Depuis plus de deux cent cinquante ans, la prestigieuse manufacture horlogère genevoise Vacheron Constantin (groupe Richemont) se nourrit d’une philosophie dédiée à la mise en lumière du patrimoine culturel.
Et c’est toujours un juste retour des choses lorsque le monde du luxe donne la possibilité à des artisans d’exercer leur métier, évitant parfois, qu’ils ne disparaissent tout à fait. Et à jamais.
C’est dans cet esprit que les Métiers d’Art de la manufacture relient les époques en perpétuant des artisanats parfois oubliés et issus de temps lointains.
« Plus précisément, les garde-temps de la collection Métiers d’Art se situent au croisement du passé, du présent et du futur et cristallisent les défis humains qui ont forgé et continuent à nourrir les savoir-faire de génération en génération » souligne la marque dans son communiqué.
Et c’est toujours un juste retour des choses lorsque le monde du luxe donne la possibilité à des artisans d’exercer leur métier, évitant parfois, qu’ils ne disparaissent tout à fait. Et à jamais.
C’est dans cet esprit que les Métiers d’Art de la manufacture relient les époques en perpétuant des artisanats parfois oubliés et issus de temps lointains.
« Plus précisément, les garde-temps de la collection Métiers d’Art se situent au croisement du passé, du présent et du futur et cristallisent les défis humains qui ont forgé et continuent à nourrir les savoir-faire de génération en génération » souligne la marque dans son communiqué.
La peinture, la gravure, la sculpture et les arts décoratifs en général sont autant d’univers où l’homme, son talent et sa personnalité tissent un lien étroit avec le temps.
La collection Vacheron Constantin Métiers d’Art s’annonce donc comme « l’ambassadrice du profond attachement de la manufacture à la culture ».
Les garde-temps « Métiers d’Art - Les Masques » lancés en partenariat avec le Musée Barbier-Mueller ainsi que les séries « Métiers d’Art – Chagall & l’Opéra de Paris » et « Métiers d’Art – La Symbolique des Laques » apportent leur propre pierre à l’édifice d’un temps qui ne saurait rayonner sans la main de l’homme.
Nouvelle illustration de cette alchimie, la série « Métiers d’Art – Les Univers Infinis » (présentée au SIHH 2012) est née, elle aussi, de la volonté de rendre hommage à la créativité et offre à la Haute Horlogerie un nouveau visage : « graphique et contemporain, né du mariage des mathématiques et de l’esthétique ».
La collection Vacheron Constantin Métiers d’Art s’annonce donc comme « l’ambassadrice du profond attachement de la manufacture à la culture ».
Les garde-temps « Métiers d’Art - Les Masques » lancés en partenariat avec le Musée Barbier-Mueller ainsi que les séries « Métiers d’Art – Chagall & l’Opéra de Paris » et « Métiers d’Art – La Symbolique des Laques » apportent leur propre pierre à l’édifice d’un temps qui ne saurait rayonner sans la main de l’homme.
Nouvelle illustration de cette alchimie, la série « Métiers d’Art – Les Univers Infinis » (présentée au SIHH 2012) est née, elle aussi, de la volonté de rendre hommage à la créativité et offre à la Haute Horlogerie un nouveau visage : « graphique et contemporain, né du mariage des mathématiques et de l’esthétique ».
Le calibre 2460, mouvement mécanique à remontage automatique
Inspirée de la technique du pavage périodique -dit « tessellation »- et des travaux de l’artiste hollandais Maurits Cornelis Escher, cette collection réunit plusieurs Métiers d’Art de la manufacture : émaillage, sertissage, gravure et guillochage. Les cadrans s’approprient les notions de géométrie, de symbolique et de mouvement, suggérant ainsi une juxtaposition d’univers à l’infini.
Un travail minutieux a été effectué sur les nuances de couleurs afin qu’elles combinent harmonieusement leurs teintes pour permettre aux sujets de s’entrecroiser sans prendre le pas l’un sur l’autre. « Le rendu est exceptionnel et fait appel à l’émotion : les savoir-faire traditionnels d’habillage réinterprètent la technique de pavage sélectif dans un incroyable effet d’hypnose » remarque fort justement la marque.
