Lorsque Vacheron Constantin inaugure en 2004 la série limitée de montres réalisées en hommage aux « Grands Explorateurs », la manufacture genevoise illustre alors sa volonté de pérenniser l’une de ses valeurs les plus fondamentales : les traditions artisanales des métiers d’art de la Haute Horlogerie.
Ce profond engagement de la marque pour la valorisation des métiers d’art décoratifs se poursuit aujourd’hui avec une démonstration magistrale du savoir-faire que la plus ancienne manufacture horlogère au monde nourrit depuis plus de 250 ans.
Vacheron Constantin signe ici une nouvelle fois deux véritables chefs d’oeuvre, tant en matière de mécanique que d’esthétisme, au travers d’un mouvement breveté offrant une lecture du temps étonnante et d’un cadran sublimé par un art ancestral d’une complexité extrême : l’émail « grand feu ». Un exploit, au même titre que ceux réalisés par les grands explorateurs des siècles passés qui, en parcourant terres et mers au péril de leur vie, ont permis à l’Humanité d’effectuer de grandes avancées.
Ce profond engagement de la marque pour la valorisation des métiers d’art décoratifs se poursuit aujourd’hui avec une démonstration magistrale du savoir-faire que la plus ancienne manufacture horlogère au monde nourrit depuis plus de 250 ans.
Vacheron Constantin signe ici une nouvelle fois deux véritables chefs d’oeuvre, tant en matière de mécanique que d’esthétisme, au travers d’un mouvement breveté offrant une lecture du temps étonnante et d’un cadran sublimé par un art ancestral d’une complexité extrême : l’émail « grand feu ». Un exploit, au même titre que ceux réalisés par les grands explorateurs des siècles passés qui, en parcourant terres et mers au péril de leur vie, ont permis à l’Humanité d’effectuer de grandes avancées.
Marco Polo et Christophe Colomb à l’honneur
Après les deux premiers modèles de la collection consacrés à l’amiral chinois Zheng Hé, éclaireur de la dynastie Ming à la découverte des rivages de l’Océan Indien, et à Magellan avec la découverte du détroit portant son nom, Vacheron Constantin rend hommage, pour cette seconde série, à deux des plus célèbres voyageurs au monde : Marco Polo et Christophe Colomb.
Deux garde-temps exceptionnels, intégralement réalisés à la main avec patience et minutie, en droite ligne avec l’esprit des Cabinotiers, si cher aux fondateurs de la manufacture.
« Une œuvre exigeante, dont l’édition se doit d’être limitée à 60 pièces pour chaque modèle » précise la marque dans son communiqué.
Issu de la ligne emblématique « Métiers d’Art », le mécanisme exclusif de ces pièces fait appel à des dispositifs inédits s’intégrant dans un cadran hors normes, dont le décor conte l’incroyable périple de ces grands aventuriers partis à la découverte de l’inconnu.
Deux garde-temps exceptionnels, intégralement réalisés à la main avec patience et minutie, en droite ligne avec l’esprit des Cabinotiers, si cher aux fondateurs de la manufacture.
« Une œuvre exigeante, dont l’édition se doit d’être limitée à 60 pièces pour chaque modèle » précise la marque dans son communiqué.
Issu de la ligne emblématique « Métiers d’Art », le mécanisme exclusif de ces pièces fait appel à des dispositifs inédits s’intégrant dans un cadran hors normes, dont le décor conte l’incroyable périple de ces grands aventuriers partis à la découverte de l’inconnu.
Un cadran en deux parties distinctes, sur deux niveaux différents
Transposer le voyage des plus grands explorateurs de notre planète sur un cadran horloger, tel est le défi technique et esthétique que s’est lancé la manufacture genevoise Vacheron Constantin.
Ainsi, le cadran polychrome en émail « grand feu » se compose de deux parties, la première surplombant partiellement l’autre.
Plus précisément, la partie supérieure illustre une partie du monde en reproduisant une carte ancienne liée aux exploits du grand explorateur.
Sur la partie inférieure du cadran, une bande couvrant 132° porte la minuterie et c’est sur elle que, dans le sens horaire, défilent l’un après l’autre les douze chiffres de l’heure.
Ainsi, le cadran polychrome en émail « grand feu » se compose de deux parties, la première surplombant partiellement l’autre.
Plus précisément, la partie supérieure illustre une partie du monde en reproduisant une carte ancienne liée aux exploits du grand explorateur.
