitement insensible aux champs magnétiques, ce spiral présente une grande stabilité face aux variations de température et reste jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs. Il est muni d’une courbe Rolex garantissant sa régularité dans toutes les positions.
Enfin, « last but not least », cette nouvelle Explorer bénéficie de la certification Chronomètre Superlatif redéfinie par Rolex en 2015 pour garantir des performances hors norme. Ce titre exclusif atteste que la montre a subi avec succès toute une batterie de tests menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères ; des tests plus sévères que les normes horlogères.
Cette certification porte sur la montre dans son ensemble, une fois le mouvement emboîté (le COSC est mesuré sur le calibre seul non monté). La précision requise désormais par Rolex (Chronomètre Superlatif Rolex) est de l’ordre de -2/+2 secondes par jour, soit plus de deux fois celle exigée par le COSC. A noter que le statut de Chronomètre Superlatif est symbolisé par le sceau vert (vs rouge précédemment) livré avec chaque montre et s’accompagne d’une garantie internationale de cinq ans.
L’Explorer est assortie d’un bracelet Oyster à maillons massifs en acier 904L avec fermoir de sécurité Oysterlock prévenant toute ouverture accidentelle. Ce bracelet dispose de la maille de rallonge rapide Easylink, un système breveté par Rolex qui permet d’ajuster facilement la longueur d’environ 5 mm pour un surcroît de confort en toute circonstance. Idéal en été quand le poignet a tendance à gonfler.