On se souvient du terrible tremblement de terre et du raz-de-marée qui a ravagé le 11 mars 2011 la région de Fukushima au Japon, faisant plus de 18.000 morts et des centaines de milliers de blessés et de sans-abris.
Comme le montrèrent les images de l’époque, la vague gigantesque et meurtrière emporta tout sur son passage, détruisant en quelques secondes maisons, usines, temples, fermes, immeubles, hôtels,… Sans oublier l’accident nucléaire qui s’ensuivit.
Le tsunami rasa une bonne partie de la zone côtière de la préfecture Miyagi, sur la côte nord-est du Japon. Et parmi les innombrables destructions, un temple de Fumonji qui se trouvait sur le passage de la vague et qui fut submergé par les flots… Seuls ses piliers restèrent debout.
Après la catastrophe, le prêtre en charge de ce temple, récupéra dans les débris, la vieille horloge murale Seikosha (Seiko), peu abimée mais ne fonctionnant plus, indique un récent article du quotidien japonais Mainichi Shimbun.
Il essaya en vain de la faire repartir, de la réparer, de la remonter, de lui redonner vie… Sans succès ! La « vieille dame » de 80 cm de diamètre, mécanique, refusa de reprendre du service. Aucun tic-tac pendant dix ans. Il la replaça donc sur son mur, en souvenir du temps d’avant. Pour la décoration.
On le sait, au Japon, les tremblements de terre sont monnaie courante. Le pays est secoué de nombreuses fois par an. Avec plus ou moins de force, de violence. Dernièrement, le 13 février 2021, un autre tremblement de terre de magnitude 6 a touché la région de Miyagi.
Et là, miracle ! L’horloge Seiko est repartie toute seule. C’est en passant dans le hall du temple, le lendemain du séisme, que le prêtre a entendu à sa grande surprise, le tic-tac oublié et vu les deux grandes aiguilles noires reprendre leur course du temps.
Deux mois plus tard, l’horloge tourne toujours. Arrêtée par un tsunami, elle est donc repartie grâce à un tremblement de terre !
Comme le montrèrent les images de l’époque, la vague gigantesque et meurtrière emporta tout sur son passage, détruisant en quelques secondes maisons, usines, temples, fermes, immeubles, hôtels,… Sans oublier l’accident nucléaire qui s’ensuivit.
Le tsunami rasa une bonne partie de la zone côtière de la préfecture Miyagi, sur la côte nord-est du Japon. Et parmi les innombrables destructions, un temple de Fumonji qui se trouvait sur le passage de la vague et qui fut submergé par les flots… Seuls ses piliers restèrent debout.
Après la catastrophe, le prêtre en charge de ce temple, récupéra dans les débris, la vieille horloge murale Seikosha (Seiko), peu abimée mais ne fonctionnant plus, indique un récent article du quotidien japonais Mainichi Shimbun.
Il essaya en vain de la faire repartir, de la réparer, de la remonter, de lui redonner vie… Sans succès ! La « vieille dame » de 80 cm de diamètre, mécanique, refusa de reprendre du service. Aucun tic-tac pendant dix ans. Il la replaça donc sur son mur, en souvenir du temps d’avant. Pour la décoration.
On le sait, au Japon, les tremblements de terre sont monnaie courante. Le pays est secoué de nombreuses fois par an. Avec plus ou moins de force, de violence. Dernièrement, le 13 février 2021, un autre tremblement de terre de magnitude 6 a touché la région de Miyagi.
Et là, miracle ! L’horloge Seiko est repartie toute seule. C’est en passant dans le hall du temple, le lendemain du séisme, que le prêtre a entendu à sa grande surprise, le tic-tac oublié et vu les deux grandes aiguilles noires reprendre leur course du temps.
Deux mois plus tard, l’horloge tourne toujours. Arrêtée par un tsunami, elle est donc repartie grâce à un tremblement de terre !