Sur la partie inférieure du cadran, une bande couvrant 132° porte la minuterie et c’est sur elle que, dans le sens horaire, défilent l’un après l’autre les douze chiffres de l’heure.
Un calibre Vacheron Constantin qui fait voyager l’heure
Pour ce faire, les ingénieurs et les horlogers de la manufacture ont mis au point une complication qui, grâce à la haute fiabilité du mouvement à remontage automatique pourvue par le calibre Vacheron Constantin 1126AT, fait voguer les heures dans le sillage cartographique du périple de ces aventuriers.
Au cœur de la montre, ce mécanisme sophistiqué et breveté anime les deux parties du cadran grâce à des agencements très particuliers reliés les uns aux autres par des cames en forme de croix de Malte, le symbole de la manufacture genevoise.
Couronne pivotante, doigts de positionnement, satellites rotatifs porte-chiffres, autant de dispositifs exclusifs développés par les ingénieurs de la Maison et qui proposent une lecture du temps tout à fait originale.
Ainsi, la roue des heures est dotée de trois bras eux-mêmes prolongés par un satellite. Chacun porte quatre chiffres horaires, dont l’orientation est déterminée par une came en forme de croix de Malte. La couronne des heures tourne de manière à placer tour à tour celui des satellites qui porte l’heure appropriée devant la fente entre les deux parties du cadran.
La came en forme de croix de Malte avance alors le chiffre approprié dans la fente et la couronne des heures la fait ensuite survoler de droite à gauche, en une heure précise, sur et en regard de la minuterie inscrite sur le cadran inférieur.
Egrainant le temps qui passe, les heures voyagent à l’extrémité du cadran supérieur en regard de sa moitié inférieure, métamorphosant le chiffre horaire en une aiguille symbolique qui précise les minutes d’un simple coup d’œil. « Une ronde des heures emplie de magie dont la configuration ingénieuse a nécessité un travail considérable » précise la marque dans son communiqué.
Au cœur de la montre, ce mécanisme sophistiqué et breveté anime les deux parties du cadran grâce à des agencements très particuliers reliés les uns aux autres par des cames en forme de croix de Malte, le symbole de la manufacture genevoise.
Couronne pivotante, doigts de positionnement, satellites rotatifs porte-chiffres, autant de dispositifs exclusifs développés par les ingénieurs de la Maison et qui proposent une lecture du temps tout à fait originale.
Ainsi, la roue des heures est dotée de trois bras eux-mêmes prolongés par un satellite. Chacun porte quatre chiffres horaires, dont l’orientation est déterminée par une came en forme de croix de Malte. La couronne des heures tourne de manière à placer tour à tour celui des satellites qui porte l’heure appropriée devant la fente entre les deux parties du cadran.
La came en forme de croix de Malte avance alors le chiffre approprié dans la fente et la couronne des heures la fait ensuite survoler de droite à gauche, en une heure précise, sur et en regard de la minuterie inscrite sur le cadran inférieur.
Egrainant le temps qui passe, les heures voyagent à l’extrémité du cadran supérieur en regard de sa moitié inférieure, métamorphosant le chiffre horaire en une aiguille symbolique qui précise les minutes d’un simple coup d’œil. « Une ronde des heures emplie de magie dont la configuration ingénieuse a nécessité un travail considérable » précise la marque dans son communiqué.
L’art séculaire de l’émail « grand feu »
La série limitée de montres « Métiers d’Art Hommage aux Grands Explorateurs » met à l’honneur l’émail « grand feu », l’une des traditions artisanales les plus anciennes et les plus remarquables de la Haute Horlogerie.
Ce Métier d’Art est devenu une telle rareté que seuls quelques artisans dans le monde peuvent aujourd’hui se targuer d’en maîtriser ses secrets. Il faut dire que ce métier séculaire impressionne tant par sa complexité que sa fragilité.
Pratiqué à l’aide d’une pointe fine, le travail d’émail consiste en posant point par point les couleurs d’une figure en commençant par ses contours. Chaque application de cette pâte de verre coloré exige une rigueur et une précision extrême, avant d’être placée quelques minutes dans un four chauffé entre 700 et 800 degrés.
Refroidi, l’émail passe à l’étape du ponçage, une technique requérant une grande délicatesse afin de ne pas abîmer le rendu. Au cours de l’épreuve du feu, les couleurs peuvent changer, et même se rétracter. La savante expérience de l’émailleur joue alors un rôle essentiel. Au final, un fondant translucide est appliqué au dessin avant un ultime passage au four porté à 900 degrés, suivi d’un lapidage et du polissage définitif.
