La toute première montre de plongée japonaise fut créée en 1965 par Seiko. Une petite révolution à l’époque avec un modèle qui devint mythique au fil des années. Non seulement grâce à ses qualités intrinsèques, mais aussi grâce à un design particulièrement réussi et novateur qui séduisit des générations de plongeurs professionnels et amateurs.
Cette année, l’horloger nippon -surfant également sur la tendance du vintage- vient de rééditer quasiment à l’identique ce célèbre modèle dans une édition limitée à 2.000 exemplaires à 3.800 euros. Pour ceux qui n’auront pas eu la chance d’avoir accès à cette « plongeuse », sachez que la marque va lancer en novembre prochaine, une deuxième version s’inspirant du modèle de 1965 mais revisitée avec un design et des matériaux plus contemporains.
Dans les versions de 2017 avec cadran et lunette bleu ou noir, les aiguilles, plus larges, sont revêtues de Lumibrite, une matière qui offre une parfaite lisibilité, même en eaux profondes et plus généralement dans l’obscurité. L’étanchéité est désormais de 200 mètres (vs 150 m) et le verre saphir bénéficie d’un traitement antireflet. Très confortable au poignet, la boîte en acier de 42,6 mm aux lignes polies Zaratsu (méthode de polissage propre à l’horloger nippon) ajoute une touche de sophistication contemporaine.
La première référence est entièrement en acier, tandis que l’autre est montée sur un bracelet à soufflets en silicone combinant résistance et confort ; un concept inventé par Seiko en 1975 en réponse au problème d’expansion et de contraction en profondeur. Cette montre est dotée d’un calibre « maison » automatique « made in Japan » dotée d’une réserve de marche de 50 h. A partir de 899 euros.
Cette année, l’horloger nippon -surfant également sur la tendance du vintage- vient de rééditer quasiment à l’identique ce célèbre modèle dans une édition limitée à 2.000 exemplaires à 3.800 euros. Pour ceux qui n’auront pas eu la chance d’avoir accès à cette « plongeuse », sachez que la marque va lancer en novembre prochaine, une deuxième version s’inspirant du modèle de 1965 mais revisitée avec un design et des matériaux plus contemporains.
Dans les versions de 2017 avec cadran et lunette bleu ou noir, les aiguilles, plus larges, sont revêtues de Lumibrite, une matière qui offre une parfaite lisibilité, même en eaux profondes et plus généralement dans l’obscurité. L’étanchéité est désormais de 200 mètres (vs 150 m) et le verre saphir bénéficie d’un traitement antireflet. Très confortable au poignet, la boîte en acier de 42,6 mm aux lignes polies Zaratsu (méthode de polissage propre à l’horloger nippon) ajoute une touche de sophistication contemporaine.
La première référence est entièrement en acier, tandis que l’autre est montée sur un bracelet à soufflets en silicone combinant résistance et confort ; un concept inventé par Seiko en 1975 en réponse au problème d’expansion et de contraction en profondeur. Cette montre est dotée d’un calibre « maison » automatique « made in Japan » dotée d’une réserve de marche de 50 h. A partir de 899 euros.