Dans ces trois garde-temps bat le calibre 2460, mouvement mécanique à remontage automatique, estampillé du prestigieux Poinçon de Genève.
Entièrement développé et manufacturé par Vacheron Constantin, il présente, outre son extrême fiabilité, des finitions manuelles réalisées dans la plus pure tradition de Haute Horlogerie genevoise.
Angles polis et flancs étirés, platine perlée dans les règles de l’art, côtes de Genève sur les ponts et masse oscillante en or guillochée de l’élégant motif Vieux panier, le tout visible par le fond saphir du boîtier.
Un travail minutieux a été effectué sur les nuances de couleurs afin qu’elles combinent harmonieusement leurs teintes pour permettre aux sujets de s’entrecroiser sans prendre le pas l’un sur l’autre. « Le rendu est exceptionnel et fait appel à l’émotion : les savoir-faire traditionnels d’habillage réinterprètent la technique de pavage sélectif dans un incroyable effet d’hypnose » remarque fort justement la marque.
Dans ces trois garde-temps bat le calibre 2460, mouvement mécanique à remontage automatique, estampillé du prestigieux Poinçon de Genève.
Entièrement développé et manufacturé par Vacheron Constantin, il présente, outre son extrême fiabilité, des finitions manuelles réalisées dans la plus pure tradition de Haute Horlogerie genevoise.
Angles polis et flancs étirés, platine perlée dans les règles de l’art, côtes de Genève sur les ponts et masse oscillante en or guillochée de l’élégant motif Vieux panier, le tout visible par le fond saphir du boîtier.
Montre Colombe : gravure, émail champlevé, guillochage et sertissage
Inspirée d’un dessin d’Escher, le cadran de la montre Colombe met en scène une volée de colombes sublimées par des arts prestigieux de la Haute Horlogerie : gravure, émail Grand Feu, sertissage et guillochage s’imbriquent les uns aux autres comme autant de tessellations qui s’ingénient à former ensemble le plus beau des décors.
Taillé dans l’or gris, le boîtier de la montre est mis en valeur par une fine lunette permettant une ouverture maximale du cadran. Survolé par des aiguilles évidées, le boîtier accueille une œuvre d’art née entre les mains de quatre maîtres artisans de la manufacture.
Le graveur commence par dessiner le contour des colombes sur une base de cadran en or jaune, pour ensuite les champlever, c’est-à-dire graver le motif, avant que l’émailleur ne vienne remplir les cavités ainsi formées. Une opération minutieuse qui demande une infime précision tant la symétrie répétitive du dessin ne doit souffrir aucun défaut.
Puis vient le tour de l’émailleur. La gamme infinie de couleurs et de nuances provient des divers oxydes pouvant être associés à l’émail et de leur combinaison entre eux. C’est à l’artisan de créer et choisir la parfaite harmonie des teintes qui, figées par le feu, donnera ce violet éclatant. L’émailleur finit par poser un émail translucide sur les oiseaux violets. Il opte pour un émail opalescent pour leurs congénères blancs, de façon à laisser apparaître les motifs gravés avec un effet de profondeur saisissant.
Une fois l’émaillage réalisé, le sertisseur vient mettre en lumière une des colombes. Les diamants élus pour leur éclat et leur pureté soulignent la grâce de l’oiseau en plein vol, attirant l’œil vers sa lumière cristalline.
Enfin le guillocheur, maître du relief, entre en scène pour accentuer l’effet de profondeur du cadran. Il est très rare que le guillochage d’une pièce émaillée soit réalisé en dernière étape, en raison de son extrême difficulté. L’expert prendra le temps nécessaire pour inciser patiemment la matière, donnant littéralement vie aux colombes.
Taillé dans l’or gris, le boîtier de la montre est mis en valeur par une fine lunette permettant une ouverture maximale du cadran. Survolé par des aiguilles évidées, le boîtier accueille une œuvre d’art née entre les mains de quatre maîtres artisans de la manufacture.
Le graveur commence par dessiner le contour des colombes sur une base de cadran en or jaune, pour ensuite les champlever, c’est-à-dire graver le motif, avant que l’émailleur ne vienne remplir les cavités ainsi formées. Une opération minutieuse qui demande une infime précision tant la symétrie répétitive du dessin ne doit souffrir aucun défaut.