A chaque nouvelle application de couleur est associé le même défilé d’opérations, la cuisson au four pouvant être renouvelée plus d’une trentaine de fois. C’est ici que la difficulté de cet art ancestral prend toute son ampleur. Totalement imprévisible, l’émail « grand feu » peut, en une fraction de temps, réduire à néant le travail lent et patient de celui qui le crée.
Parfois rebelle, toujours capricieux, l’émail demande un refroidissement prudent et progressif jusqu’à la température ambiante, de manière à lui éviter des tensions pouvant être destructrices, allant jusqu’à une « explosion » de l’ouvrage. Une seule petite maladresse peut entraîner un dégât irréversible et forcer l’artisan à recommencer son labeur.
Le délicat travail sur les cadrans « Métiers d’Art Hommage aux Grands Explorateurs »
Dans le cas des cadrans de la collection « Métiers d’Art Hommage aux Grands Explorateurs », les deux parties devront être émaillées ensemble afin d’assurer leur parfaire harmonie : mêmes couleurs, mêmes temps de passage au four, même éclat. La nature artisanale du travail fait donc de chaque exécution, de chaque cadran, une pièce unique.
Mais tout sacrifice mène à une récompense. Celle de l’émailleur sera d’entrer au royaume de la perfection. Le résultat n’en est que plus saisissant : détaillée, la géographie du parcours de grands explorateurs affiche une parfaite homogénéité des teintes, de la pâleur bleutée des mers à l’ocre orangé de la terre ferme.
Ce Métier d’Art est devenu une telle rareté que seuls quelques artisans dans le monde peuvent aujourd’hui se targuer d’en maîtriser ses secrets. Il faut dire que ce métier séculaire impressionne tant par sa complexité que sa fragilité.
Pratiqué à l’aide d’une pointe fine, le travail d’émail consiste en posant point par point les couleurs d’une figure en commençant par ses contours. Chaque application de cette pâte de verre coloré exige une rigueur et une précision extrême, avant d’être placée quelques minutes dans un four chauffé entre 700 et 800 degrés.
Refroidi, l’émail passe à l’étape du ponçage, une technique requérant une grande délicatesse afin de ne pas abîmer le rendu. Au cours de l’épreuve du feu, les couleurs peuvent changer, et même se rétracter. La savante expérience de l’émailleur joue alors un rôle essentiel. Au final, un fondant translucide est appliqué au dessin avant un ultime passage au four porté à 900 degrés, suivi d’un lapidage et du polissage définitif.
A chaque nouvelle application de couleur est associé le même défilé d’opérations, la cuisson au four pouvant être renouvelée plus d’une trentaine de fois. C’est ici que la difficulté de cet art ancestral prend toute son ampleur. Totalement imprévisible, l’émail « grand feu » peut, en une fraction de temps, réduire à néant le travail lent et patient de celui qui le crée.
Parfois rebelle, toujours capricieux, l’émail demande un refroidissement prudent et progressif jusqu’à la température ambiante, de manière à lui éviter des tensions pouvant être destructrices, allant jusqu’à une « explosion » de l’ouvrage. Une seule petite maladresse peut entraîner un dégât irréversible et forcer l’artisan à recommencer son labeur.
Le délicat travail sur les cadrans « Métiers d’Art Hommage aux Grands Explorateurs »
Dans le cas des cadrans de la collection « Métiers d’Art Hommage aux Grands Explorateurs », les deux parties devront être émaillées ensemble afin d’assurer leur parfaire harmonie : mêmes couleurs, mêmes temps de passage au four, même éclat. La nature artisanale du travail fait donc de chaque exécution, de chaque cadran, une pièce unique.
Mais tout sacrifice mène à une récompense. Celle de l’émailleur sera d’entrer au royaume de la perfection. Le résultat n’en est que plus saisissant : détaillée, la géographie du parcours de grands explorateurs affiche une parfaite homogénéité des teintes, de la pâleur bleutée des mers à l’ocre orangé de la terre ferme.
Marco Polo (1254 – 1324) : sur la Route de la Soie
Marqué par la passion exploratrice de son père, un marchand vénitien parti à la conquête du marché asiatique, Marco Polo n’a que 17 ans lorsqu’il entame sa longue expédition en Extrême Orient, devenant l’un des premiers Occidentaux à emprunter la célèbre Route de la Soie.
