La marque horlogère suisse Romain Jérôme a été la première à intégrer au cœur de ses garde-temps des matériaux en provenance de lieux et de moyens de transport prestigieux (ex. Titanic). Cette année, c’est au tour de Saint Honoré de suivre ce même principe avec l’arrivée d’un premier garde-temps pour hommes en début d’année avec une lunette réalisée à partir du métal d’une poutrelle de la tour Eiffel ! En cette rentrée 2015, la marque bisontine présente son pendant féminin.
Il s’agit d’une édition limitée à 500 exemplaires dotée d’un boitier en acier ou plaqué or rose de 38 mm (belle taille pour une montre femme) abritant un calibre mécanique automatique (Sellita SW 200). Le cadran avec date trainante à 6h est proposé en deux versions : blanc ou effet « Eclair » qui reproduit l’aspect étincelant d’un pavage de diamant !
A noter également, toujours sur le cadran, la présence de croisillons de couleur brune qui viennent rappeler la structure de la fameuse « Grande Dame ». Tonalité que l’on retrouve également sur la couronne, la masse oscillante du mouvement et la boucle du bracelet en cuir façon croco blanc ou brun Le tout est complété par un certificat d’authenticité signé par la Société d’Exploitation de la Tour Eiffel (SETE) à l’appui et un écrin de luxe.
Il s’agit d’une édition limitée à 500 exemplaires dotée d’un boitier en acier ou plaqué or rose de 38 mm (belle taille pour une montre femme) abritant un calibre mécanique automatique (Sellita SW 200). Le cadran avec date trainante à 6h est proposé en deux versions : blanc ou effet « Eclair » qui reproduit l’aspect étincelant d’un pavage de diamant !
A noter également, toujours sur le cadran, la présence de croisillons de couleur brune qui viennent rappeler la structure de la fameuse « Grande Dame ». Tonalité que l’on retrouve également sur la couronne, la masse oscillante du mouvement et la boucle du bracelet en cuir façon croco blanc ou brun Le tout est complété par un certificat d’authenticité signé par la Société d’Exploitation de la Tour Eiffel (SETE) à l’appui et un écrin de luxe.
Dressée sur les bords de la Seine, la tour conçue par Gustave Eiffel a été construite à l’occasion de l’exposition universelle de 1889 célébrant le centenaire de la révolution française. Nul ne devrait pouvoir encore la contempler aujourd’hui puisque le contrat prévoyait ensuite sa destruction ! C’est sa hauteur permettant de transmettre des ondes radio à très longue distance qui lui valut d’échapper à la démolition en lui faisant jouer le rôle d’antenne géante… 324 m de haut, 18 000 éléments de charpente métallique, 2 500 000 rivets…
Si sa silhouette élancée est connue dans le monde entier (7 millions de visiteurs empruntent chaque année ses ascenseurs ou gravissent à pied les escaliers comptant 1665 marches), la Tour Eiffel aurait fort bien pu arborer une forme très différente : le défi lancé aux architectes consistait en effet à « élever sur le Champ de Mars une tour de fer, à base carrée, de 125 mètres de côté et de 300 mètres de hauteur ». Chaque ingénieur était libre ensuite d’extrapoler autour de ces critères imposés et de laisser libre cours à son imagination.
De fait, pas moins de 107 projets furent déposés, tous plus audacieux les uns que les autres ! C’est finalement le projet Eiffel qui remporta le concours et les travaux commencèrent en 1887. Il fallut tracer 5300 plans et dessins pour permettre à 132 ouvriers d’assembler les pièces préfabriquées en atelier, réussissant une extraordinaire prouesse technique pour l’époque. Deux ans plus tard, le 15 mai 1889, le premier visiteur pouvait admirer Paris du haut de cette fameuse Tour Eiffel…
Si sa silhouette élancée est connue dans le monde entier (7 millions de visiteurs empruntent chaque année ses ascenseurs ou gravissent à pied les escaliers comptant 1665 marches), la Tour Eiffel aurait fort bien pu arborer une forme très différente : le défi lancé aux architectes consistait en effet à « élever sur le Champ de Mars une tour de fer, à base carrée, de 125 mètres de côté et de 300 mètres de hauteur ». Chaque ingénieur était libre ensuite d’extrapoler autour de ces critères imposés et de laisser libre cours à son imagination.
De fait, pas moins de 107 projets furent déposés, tous plus audacieux les uns que les autres ! C’est finalement le projet Eiffel qui remporta le concours et les travaux commencèrent en 1887. Il fallut tracer 5300 plans et dessins pour permettre à 132 ouvriers d’assembler les pièces préfabriquées en atelier, réussissant une extraordinaire prouesse technique pour l’époque. Deux ans plus tard, le 15 mai 1889, le premier visiteur pouvait admirer Paris du haut de cette fameuse Tour Eiffel…
Spécificités techniques
Boîtier en acier ou plaqué or rose, diamètre 38 mm.
Lunette sculptée dans un élément en fer de la tour Eiffel avec décor « croisillons »
Verre saphir
Etanche à 50 m.
Cadran blanc ou cadran effet « Eclair TM »
Mouvement automatique Sellita SW 200
Platine perlée et rhodiée
Masse oscillante gravée « tour Eiffel » avec décor sculpté
Réserve de marche 38 heures
Bracelet cuir façon croco blanc ou marron sur boucle ardillon « tour Eiffel »
Série limitée à 500 exemplaires parmi les 1885 pièces de la gamme
Ecrin collector
Certificat d’authenticité signé par le Comité de la tour Eiffel
Lunette sculptée dans un élément en fer de la tour Eiffel avec décor « croisillons »
Verre saphir
Etanche à 50 m.
Cadran blanc ou cadran effet « Eclair TM »
Mouvement automatique Sellita SW 200
Platine perlée et rhodiée
Masse oscillante gravée « tour Eiffel » avec décor sculpté
Réserve de marche 38 heures
Bracelet cuir façon croco blanc ou marron sur boucle ardillon « tour Eiffel »
Série limitée à 500 exemplaires parmi les 1885 pièces de la gamme
Ecrin collector
Certificat d’authenticité signé par le Comité de la tour Eiffel