Puis vient le tour de l’émailleur. La gamme infinie de couleurs et de nuances provient des divers oxydes pouvant être associés à l’émail et de leur combinaison entre eux. C’est à l’artisan de créer et choisir la parfaite harmonie des teintes qui, figées par le feu, donnera ce violet éclatant. L’émailleur finit par poser un émail translucide sur les oiseaux violets. Il opte pour un émail opalescent pour leurs congénères blancs, de façon à laisser apparaître les motifs gravés avec un effet de profondeur saisissant.
Une fois l’émaillage réalisé, le sertisseur vient mettre en lumière une des colombes. Les diamants élus pour leur éclat et leur pureté soulignent la grâce de l’oiseau en plein vol, attirant l’œil vers sa lumière cristalline.
Enfin le guillocheur, maître du relief, entre en scène pour accentuer l’effet de profondeur du cadran. Il est très rare que le guillochage d’une pièce émaillée soit réalisé en dernière étape, en raison de son extrême difficulté. L’expert prendra le temps nécessaire pour inciser patiemment la matière, donnant littéralement vie aux colombes.
Montre Poisson : guillochage et émail cloisonné
De subtiles nuances de bleu et de gris, dans un camaïeu savamment maîtrisé, dessinent un banc de poissons s’embrassant les uns les autres. Née de l’union du guillochage et de l’émail cloisonné, cette montre « Métiers d’Art – Les Univers Infinis » s’inspire aussi d’une œuvre de Maurits Cornelis Escher.
La découpe est réalisée sur une base de cadran en or gris, les yeux des poissons soigneusement gravés. Le guillocheur forme des motifs symétriques d’un dixième de millimètre avec une extrême dextérité et une véritable sensibilité artistique. Des courbes parallèles soulignent la tête, la queue et les nageoires tandis que le corps des poissons se couvre d’écailles luisantes.
L’émailleur cerne alors le contour des motifs à l’aide d’un fil d’or fin pour former des alvéoles qui délimitent les différentes zones de couleurs, c’est ce qu’on appelle l’émail cloisonné.
L’émail est ensuite déposé dans chacune des cuvettes et cuit, opération que l’artisan répétera plusieurs fois afin d’intensifier la couleur. La dernière cuisson est suivie d’un lapidage - polissage destiné à mettre les fils des cloisons au même niveau que l’émail, et d’un glaçage – application d’une couche de vernis, qui donneront au cadran tout son éclat.
La découpe est réalisée sur une base de cadran en or gris, les yeux des poissons soigneusement gravés. Le guillocheur forme des motifs symétriques d’un dixième de millimètre avec une extrême dextérité et une véritable sensibilité artistique. Des courbes parallèles soulignent la tête, la queue et les nageoires tandis que le corps des poissons se couvre d’écailles luisantes.
L’émailleur cerne alors le contour des motifs à l’aide d’un fil d’or fin pour former des alvéoles qui délimitent les différentes zones de couleurs, c’est ce qu’on appelle l’émail cloisonné.
L’émail est ensuite déposé dans chacune des cuvettes et cuit, opération que l’artisan répétera plusieurs fois afin d’intensifier la couleur. La dernière cuisson est suivie d’un lapidage - polissage destiné à mettre les fils des cloisons au même niveau que l’émail, et d’un glaçage – application d’une couche de vernis, qui donneront au cadran tout son éclat.
Montre Coquillage : gravure et émail champlevé
Coquillages et étoiles de mer forment un parterre marin ocre et lumineux, survolé par des aiguilles squelettes légères et élancées. Enchevêtrés les uns dans les autres, les coquillages et les étoiles de mer dessinent une ronde fascinante qui, selon la lumière, met en exergue les détails de leur anatomie.
Réalisé d’après les techniques de la gravure et de l’émail champlevé, le cadran de cette montre « Métiers d’Art – Les Univers Infinis » s’inspire de l’œuvre de l’artiste Maurits Cornelis Escher.
