Romain Réa aime les montres depuis sa plus tendre enfance… Très jeune, il hante les allées des marchés aux puces parisiens et achète, revend et collectionne avec passion les montres vintage, bien avant la grande mode de ces dernières années.
Sa première belle montre : une Breitling. A vingt-deux ans, il ouvre un rayon de montres militaires chez Doursoux, le rendez-vous des Parisiens pour leurs matériels de surplus militaires, puis il déniche une boutique aux Puces de Clignancourt, dans laquelle il se lance en vendant sa propre collection. C’est là qu’il va « apprendre le métier » : acheter, revendre certes, mais surtout analyser une pièce, se documenter pour en savoir toujours plus sur une marque ou un mouvement, évaluer, authentifier, transformer des acheteurs en amateurs.
Mais rapidement, montres vintages et militaires ne lui suffisent plus. Il s’intéresse alors aux pièces plus anciennes… aux mécaniques traditionnelles… Il se rapproche des experts, des commissaires-priseurs et dès 1997, il rédige son mémoire sur l’histoire de la montre. Il est alors accepté au sein du collège des experts de l’Union française des experts, principale autorité nationale dans ce domaine.
1999 : Romain Réa s’installe rue du Bac, sur la Rive gauche à Paris. Une adresse plus prestigieuse qui lui permet d’avoir accès à une clientèle différente, plus internationale. Il devient même le « costumier de poignet » de quelques producteurs américains et de comédiens comme Robert de Niro, pour lesquels il conseille le « casting » de tel ou tel modèle de montres après avoir étudié le scénario et le profil des personnages.
Déménageant dans un plus grand espace à quelques mètres de sa première boutique, il acquiert un nouveau statut de référence parisienne quand Artcurial – première maison de ventes indépendante en France –fait de lui son expert horloger et le charge d’organiser les premières ventes thématiques françaises de montres de collection (Rolex, Jaeger-LeCoultre, Lip).
Aujourd’hui, Romain Réa poursuit sa carrière et sa boutique éponyme s’est enrichie d’un site Internet. Sa section « collection » affiche une soixantaine de modèles : des Breitling (dont une série limitée pour la Patrouille de France), des Universal Genève, des Omega, des Blancpain (dont une Fifty Fathoms des années 60/70 à lunette orange)… Bref, que du choix de première qualité.
Dans la rubrique « occasion », Romain Réa propose des pièces plus contemporaines (actuellement une Rolex Submariner lunette verte, une Radiomir Panerai 1936, une Rolex Sea-Dweller DeepSea, une Rolex Milgauss fond blanc, etc.). En tout une trentaine de modèles.
Les montres disposent à chaque fois d’un petit descriptif (assez succinct) et de trois photos (un système de loupe permet de voir les détails de chaque garde-temps). Les prix sont généralement mentionnés, sauf pour les pièces rares ou très recherchées.
A noter également que Romain Réa propose quelques marques en neuf : Bell & Ross, Perrelet, Maurice Lacroix, Porsche Design ou Ebel.
Sa première belle montre : une Breitling. A vingt-deux ans, il ouvre un rayon de montres militaires chez Doursoux, le rendez-vous des Parisiens pour leurs matériels de surplus militaires, puis il déniche une boutique aux Puces de Clignancourt, dans laquelle il se lance en vendant sa propre collection. C’est là qu’il va « apprendre le métier » : acheter, revendre certes, mais surtout analyser une pièce, se documenter pour en savoir toujours plus sur une marque ou un mouvement, évaluer, authentifier, transformer des acheteurs en amateurs.
Mais rapidement, montres vintages et militaires ne lui suffisent plus. Il s’intéresse alors aux pièces plus anciennes… aux mécaniques traditionnelles… Il se rapproche des experts, des commissaires-priseurs et dès 1997, il rédige son mémoire sur l’histoire de la montre. Il est alors accepté au sein du collège des experts de l’Union française des experts, principale autorité nationale dans ce domaine.
1999 : Romain Réa s’installe rue du Bac, sur la Rive gauche à Paris. Une adresse plus prestigieuse qui lui permet d’avoir accès à une clientèle différente, plus internationale. Il devient même le « costumier de poignet » de quelques producteurs américains et de comédiens comme Robert de Niro, pour lesquels il conseille le « casting » de tel ou tel modèle de montres après avoir étudié le scénario et le profil des personnages.
Déménageant dans un plus grand espace à quelques mètres de sa première boutique, il acquiert un nouveau statut de référence parisienne quand Artcurial – première maison de ventes indépendante en France –fait de lui son expert horloger et le charge d’organiser les premières ventes thématiques françaises de montres de collection (Rolex, Jaeger-LeCoultre, Lip).
Aujourd’hui, Romain Réa poursuit sa carrière et sa boutique éponyme s’est enrichie d’un site Internet. Sa section « collection » affiche une soixantaine de modèles : des Breitling (dont une série limitée pour la Patrouille de France), des Universal Genève, des Omega, des Blancpain (dont une Fifty Fathoms des années 60/70 à lunette orange)… Bref, que du choix de première qualité.
Dans la rubrique « occasion », Romain Réa propose des pièces plus contemporaines (actuellement une Rolex Submariner lunette verte, une Radiomir Panerai 1936, une Rolex Sea-Dweller DeepSea, une Rolex Milgauss fond blanc, etc.). En tout une trentaine de modèles.
Les montres disposent à chaque fois d’un petit descriptif (assez succinct) et de trois photos (un système de loupe permet de voir les détails de chaque garde-temps). Les prix sont généralement mentionnés, sauf pour les pièces rares ou très recherchées.
A noter également que Romain Réa propose quelques marques en neuf : Bell & Ross, Perrelet, Maurice Lacroix, Porsche Design ou Ebel.