Le défi est conséquent, et le relever implique un duel effréné avec le temps, dont Tudor est désormais le gardien au sein du Championnat du Monde d'Endurance FIA (en anglais FIA World Endurance Championship), né de l'association de Jean Claude Plassart, ancien Président de l'Automobile Club de l'Ouest (ACO) et de Jean Todt, Président de la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA).
Un partenariat qui célèbre avec éclat le renouveau d'une discipline parmi les plus exigeantes et palpitantes dans l'univers des sports mécaniques. Dans une même tentative de capturer la fugue du temps, la maison horlogère et le pilote se font ainsi mutuellement écho, valorisant tour à tour tant la beauté du style que la complexité de la technique.
Un partenariat qui célèbre avec éclat le renouveau d'une discipline parmi les plus exigeantes et palpitantes dans l'univers des sports mécaniques. Dans une même tentative de capturer la fugue du temps, la maison horlogère et le pilote se font ainsi mutuellement écho, valorisant tour à tour tant la beauté du style que la complexité de la technique.
C'est de ce lien naturel qu'est née une collaboration entre deux mondes unissant avec maestria l'incessante poursuite du progrès et la perpétuation d'une fière tradition de savoir-faire et d'authenticité.
Les aiguilles facettées de la Tudor Chrono Fly-Back, développée pour les passionnés des sports automobiles, indiquent 14h30. Un ultime regard des équipes sur leur travail, résultat d'années de recherche, d'essais et d'analyses avant de présenter le fruit d'une vision née de la passion pour l'innovation.
Aussitôt, les moteurs entament leur rhapsodie de vrombissements, et le départ est donné. Le chronomètre est en marche et ne s'arrêtera que lorsque se seront écoulées six longues heures de conduite intense durant lesquelles le représentant du plus parfait mélange de technologie, d'expérience et de talent aura su mener son équipe à la victoire. Une philosophie en parfaite adéquation avec les valeurs de précision, de fiabilité et de performance que défend Tudor.
Julien Canal, vainqueur du trophée FIA WEC 2012 dans la catégorie LMGTE Am aux côtés de ses coéquipiers Patrick Bornhauser et Pedro Lamy, livre les clés du succès : « Pour réussir, il ne faut jamais oublier que l'on travaille en équipe et donner le meilleur de soi-même à chaque instant. Les concurrents deviennent de plus en plus compétitifs et le plateau des pilotes ainsi que leur niveau de conduite augmente à mesure que les techniques de pointe évoluent. Il faut donc constamment se renouveler tout en sachant préserver ses particularités ».
Les aiguilles facettées de la Tudor Chrono Fly-Back, développée pour les passionnés des sports automobiles, indiquent 14h30. Un ultime regard des équipes sur leur travail, résultat d'années de recherche, d'essais et d'analyses avant de présenter le fruit d'une vision née de la passion pour l'innovation.
Aussitôt, les moteurs entament leur rhapsodie de vrombissements, et le départ est donné. Le chronomètre est en marche et ne s'arrêtera que lorsque se seront écoulées six longues heures de conduite intense durant lesquelles le représentant du plus parfait mélange de technologie, d'expérience et de talent aura su mener son équipe à la victoire. Une philosophie en parfaite adéquation avec les valeurs de précision, de fiabilité et de performance que défend Tudor.
Julien Canal, vainqueur du trophée FIA WEC 2012 dans la catégorie LMGTE Am aux côtés de ses coéquipiers Patrick Bornhauser et Pedro Lamy, livre les clés du succès : « Pour réussir, il ne faut jamais oublier que l'on travaille en équipe et donner le meilleur de soi-même à chaque instant. Les concurrents deviennent de plus en plus compétitifs et le plateau des pilotes ainsi que leur niveau de conduite augmente à mesure que les techniques de pointe évoluent. Il faut donc constamment se renouveler tout en sachant préserver ses particularités ».
Ingénieurs et mécaniciens se tiennent aux aguets, les yeux rivés sur leurs écrans de contrôle, prêts à réagir au moindre signe d'inconstance sur la piste. Alexandre Roberge, ingénieur pour Chevrolet Corvette, souligne les nombreux enjeux impliqués dans un championnat tel que le FIA WEC : « La recherche incessante d'une supériorité technique, l'élaboration de matériaux toujours plus complexes sans oublier l'amélioration du confort et un soin du détail toujours plus poussé forcent une remise en question permanente des acquis. La moindre inattention peut coûter une victoire ».
Un renouvellement indispensable pour assurer une évolution habile et pérenne des compétences propres aux artisans de précision. De l'esquisse du dessin technique à la mise en marche de la mécanique, l'ambition de l'ingénieur automobile comme du maître horloger tient en une seule devise : la quête de la perfection, en toute chose et en tout temps.