Dans un premier temps, le graveur trace sur le cadran le dessin des coquillages à l’aide d’une pointe sèche puis évide les champs, tout en protégeant les contours afin de créer une gravure en relief, c’est la technique du champlevé.
Puis vient le tour de l’émailleur qui dépose les émaux dans les anfractuosités avant d’être passés au four à une température située entre 800 et 850°C.
Plusieurs feux sont nécessaires à la réalisation d’un tel travail qui sera parfait par un lapidage – polissage, et un glaçage - vernissage. Le graveur apporte la touche finale en gravant la surface des étoiles de mer. La technique d’émail champlevé requiert de la part des deux artisans une véritable complicité créative qui influera sur le résultat final, la moindre discordance risquant de mettre en péril l’ouvrage.
Réalisé d’après les techniques de la gravure et de l’émail champlevé, le cadran de cette montre « Métiers d’Art – Les Univers Infinis » s’inspire de l’œuvre de l’artiste Maurits Cornelis Escher.
Dans un premier temps, le graveur trace sur le cadran le dessin des coquillages à l’aide d’une pointe sèche puis évide les champs, tout en protégeant les contours afin de créer une gravure en relief, c’est la technique du champlevé.
Puis vient le tour de l’émailleur qui dépose les émaux dans les anfractuosités avant d’être passés au four à une température située entre 800 et 850°C.
Plusieurs feux sont nécessaires à la réalisation d’un tel travail qui sera parfait par un lapidage – polissage, et un glaçage - vernissage. Le graveur apporte la touche finale en gravant la surface des étoiles de mer. La technique d’émail champlevé requiert de la part des deux artisans une véritable complicité créative qui influera sur le résultat final, la moindre discordance risquant de mettre en péril l’ouvrage.
Art de la tessellation : la maîtrise de l’espace
Née aux confins de l’Antiquité, l’art de la tessellation – ou pavage – jalonne les civilisations et les cultures orientales. Issus du mot latin tessela signifiant pavé ou tuile, les tessellations sont de petits carreaux s’emboîtant les uns aux autres pour former un décor qui emplit tout un espace, sans laisser de vide. Ce sont les Maures qui ont, sans aucun doute, donné à cette technique ses lettres de noblesse de l’an 700 à 1500, la religion islamique leur interdisant la représentation d’êtres vivants et de tout objet réel. Au fil du temps, ces décors sont apparus sur les objets de poterie, les tapisseries, les tapis, les sculptures en bois et en verre teinté, parmi tant d’autres supports.
L’art de la tessellation intéresse également les mathématiciens qui reconnaissent en celui-ci une expression artistique de leur science et de sa logique. Archimède en fait partie : le célèbre scientifique grec du 1er siècle avant J.-C. a étudié le pavage géométrique, de même que l’astronome Johannes Kleper qui, en 1619, a présenté dans son ouvrage Harmonice Mundi un certain nombre de tessellations polygonales. L’un des plus célèbres artistes contemporains de cet art est Maurits Cornelis Escher. Son travail a mis en lumière et en forme des concepts mathématiques abstraits.
L’art de la tessellation intéresse également les mathématiciens qui reconnaissent en celui-ci une expression artistique de leur science et de sa logique. Archimède en fait partie : le célèbre scientifique grec du 1er siècle avant J.-C. a étudié le pavage géométrique, de même que l’astronome Johannes Kleper qui, en 1619, a présenté dans son ouvrage Harmonice Mundi un certain nombre de tessellations polygonales. L’un des plus célèbres artistes contemporains de cet art est Maurits Cornelis Escher. Son travail a mis en lumière et en forme des concepts mathématiques abstraits.
Maurits Cornelis Escher : la géométrie artistique
Dessinateur graveur hollandais (1898-1972), Maurits Cornelis Escher a érigé son œuvre sur un jeu subtil avec l’architecture, la perspective et les notions d’espace. Associant perfection d’exécution et imagination, il est passé maître dans l’art de se jouer des sens visuels et de la raison, d’inventer de nouvelles représentations spatiales et des mondes qui n’existent que sur des surfaces planes.
