Bien que très différentes les unes des autres, un point commun les réunis : leurs boîtiers réalisés en acier brunis. La diversité des modèles et des techniques utilisées préfigure l’histoire de la montre bracelet !
Durant plus de vingt ans, un collectionneur passionné rassembla l’essentiel de cette collection, complétée par François Paul Journe. Aujourd’hui, Montre Journe SA est la gardienne privilégiée de ce patrimoine qu’elle décide de partager avec le public à travers cet évènement et un ouvrage intitulé : « Montres en acier – naissance d’une industrie ».
Il a été réalisé par deux experts, Messieurs Jean Claude Sabrier et Georges Rigot. Plus de 300 pages de récits passionnants décrivant la genèse de ces créations, expliquant leurs origines et remontant parfois jusqu’au 17ème siècle. On a rarement observé une horlogerie de qualité aussi ludique dans la montre précieuse.
Une préface de François Paul Journe présente l’unique montre bracelet de sa collection F.P.Journe –Invenit et fecit-, la « Sonnerie Souveraine » dont le boîtier réalisé en acier permet une sonorité très cristalline.
En effet, la marque utilise exclusivement du platine et de l’or pour ces boîtiers et de l’or rouge 18ct pour la base de tous les calibres de la maison. Exception avec cette pièce, qui se trouve être la plus rare et la plus chère de la collection.
Durant plus de vingt ans, un collectionneur passionné rassembla l’essentiel de cette collection, complétée par François Paul Journe. Aujourd’hui, Montre Journe SA est la gardienne privilégiée de ce patrimoine qu’elle décide de partager avec le public à travers cet évènement et un ouvrage intitulé : « Montres en acier – naissance d’une industrie ».
Il a été réalisé par deux experts, Messieurs Jean Claude Sabrier et Georges Rigot. Plus de 300 pages de récits passionnants décrivant la genèse de ces créations, expliquant leurs origines et remontant parfois jusqu’au 17ème siècle. On a rarement observé une horlogerie de qualité aussi ludique dans la montre précieuse.
Une préface de François Paul Journe présente l’unique montre bracelet de sa collection F.P.Journe –Invenit et fecit-, la « Sonnerie Souveraine » dont le boîtier réalisé en acier permet une sonorité très cristalline.
En effet, la marque utilise exclusivement du platine et de l’or pour ces boîtiers et de l’or rouge 18ct pour la base de tous les calibres de la maison. Exception avec cette pièce, qui se trouve être la plus rare et la plus chère de la collection.
Un lieu qui rappelle que la mesure du temps fut d’abord une science…
C’est dans le nouvel espace d’exposition de la manufacture inauguré en avril dernier et situé à l’entrée du bâtiment que cette collection surprenante est présentée.
Après avoir gravis les quelques marches, le visiteur ne pourra que lever les yeux pour découvrir un plafond enrichi de reproductions des premières cartes d’Apianus, astronome de Charle-Quint. Rappelant que la mesure du temps commença avec l’observation des astres.
Au centre de l’espace, une pendule astronomique de trois mètres (photo ci-contre) produite en 1855 par les ateliers de la maison Detouche à Paris trône en gardienne absolue et confirme l’âge d’or de l’horlogerie.
Plus loin, un planétaire ayant appartenu au dauphin de Louis XIV est entouré des vitrines très contemporaines de la maison. Quelques établis d’horlogers et machines et outils de l’époque, semblent attendrent que les grands maîtres du passé, reprennent leurs ouvrages !
Une atmosphère bien loin de l’industrie horlogère et de la production d’accessoires de luxe mais de celle des grands hommes du passé qui ont permis la navigation sur les mers, et l’organisation sur terre avec la création d’instruments de mesure adéquats.
Une visite qui devrait laisser quelques réflexions sur l’histoire de la mesure du temps et son devenir pour comprendre peut-être un peu mieux la démarche d’un horloger contemporain comme François Paul Journe qui continue à innover dans une science du passé !
Après avoir gravis les quelques marches, le visiteur ne pourra que lever les yeux pour découvrir un plafond enrichi de reproductions des premières cartes d’Apianus, astronome de Charle-Quint. Rappelant que la mesure du temps commença avec l’observation des astres.
Au centre de l’espace, une pendule astronomique de trois mètres (photo ci-contre) produite en 1855 par les ateliers de la maison Detouche à Paris trône en gardienne absolue et confirme l’âge d’or de l’horlogerie.
Plus loin, un planétaire ayant appartenu au dauphin de Louis XIV est entouré des vitrines très contemporaines de la maison. Quelques établis d’horlogers et machines et outils de l’époque, semblent attendrent que les grands maîtres du passé, reprennent leurs ouvrages !
Une atmosphère bien loin de l’industrie horlogère et de la production d’accessoires de luxe mais de celle des grands hommes du passé qui ont permis la navigation sur les mers, et l’organisation sur terre avec la création d’instruments de mesure adéquats.
Une visite qui devrait laisser quelques réflexions sur l’histoire de la mesure du temps et son devenir pour comprendre peut-être un peu mieux la démarche d’un horloger contemporain comme François Paul Journe qui continue à innover dans une science du passé !
Steel Time – édité par Montres Journe SA
La version française est éditée par les éditions Georges Naef/Editions de l’amateur – disponible chez Payot et librairies autorisées ainsi que le Centre de documentation de l’horlogerie de Genève
L’ouvrage est en vente également sur le lieu d’exposition au prix de CHF100
L’ouvrage est en vente également sur le lieu d’exposition au prix de CHF100