Etape incontournable de toute saison d'endurance, le circuit de Spa-Francorchamps, situé dans la région des Ardennes en Belgique, est l'un des parcours les plus emblématiques du calendrier des coureurs d'endurance. Avec ses 7.004m d'asphalte, façonné de telle manière qu'il constitue l'un des tracés les plus difficiles à aborder pour un pilote, aussi confirmé soit-il, tous les talents sont égaux devant le Titan de Spa-Francorchamps. Seule l'expérience fait la différence. Dynamique et provocateur, son dessin met en exergue la dextérité et la réactivité des concurrents, avec ses multiples chicanes et obstacles, dont le mythique Raidillon-Eau Rouge construit en 1939, pensé pour être négocié à une vitesse très élevée, mettant ainsi les compétences des compétiteurs à rude épreuve. Construit en 1921, Spa-Francorchamps constituait, à l'époque déjà, un défi important compte tenu du relief accidenté sur lequel il fut aménagé. C'est également sur les nombreuses portions rectilignes, propices à la réalisation de pics de vitesse, que les pilotes montrent tout le talent dont ils savent faire preuve, tenant en haleine des milliers de spectateurs pendant les 6 heures que dure la course, et ce depuis plus de quatre-vingt ans.
Un renouvellement indispensable pour assurer une évolution habile et pérenne des compétences propres aux artisans de précision. De l'esquisse du dessin technique à la mise en marche de la mécanique, l'ambition de l'ingénieur automobile comme du maître horloger tient en une seule devise : la quête de la perfection, en toute chose et en tout temps.
Etape incontournable de toute saison d'endurance, le circuit de Spa-Francorchamps, situé dans la région des Ardennes en Belgique, est l'un des parcours les plus emblématiques du calendrier des coureurs d'endurance. Avec ses 7.004m d'asphalte, façonné de telle manière qu'il constitue l'un des tracés les plus difficiles à aborder pour un pilote, aussi confirmé soit-il, tous les talents sont égaux devant le Titan de Spa-Francorchamps. Seule l'expérience fait la différence. Dynamique et provocateur, son dessin met en exergue la dextérité et la réactivité des concurrents, avec ses multiples chicanes et obstacles, dont le mythique Raidillon-Eau Rouge construit en 1939, pensé pour être négocié à une vitesse très élevée, mettant ainsi les compétences des compétiteurs à rude épreuve. Construit en 1921, Spa-Francorchamps constituait, à l'époque déjà, un défi important compte tenu du relief accidenté sur lequel il fut aménagé. C'est également sur les nombreuses portions rectilignes, propices à la réalisation de pics de vitesse, que les pilotes montrent tout le talent dont ils savent faire preuve, tenant en haleine des milliers de spectateurs pendant les 6 heures que dure la course, et ce depuis plus de quatre-vingt ans.
Le triangle d'or Francorchamps-Malmédy-Stavelot version 2013, c'est un total de 20 écuries, 35 voitures, 105 pilotes et 27 pays, tous fédérés par le seul désir de franchir les premiers la ligne d'arrivée de ce circuit tant convoité.
Malgré l'implacable difficulté de son tracé jalonné de virages sans visibilité, connu pour être plus souvent qu'à son tour la proie des changements climatiques inopinés et de conséquentes variations de température, rares sont ceux qui n'abordent pas ce rendez-vous avec émotion, impatients de retrouver les singulières courbes du grand défi des Ardennes.
Le charme de l'endurance opère depuis 1905 et les 35 000 fervents spectateurs rassemblés pour la course du samedi 4 mai n'ont pas manqué, par leur présence, de rappeler à la mémoire des organisateurs du championnat leur profond attachement à l'étape historique qu'est Francorchamps.
L'enthousiasme général pour la discipline de l'endurance ressenti à Spa-Francorchamps dès la première saison du FIA WEC en 2012 n'a pas échappé à Pierre Fillon. Convaincu du bien-fondé d'un univers automobile en perpétuel mouvement, le Président de l'ACO place ses exigences à la hauteur des attentes du public : « Un championnat réussi est une compétition qui sait allier un beau calendrier, mais également une grille de concurrents représentative de ce qui a fait la renommée de courses telles que les 24 Heures du Mans, et qui comporte aussi bien des constructeurs que des équipes privées, des prototypes et des GT, des pilotes professionnels et des gentlemen drivers ».
Le FIA WEC se donne ainsi les moyens de ses vastes ambitions en scellant un partenariat avec l’horloger Tudor (de plus en plus impliqué dans les sports mécaniques), dont les forces et les valeurs incarnent le point d'ancrage de l'endurance moderne selon Pierre Fillon: « Notre souhait est de faire de ce championnat un événement encourageant le développement de la recherche, de la technique de pointe et des nouvelles technologies que nous retrouverons dans les voitures de demain. Pour parvenir à ce degré de qualité, de nombreux projets ont été échafaudés, notamment l'introduction de nouveaux circuits dans le calendrier, l'intégration de nouvelles sources d'énergie et la mise en place, dès l'an prochain, d'un règlement qui révolutionnera véritablement le sport automobile, en cela qu'il sera entièrement orienté vers les nouvelles technologies ».
