Alors que Vacheron Constantin vient de dévoiler sa toute une nouvelle collection de montres Overseas (rien que le nom fait rêver), la « sportive » et la « voyageuse » de la maison, la manufacture propose également de découvrir l’exposition L’élégance en mouvement, au sein de son adresse genevoise et sur rendez-vous uniquement.
Située au premier étage du bâtiment historique de V.C., quai de l’Ile à Genève, l’exposition présente 57 garde-temps sélectionnés parmi plus de 1.300 objets que compte le fonds privé de la maison. Cette visite s’ouvre très symboliquement sur la malle de François Constantin de 1840 et sur un chronomètre de marine, instrument de navigation emblématique, rappelant que cet esprit du voyage s’ancre au cœur même de la philosophie de Vacheron Constantin.
Située au premier étage du bâtiment historique de V.C., quai de l’Ile à Genève, l’exposition présente 57 garde-temps sélectionnés parmi plus de 1.300 objets que compte le fonds privé de la maison. Cette visite s’ouvre très symboliquement sur la malle de François Constantin de 1840 et sur un chronomètre de marine, instrument de navigation emblématique, rappelant que cet esprit du voyage s’ancre au cœur même de la philosophie de Vacheron Constantin.
Une constante que l’on retrouve d’ailleurs dans bien d’autres grandes marques, dont les premiers patrons, souvent des horlogers de génie, parcoururent la planète afin de vendre leurs garde-temps aux grands de ce monde… Or, ce qui aujourd’hui se fait d’un coup d’avion, relevait hier d’aventures parfois périlleuses.
Réveil « portefeuille », montres de sac, à volet, montre briquet, le garde-temps, en tant que fidèle compagnon de route, a su se faire escamotable pour pallier la rudesse des transports de l’époque. Au fil du 20ème siècle, l’affichage ainsi que les mécanismes se sont adaptés aux besoins en multipliant les indications et les fonctions, tels les doubles fuseaux horaires et les heures internationales. En se couvrant de matière luminescente, les chiffres et les aiguilles ont pu garantir une meilleur lisibilité dans l’obscurité, visible notamment sur la pièce de poche Corps of Engineers USA de 1918.
Réveil « portefeuille », montres de sac, à volet, montre briquet, le garde-temps, en tant que fidèle compagnon de route, a su se faire escamotable pour pallier la rudesse des transports de l’époque. Au fil du 20ème siècle, l’affichage ainsi que les mécanismes se sont adaptés aux besoins en multipliant les indications et les fonctions, tels les doubles fuseaux horaires et les heures internationales. En se couvrant de matière luminescente, les chiffres et les aiguilles ont pu garantir une meilleur lisibilité dans l’obscurité, visible notamment sur la pièce de poche Corps of Engineers USA de 1918.
Rappelons qu’au début du 20ème siècle, les cadrans des garde-temps étaient dotés d’index en radium, matière luminescente qui permettait de voir l’heure dans la nuit ou la pénombre… Cette matière était appliquée sur les cadrans, généralement, par des femmes. Ces ouvrières tenaient le pinceau -extrêmement fin- qui servait à peindre les chiffres et les index, entre leurs lèvres pour plus de précision. Naturellement, de nombreuses employées développèrent des maladies (pertes de leurs dents ou même cancers), à cause de ce contact permanent avec un produit radioactif.
Vint ensuite la protection des mécanismes contre le magnétisme, l’humidité et la poussière. Trois gros soucis qui longtemps, représentèrent des défis majeurs dans l’horlogerie. En 1885, VC créât un premier modèle conçu pour résister aux perturbations magnétiques par l’intégration de composants en palladium, en or et en bronze. En 1895, elle mentionne une première montre en acier « hermétique ». En 1933, Vacheron Constantin développe une montre-bracelet, dont le fond et la lunette vissés garantissent une résistance à l’eau et à la pression, qui inspirera les montres 222 et Overseas. Les prémisses de la montre dite « sportive » se dessinent.
Vint ensuite la protection des mécanismes contre le magnétisme, l’humidité et la poussière. Trois gros soucis qui longtemps, représentèrent des défis majeurs dans l’horlogerie. En 1885, VC créât un premier modèle conçu pour résister aux perturbations magnétiques par l’intégration de composants en palladium, en or et en bronze. En 1895, elle mentionne une première montre en acier « hermétique ». En 1933, Vacheron Constantin développe une montre-bracelet, dont le fond et la lunette vissés garantissent une résistance à l’eau et à la pression, qui inspirera les montres 222 et Overseas. Les prémisses de la montre dite « sportive » se dessinent.
Pour répondre à des besoins toujours plus spécifiques, Vacheron Constantin présentera également l’imposante montre d’aviateur de 1903, attachée à la cuisse du pilote, ou encore des modèles profilés Driver, de 1939, qui se portent sur la tranche du poignet pour faciliter la lecture du chauffeur. Mais la montre communément appelée « sportive » fait réellement son apparition avec l’essor de l’acier à la fin du 19ème siècle et les inventions successives du rustless steel, staybrite steel et stainless steel au début du 20ème siècle.
Plusieurs modèles emblématiques à la lunette crantée et aux bracelets métalliques illustrent cette avancée, des années 1930 aux années 1970, à l’image du Chronomètre Royal de 1975 et de la 222 présentée en 1977 à l’occasion du 222ème anniversaire de la maison. L’exposition s’achève sur Overseas, devenue une référence, et dont Vacheron Constantin présente en 2016 une nouvelle version, avec un assortiment de nouveaux calibres. Suivez-nous sur Instagram
Plusieurs modèles emblématiques à la lunette crantée et aux bracelets métalliques illustrent cette avancée, des années 1930 aux années 1970, à l’image du Chronomètre Royal de 1975 et de la 222 présentée en 1977 à l’occasion du 222ème anniversaire de la maison. L’exposition s’achève sur Overseas, devenue une référence, et dont Vacheron Constantin présente en 2016 une nouvelle version, avec un assortiment de nouveaux calibres. Suivez-nous sur Instagram
Exposition « L’élégance en mouvement »
Jusqu’au 29 avril 2016
Maison Vacheron Constantin,
7 quai de l’Ile,
1204 Genève
Visite sur rendez-vous uniquement
Tél : 022.930.20.05
Jusqu’au 29 avril 2016
Maison Vacheron Constantin,
7 quai de l’Ile,
1204 Genève
Visite sur rendez-vous uniquement
Tél : 022.930.20.05