Accompagnant son père et son oncle à la recherche des épices et des étoffes précieuses de l’Empire du Milieu, Marco Polo ne se doute pas alors que son voyage aura un tel impact sur la compréhension du monde. En 1271, les Polo quittent Venise avec la mission d’ouvrir une route vers l’Est en vue de perspectives commerciales. Les explorateurs prennent la mer pour atteindre la Crimée. Là, ils entament une traversée de l’Arménie, de la Perse et de l’Afghanistan en suivant la Route de la Soie. Longeant la Mer Caspienne, découvrant le désert de Gobi, ils atteignent au bout de 4 ans de périple l’extrémité nord-ouest de la Chine.
C’est là, dans cette immense contrée asiatique, que Marco Polo fait une rencontre déterminante. Le voyageurs fait la connaissance de l’empereur Kubilaï Khan, qui règne sur l’ensemble des territoires mongols. Petit-fils de Gengis Khan, fondateur de la dynastie chinoise Yuan, l’empereur mongol invite les voyageurs à s’établir dans son royaume. Marco Polo y restera 16 ans. Nommé administrateur d’une province, chargé de nombreuses missions, l’explorateur vénitien effectuera plusieurs déplacements à travers le pays qui lui permettront de dresser une carte fidèle de sa géographie.
Languides de leur pays, les Polo obtiennent la permission de quitter la Chine pour escorter une Princesse jusqu’en Perse. Après avoir tenu leur engagement, les explorateurs traversent l’Arménie jusqu’à Trézibonde, pour gagner Constantinople et rejoindre l’Italie.
Leur absence aura duré 25 ans. De sa fantastique expédition, Marco Polo en fait un récit édité dans un ouvrage baptisé les Livre des Merveilles. Une description historique et géographique de l’Asie effectuée avec une précision et une exactitude extraordinaire pour l’époque et dont l’ensemble des observations ont été confirmées par les découvertes modernes. Et qui inspirera au cours des siècles plus d’un explorateur à partir à la conquête du monde. Parmi eux, un certain Christophe Colomb.
Christophe Colomb (1451 – 1506) : La découverte des Amériques
Sacré meilleur navigateur de tous les temps, Christophe Colomb est universellement connu pour avoir découvert l’Amérique. Et pourtant. L’explorateur le plus emblématique des Grandes Découvertes est mort en étant convaincu qu’il avait accosté aux Indes, atteignant ainsi l’objectif auquel il avait voué sa vie.
C’est en 1484 que ce navigateur génois entreprend de traverser l’Atlantique pour rejoindre les Indes. Né en 1451, Cristiforo Colombo se destine à devenir lainier, le métier pratiqué par son père. Admirant les navires qui sillonnent la Méditerranée pour débarquer dans le port de Gênes, le jeune homme ne peut s’empêcher de rêver de partir en mer à la découverte de terres inconnues.
Son rêve devient réalité grâce aux frères Centurioni, grands banquiers de la République. Ceux-ci voient en lui le marin intrépide qu’ils recherchent afin d’étendre leurs activités commerciales au-delà des mers. Rapidement, Christophe Colomb maîtrise les sciences maritimes, se passionne pour la cartographie et la cosmographie. Au cours de ses voyages en haute mer, il découvre l’étude de Ptolémée qui lui apporte la certitude de la rotondité de la mer.
Le navigateur se met alors en tête qu’une terre se trouve plus à l’ouest. Comment expliquer autrement ce phénomène étrange des marées ? Mieux : fort de sa capacité de déduction, Colomb se persuade de l’existence au-delà de l’Atlantique d’une route menant aux Indes.
Dès lors, plus rien ne comptera pour l’explorateur que cette fameuse route qui le mènera à la terre promise des Indes. Convaincant la reine Isabel et son époux le roi Ferdinand d’Espagne de financer son expédition, l’aventurier compose son équipage et entame en 1492 la traversée de l’Atlantique. Devenu Amiral, il assure à son équipage que le navire touchera terre au bout d’un mois déjà. Soixante jours plus tard, l’expédition vogue toujours en mer sans apercevoir le moindre bout de terre. Jusqu’à cette nuit du 11 au 12 octobre 1492, où l’un des matelots de l’équipée fait retentir le coup de canon tant attendu.
La suite de l’aventure de l’explorateur est connue de tous. Christophe Colomb débarque sur une île tropicale couverte d'une végétation luxuriante, bordée de plages de sable blanc, au milieu d'une eau turquoise. Et découvre étonné la peau brune des habitants de ce nouveau monde, qu’il prénomme San Salvador, pensant avoir enfin atteint les Indes. Colomb se trouve en réalité dans l’archipel des Bahamas.