De ses voyages en Espagne, il revient avec la passion de la technique du pavage dont il a vu des exemples remarquables dans les carrelages mauresques de l'Alhambra de Grenade et de la Mosquée de Cordoue. Les mosaïques et leur symétrie montrent comment une surface peut être divisée et remplie par des figures de formes similaires, contiguës les unes aux autres, sans laisser d'espaces vides.
C'est ainsi que Maurits Cornelis Escher décline, décrit et classe de façon exhaustive les différentes façons de juxtaposer les motifs. Ce travail empirique a fait l'admiration et le bonheur des scientifiques cristallographes et physiciens. Dotée d’une importante composante mathématique, son œuvre se place à la frontière de l’art et de la science. La possibilité de remplacer les formes géométriques abstraites des motifs par des dessins figuratifs deviendra pour l’artiste une véritable passion et une source d’inspiration infinie.
De ses voyages en Espagne, il revient avec la passion de la technique du pavage dont il a vu des exemples remarquables dans les carrelages mauresques de l'Alhambra de Grenade et de la Mosquée de Cordoue. Les mosaïques et leur symétrie montrent comment une surface peut être divisée et remplie par des figures de formes similaires, contiguës les unes aux autres, sans laisser d'espaces vides.
C'est ainsi que Maurits Cornelis Escher décline, décrit et classe de façon exhaustive les différentes façons de juxtaposer les motifs. Ce travail empirique a fait l'admiration et le bonheur des scientifiques cristallographes et physiciens. Dotée d’une importante composante mathématique, son œuvre se place à la frontière de l’art et de la science. La possibilité de remplacer les formes géométriques abstraites des motifs par des dessins figuratifs deviendra pour l’artiste une véritable passion et une source d’inspiration infinie.
Spécifités de la collection Métiers d'Arts "Univers Infinis" Vacheron Constantin
Calibre 2460 SC, développé et manufacture par Vacheron Constantin, estampillé du Poinçon de Genève
Mécanique à remontage automatique
Diamètre du mouvement 26.20 mm (11 lignes ¼ )
Epaisseur du mouvement 3.60 mm
Empierrage 27
Nombre de composants 182
Fréquence 4Hz (28’800 Alternances/heures)
Réserve de marche : environ 40 heures
Indications : heures, minutes et seconde centrale
Boîtier or blanc 18K
40 mm de diamètre
8.90 mm d’épaisseur
Fond ajouré, glace saphir
Etanchéité : testée à une pression de 3 bar (environ 30 mètres)
Cadran Or 18K
Poisson : guilloché main et émail cloisonné
Etoile de mer : gravure et émail champlevé
Colombe : guilloché main et émail – une colombe sertie de 40 brillants estimés à un total d’environ 0.08 carat
Bracelet cuir d’alligator Mississippiensis noir, grandes écailles carrées, cousu main, finition sellier
Boucle ardillon en or blanc 18K demi croix de Malte polie
Edition limitée à 20 pièces pour chaque modèle
Non numérotée
Références
86222/000G-9689
86222/000G-9685
86222/000G-9726
Tesselation
Disponible uniquement dans les Boutiques Internes Vacheron Constantin
Mécanique à remontage automatique
Diamètre du mouvement 26.20 mm (11 lignes ¼ )
Epaisseur du mouvement 3.60 mm
Empierrage 27
Nombre de composants 182
Fréquence 4Hz (28’800 Alternances/heures)
Réserve de marche : environ 40 heures
Indications : heures, minutes et seconde centrale
Boîtier or blanc 18K
40 mm de diamètre
8.90 mm d’épaisseur
Fond ajouré, glace saphir
Etanchéité : testée à une pression de 3 bar (environ 30 mètres)
Cadran Or 18K
Poisson : guilloché main et émail cloisonné
Etoile de mer : gravure et émail champlevé
Colombe : guilloché main et émail – une colombe sertie de 40 brillants estimés à un total d’environ 0.08 carat
Bracelet cuir d’alligator Mississippiensis noir, grandes écailles carrées, cousu main, finition sellier
Boucle ardillon en or blanc 18K demi croix de Malte polie
Edition limitée à 20 pièces pour chaque modèle
Non numérotée
Références
86222/000G-9689
86222/000G-9685
86222/000G-9726
Tesselation
Disponible uniquement dans les Boutiques Internes Vacheron Constantin