A l'issue d'une course semée d'embûches, ponctuée de nombreuses sorties de pistes et d'accrocs sans gravité, le moment fatidique du classement approche. Il est 20h30, les jeux sont faits. Sur le podium, le Suisse Marcel Fässler, l'Allemand André Lotterer et le Français Benoît Tréluyer célèbrent avec leurs coéquipiers un triplé Audi réalisé avec la désormais incontournable hybride R18 e-tron quattro. Déjà sacré vainqueur du Championnat du Monde d'Endurance en 2012, le trio amorce une entrée en matière percutante dans la deuxième manche de la saison 2013 et place son équipe comme grande favorite du prochain challenge, dont la réputation précède incontestablement le nom : l'inimitable et fatidique épreuve des 24 Heures du Mans.
Bertrand Baguette, seul pilote belge en lice aux 6 Heures de Spa-Francorchamps WEC, n'aura pour sa part certes pas eu le bénéfice d'être prophète en son pays, terminant quatrième au classement de la catégorie LMP2, mais l'espoir de la victoire demeure, car nul ne peut prédire ce que réserve à ses hôtes l'imprévisible circuit de la Sarthe. La cinquième manche du championnat, tenue à Austin le 22 septembre prochain, sera le cadre d'une immersion exclusive dans les coulisses de ce rendez-vous inédit, qui explorera le monde de TUDOR et de l'endurance à travers des perspectives uniques et originales. Le rutilant tracé de 5,51 km des 6 Heures du Circuit des Amériques, qui accueillera le FIA WEC pour la première fois, marquera ainsi le début de la nouvelle conquête américaine.
Malgré l'implacable difficulté de son tracé jalonné de virages sans visibilité, connu pour être plus souvent qu'à son tour la proie des changements climatiques inopinés et de conséquentes variations de température, rares sont ceux qui n'abordent pas ce rendez-vous avec émotion, impatients de retrouver les singulières courbes du grand défi des Ardennes.
Le charme de l'endurance opère depuis 1905 et les 35 000 fervents spectateurs rassemblés pour la course du samedi 4 mai n'ont pas manqué, par leur présence, de rappeler à la mémoire des organisateurs du championnat leur profond attachement à l'étape historique qu'est Francorchamps.
L'enthousiasme général pour la discipline de l'endurance ressenti à Spa-Francorchamps dès la première saison du FIA WEC en 2012 n'a pas échappé à Pierre Fillon. Convaincu du bien-fondé d'un univers automobile en perpétuel mouvement, le Président de l'ACO place ses exigences à la hauteur des attentes du public : « Un championnat réussi est une compétition qui sait allier un beau calendrier, mais également une grille de concurrents représentative de ce qui a fait la renommée de courses telles que les 24 Heures du Mans, et qui comporte aussi bien des constructeurs que des équipes privées, des prototypes et des GT, des pilotes professionnels et des gentlemen drivers ».
Le FIA WEC se donne ainsi les moyens de ses vastes ambitions en scellant un partenariat avec l’horloger Tudor (de plus en plus impliqué dans les sports mécaniques), dont les forces et les valeurs incarnent le point d'ancrage de l'endurance moderne selon Pierre Fillon: « Notre souhait est de faire de ce championnat un événement encourageant le développement de la recherche, de la technique de pointe et des nouvelles technologies que nous retrouverons dans les voitures de demain. Pour parvenir à ce degré de qualité, de nombreux projets ont été échafaudés, notamment l'introduction de nouveaux circuits dans le calendrier, l'intégration de nouvelles sources d'énergie et la mise en place, dès l'an prochain, d'un règlement qui révolutionnera véritablement le sport automobile, en cela qu'il sera entièrement orienté vers les nouvelles technologies ».
A l'issue d'une course semée d'embûches, ponctuée de nombreuses sorties de pistes et d'accrocs sans gravité, le moment fatidique du classement approche. Il est 20h30, les jeux sont faits. Sur le podium, le Suisse Marcel Fässler, l'Allemand André Lotterer et le Français Benoît Tréluyer célèbrent avec leurs coéquipiers un triplé Audi réalisé avec la désormais incontournable hybride R18 e-tron quattro. Déjà sacré vainqueur du Championnat du Monde d'Endurance en 2012, le trio amorce une entrée en matière percutante dans la deuxième manche de la saison 2013 et place son équipe comme grande favorite du prochain challenge, dont la réputation précède incontestablement le nom : l'inimitable et fatidique épreuve des 24 Heures du Mans.
Bertrand Baguette, seul pilote belge en lice aux 6 Heures de Spa-Francorchamps WEC, n'aura pour sa part certes pas eu le bénéfice d'être prophète en son pays, terminant quatrième au classement de la catégorie LMP2, mais l'espoir de la victoire demeure, car nul ne peut prédire ce que réserve à ses hôtes l'imprévisible circuit de la Sarthe. La cinquième manche du championnat, tenue à Austin le 22 septembre prochain, sera le cadre d'une immersion exclusive dans les coulisses de ce rendez-vous inédit, qui explorera le monde de TUDOR et de l'endurance à travers des perspectives uniques et originales. Le rutilant tracé de 5,51 km des 6 Heures du Circuit des Amériques, qui accueillera le FIA WEC pour la première fois, marquera ainsi le début de la nouvelle conquête américaine.