Suivront de nombreux voyages, et autant de découvertes de nouvelles terres – Saint Domingue, petites Antilles, Cuba, Honduras, Panama. Convaincu d’avoir trouvé une partie des Indes, jamais l’Amiral ne pensera se situer en face d’un continent, celui du Nouveau Monde. Il mourra dans ce mensonge en 1504 en Espagne, abandonné de tous et sans gloire. Quelques années plus tard, le Nouveau Monde fût rebaptisé Americi Terra : l’Amérique.
Marqué par la passion exploratrice de son père, un marchand vénitien parti à la conquête du marché asiatique, Marco Polo n’a que 17 ans lorsqu’il entame sa longue expédition en Extrême Orient, devenant l’un des premiers Occidentaux à emprunter la célèbre Route de la Soie.
Accompagnant son père et son oncle à la recherche des épices et des étoffes précieuses de l’Empire du Milieu, Marco Polo ne se doute pas alors que son voyage aura un tel impact sur la compréhension du monde. En 1271, les Polo quittent Venise avec la mission d’ouvrir une route vers l’Est en vue de perspectives commerciales. Les explorateurs prennent la mer pour atteindre la Crimée. Là, ils entament une traversée de l’Arménie, de la Perse et de l’Afghanistan en suivant la Route de la Soie. Longeant la Mer Caspienne, découvrant le désert de Gobi, ils atteignent au bout de 4 ans de périple l’extrémité nord-ouest de la Chine.
C’est là, dans cette immense contrée asiatique, que Marco Polo fait une rencontre déterminante. Le voyageurs fait la connaissance de l’empereur Kubilaï Khan, qui règne sur l’ensemble des territoires mongols. Petit-fils de Gengis Khan, fondateur de la dynastie chinoise Yuan, l’empereur mongol invite les voyageurs à s’établir dans son royaume. Marco Polo y restera 16 ans. Nommé administrateur d’une province, chargé de nombreuses missions, l’explorateur vénitien effectuera plusieurs déplacements à travers le pays qui lui permettront de dresser une carte fidèle de sa géographie.
Languides de leur pays, les Polo obtiennent la permission de quitter la Chine pour escorter une Princesse jusqu’en Perse. Après avoir tenu leur engagement, les explorateurs traversent l’Arménie jusqu’à Trézibonde, pour gagner Constantinople et rejoindre l’Italie.
Leur absence aura duré 25 ans. De sa fantastique expédition, Marco Polo en fait un récit édité dans un ouvrage baptisé les Livre des Merveilles. Une description historique et géographique de l’Asie effectuée avec une précision et une exactitude extraordinaire pour l’époque et dont l’ensemble des observations ont été confirmées par les découvertes modernes. Et qui inspirera au cours des siècles plus d’un explorateur à partir à la conquête du monde. Parmi eux, un certain Christophe Colomb.
Christophe Colomb (1451 – 1506) : La découverte des Amériques
Sacré meilleur navigateur de tous les temps, Christophe Colomb est universellement connu pour avoir découvert l’Amérique. Et pourtant. L’explorateur le plus emblématique des Grandes Découvertes est mort en étant convaincu qu’il avait accosté aux Indes, atteignant ainsi l’objectif auquel il avait voué sa vie.
C’est en 1484 que ce navigateur génois entreprend de traverser l’Atlantique pour rejoindre les Indes. Né en 1451, Cristiforo Colombo se destine à devenir lainier, le métier pratiqué par son père. Admirant les navires qui sillonnent la Méditerranée pour débarquer dans le port de Gênes, le jeune homme ne peut s’empêcher de rêver de partir en mer à la découverte de terres inconnues.
Son rêve devient réalité grâce aux frères Centurioni, grands banquiers de la République. Ceux-ci voient en lui le marin intrépide qu’ils recherchent afin d’étendre leurs activités commerciales au-delà des mers. Rapidement, Christophe Colomb maîtrise les sciences maritimes, se passionne pour la cartographie et la cosmographie. Au cours de ses voyages en haute mer, il découvre l’étude de Ptolémée qui lui apporte la certitude de la rotondité de la mer.
Le navigateur se met alors en tête qu’une terre se trouve plus à l’ouest. Comment expliquer autrement ce phénomène étrange des marées ? Mieux : fort de sa capacité de déduction, Colomb se persuade de l’existence au-delà de l’Atlantique d’une route menant aux Indes.
