Pas toujours simple de réinterpréter un modèle vintage… Pourtant, incontestablement, Tudor a réussi son coup puisqu’en plus d’être un véritable succès commercial, son modèle de montre de plongée Black Bay Heritage a remporté le Prix « Revival » alors que la marque participait pour la première fois de son histoire Grand Prix d’Horlogerie de Genève.
Rappelons que le prix Revival, catégorie introduite dans le règlement de la compétition pour la première fois en 2013, récompense « la meilleure montre, présentée dans une des dix catégories ou élue par le jury, qui propose une réédition ou réinterprétation contemporaine d’un modèle ancien emblématique ». Ce prix est le troisième à honorer la Tudor Heritage Black Bay depuis sa présentation officielle en 2012. Elle a en effet déjà été récompensée précédemment à Londres et Singapour.
Cette Tudor est un modèle emblématique de la collection Heritage, qui véhicule à la fois, l’ADN de Tudor et sa nouvelle identité stylistique. Plus précisément, « cette gamme se caractérise par un processus créatif unique et pionnier de réinterprétation de l’héritage de la marque » souligne le communiqué de Tudor. Et de préciser : « véritable symbiose entre passé et présent, la Tudor Heritage Black Bay n’est pas une réédition d’un modèle historique mais bien la synthèse stylistique de près de soixante années de montres de plongée emblématiques injectée dans un garde-temps à la conception moderne et aux performances élevées ».
Cette « plongeuse » a ainsi emprunté ses lignes générales, l’esprit de son cadran et sa glace bombée à la première montre de plongée de la marque, la Tudor Submariner de 1954. Sa lunette tournante unidirectionnelle de couleur bordeaux fait directement écho à des modèles observés notamment dans les années 70. Ses aiguilles caractéristiques, aussi connues par les collectionneurs sous le nom de « snowflakes » (flocons de neige), étaient quant-à-elles proposées par Tudor à partir de 1969 et jusqu’au début des années 80.
Ces références multiples à l’héritage esthétique de la marque, associées à un choix de couleurs ne laissant rien au hasard, ainsi qu’à des éléments de design contemporains tels que son boitier de 41mm ou ses deux bracelets interchangeables, font de cette pièce une belle réussite esthétique, technique et commerciale et incarne par ailleurs l’avenir de la marque…
Enregistrée dès 1926, puis officiellement lancée en 1946 –date de création de la société Montres Tudor SA –, Tudor est positionnée dans un segment de prix dit premium, soit entre 2.000 et 6.000 francs suisse (env. 1.600/5.000 euros). Depuis 2010 et la présentation de son premier modèle Heritage Chrono, Tudor connait un nouvel élan qui se traduit par une présence renforcée en Asie, notamment par le biais de boutiques monomarques et en Europe ainsi que par un récent réinvestissement à grande échelle du marché nord-américain.
Rappelons que le prix Revival, catégorie introduite dans le règlement de la compétition pour la première fois en 2013, récompense « la meilleure montre, présentée dans une des dix catégories ou élue par le jury, qui propose une réédition ou réinterprétation contemporaine d’un modèle ancien emblématique ». Ce prix est le troisième à honorer la Tudor Heritage Black Bay depuis sa présentation officielle en 2012. Elle a en effet déjà été récompensée précédemment à Londres et Singapour.
Cette Tudor est un modèle emblématique de la collection Heritage, qui véhicule à la fois, l’ADN de Tudor et sa nouvelle identité stylistique. Plus précisément, « cette gamme se caractérise par un processus créatif unique et pionnier de réinterprétation de l’héritage de la marque » souligne le communiqué de Tudor. Et de préciser : « véritable symbiose entre passé et présent, la Tudor Heritage Black Bay n’est pas une réédition d’un modèle historique mais bien la synthèse stylistique de près de soixante années de montres de plongée emblématiques injectée dans un garde-temps à la conception moderne et aux performances élevées ».
Cette « plongeuse » a ainsi emprunté ses lignes générales, l’esprit de son cadran et sa glace bombée à la première montre de plongée de la marque, la Tudor Submariner de 1954. Sa lunette tournante unidirectionnelle de couleur bordeaux fait directement écho à des modèles observés notamment dans les années 70. Ses aiguilles caractéristiques, aussi connues par les collectionneurs sous le nom de « snowflakes » (flocons de neige), étaient quant-à-elles proposées par Tudor à partir de 1969 et jusqu’au début des années 80.
Ces références multiples à l’héritage esthétique de la marque, associées à un choix de couleurs ne laissant rien au hasard, ainsi qu’à des éléments de design contemporains tels que son boitier de 41mm ou ses deux bracelets interchangeables, font de cette pièce une belle réussite esthétique, technique et commerciale et incarne par ailleurs l’avenir de la marque…
Enregistrée dès 1926, puis officiellement lancée en 1946 –date de création de la société Montres Tudor SA –, Tudor est positionnée dans un segment de prix dit premium, soit entre 2.000 et 6.000 francs suisse (env. 1.600/5.000 euros). Depuis 2010 et la présentation de son premier modèle Heritage Chrono, Tudor connait un nouvel élan qui se traduit par une présence renforcée en Asie, notamment par le biais de boutiques monomarques et en Europe ainsi que par un récent réinvestissement à grande échelle du marché nord-américain.