Cette pendulette de bureau est donc dotée d’un mouvement signé H. Moser & Cie. Elle représente indéniablement l’union entre deux géants de l’art horloger russe. Au XXème siècle, Fabergé, « l’orfèvre des tsars », équipait la quasi-totalité de ses horloges de table avec des calibres H. Moser & Cie., dont les garde-temps, rares et raffinés, étaient portés par les plus grands, princes et membres de la Cour impériale russe. C’est l’une de ces créations, datant de 1908, qui a donc été vendue aux enchères par l’Hôtel des Ventes.
Cette pendulette possède une monture en vermeil de forme ronde (maître-orfèvre Henrik Wigström) et un encadrement en émail blanc perlé guilloché de vagues, mettant en exergue la pureté du cadran émail aux chiffres arabes noirs ainsi que des aiguilles en or rose à volutes. Le mouvement Moser est doté de deux barillets. Ce système de double barillet, chacun se remontant séparément, est très spécial, pour ne pas dire unique.
Aujourd’hui, Moser cultive toujours l’esprit de son fondateur… A l’image du calibre qui anime la pendulette Fabergé, la majorité des mouvements actuels de la manufacture sont munis d’un double barillet. Quant au soin apporté aux détails et à la beauté des finitions, il est demeuré le même qu’à l’époque de Heinrich Moser.
Cette pendulette possède une monture en vermeil de forme ronde (maître-orfèvre Henrik Wigström) et un encadrement en émail blanc perlé guilloché de vagues, mettant en exergue la pureté du cadran émail aux chiffres arabes noirs ainsi que des aiguilles en or rose à volutes. Le mouvement Moser est doté de deux barillets. Ce système de double barillet, chacun se remontant séparément, est très spécial, pour ne pas dire unique.
Aujourd’hui, Moser cultive toujours l’esprit de son fondateur… A l’image du calibre qui anime la pendulette Fabergé, la majorité des mouvements actuels de la manufacture sont munis d’un double barillet. Quant au soin apporté aux détails et à la beauté des finitions, il est demeuré le même qu’à l’époque de Heinrich Moser.