Dès lors, plus rien ne comptera pour l’explorateur que cette fameuse route qui le mènera à la terre promise des Indes. Convaincant la reine Isabel et son époux le roi Ferdinand d’Espagne de financer son expédition, l’aventurier compose son équipage et entame en 1492 la traversée de l’Atlantique. Devenu Amiral, il assure à son équipage que le navire touchera terre au bout d’un mois déjà. Soixante jours plus tard, l’expédition vogue toujours en mer sans apercevoir le moindre bout de terre. Jusqu’à cette nuit du 11 au 12 octobre 1492, où l’un des matelots de l’équipée fait retentir le coup de canon tant attendu.
La suite de l’aventure de l’explorateur est connue de tous. Christophe Colomb débarque sur une île tropicale couverte d'une végétation luxuriante, bordée de plages de sable blanc, au milieu d'une eau turquoise. Et découvre étonné la peau brune des habitants de ce nouveau monde, qu’il prénomme San Salvador, pensant avoir enfin atteint les Indes. Colomb se trouve en réalité dans l’archipel des Bahamas.
Suivront de nombreux voyages, et autant de découvertes de nouvelles terres – Saint Domingue, petites Antilles, Cuba, Honduras, Panama. Convaincu d’avoir trouvé une partie des Indes, jamais l’Amiral ne pensera se situer en face d’un continent, celui du Nouveau Monde. Il mourra dans ce mensonge en 1504 en Espagne, abandonné de tous et sans gloire. Quelques années plus tard, le Nouveau Monde fût rebaptisé Americi Terra : l’Amérique.
Spécificités techniques
Références
47070/000J-9085 (Christophe Colomb)
47070/000J-9086 (Marco Polo)
Production : série limitée à 60 exemplaires pour chaque sujet.
Boitier : or jaune 18 carats
Diamètre et épaisseur : 40 mm et 12.21 mm
Cadran : base en or 22 carats composé de deux parties :
- émail « Grand feu » polychrome. Intégralement réalisé à la main selon le procédé traditionnel.
- Décor Marco Polo - son voyage de 1271 à 1295 à travers l’Asie Centrale.
- Décor Christophe Colomb - ses voyages de 1492 à 1493 de Huelva à San Salvador et la découverte de l’Amérique.
Mouvement : 1126 AT, à remontage automatique, avec mécanisme additionnel de défilement mobile des heures sur 120°
Épaisseur du mouvement : 6.25 mm
Diamètre du mouvement : 26 mm
Empierrage : 36 rubis
Fréquence : 28’800 Alternances / Heure.
Indications : Indication du temps par des chiffres arabes montés sur des satellites. Chaque chiffre apparaît à son tour, puis défile au dessus du secteur indiquant les minutes, avant de disparaître à l’apparition du suivant.
Réserve de marche : environ 40 heures.
Étanchéité : testée à une pression de 3 Atm équivalente à 30 mètres.
Bracelet : cuir d’alligator brun, cousu main, écailles carrées.
Fermoir : Boucle déployante en or jaune 18 carats. Demi-croix de Malte polie.
47070/000J-9085 (Christophe Colomb)
47070/000J-9086 (Marco Polo)
Production : série limitée à 60 exemplaires pour chaque sujet.
Boitier : or jaune 18 carats
Diamètre et épaisseur : 40 mm et 12.21 mm
Cadran : base en or 22 carats composé de deux parties :
- émail « Grand feu » polychrome. Intégralement réalisé à la main selon le procédé traditionnel.
- Décor Marco Polo - son voyage de 1271 à 1295 à travers l’Asie Centrale.
- Décor Christophe Colomb - ses voyages de 1492 à 1493 de Huelva à San Salvador et la découverte de l’Amérique.
Mouvement : 1126 AT, à remontage automatique, avec mécanisme additionnel de défilement mobile des heures sur 120°
Épaisseur du mouvement : 6.25 mm
Diamètre du mouvement : 26 mm
Empierrage : 36 rubis
Fréquence : 28’800 Alternances / Heure.
Indications : Indication du temps par des chiffres arabes montés sur des satellites. Chaque chiffre apparaît à son tour, puis défile au dessus du secteur indiquant les minutes, avant de disparaître à l’apparition du suivant.
Réserve de marche : environ 40 heures.
Étanchéité : testée à une pression de 3 Atm équivalente à 30 mètres.
Bracelet : cuir d’alligator brun, cousu main, écailles carrées.
Fermoir : Boucle déployante en or jaune 18 carats. Demi-croix de Malte polie.