Lorsqu’au XVe siècle, Christophe Colomb met le cap à l’ouest, alors que tous les autres navigateurs croisent à l’est, il est loin d’imaginer que son périple le mènera à la découverte du Nouveau Monde.
Malgré son exploit qui changera à jamais l’histoire, le marin aventurier est confronté à l’une des gageures qui hantent aujourd’hui encore l’horlogerie contemporaine : comment réaliser des mesures exactes avec des instruments soumis à un mouvement constant qui nuit à leur précision ?
Chronométrier d’exception, Charles Fleck a lui aussi marqué à jamais de son empreinte l’histoire, celle de l’horlogerie, durant les plus de trente années qu’il a passées au sein de la Manufacture Zenith.
Entre 1925 et 1956, il a déposé de nombreux brevets, pour Zenith et sous son propre nom. Il est notamment l’inventeur du régulateur à double flèche qui a équipé les calibres 133, 71, 120, 40 et 5011.
Sa passion pour la précision l’a amené à participer à la conception du calibre 135, qui a remporté de nombreux prix, dont le prestigieux Prix de la meilleure montre-bracelet, et ce cinq ans de suite. « Sa vie passée au service de la mécanique d’exception a contribué à faire de Zenith la marque la plus titrée de tous les temps en matière de précision, avec pas moins de 2.333 Prix à ce jour » assure la marque dans son communiqué.
Malgré son exploit qui changera à jamais l’histoire, le marin aventurier est confronté à l’une des gageures qui hantent aujourd’hui encore l’horlogerie contemporaine : comment réaliser des mesures exactes avec des instruments soumis à un mouvement constant qui nuit à leur précision ?
Chronométrier d’exception, Charles Fleck a lui aussi marqué à jamais de son empreinte l’histoire, celle de l’horlogerie, durant les plus de trente années qu’il a passées au sein de la Manufacture Zenith.
Entre 1925 et 1956, il a déposé de nombreux brevets, pour Zenith et sous son propre nom. Il est notamment l’inventeur du régulateur à double flèche qui a équipé les calibres 133, 71, 120, 40 et 5011.
Sa passion pour la précision l’a amené à participer à la conception du calibre 135, qui a remporté de nombreux prix, dont le prestigieux Prix de la meilleure montre-bracelet, et ce cinq ans de suite. « Sa vie passée au service de la mécanique d’exception a contribué à faire de Zenith la marque la plus titrée de tous les temps en matière de précision, avec pas moins de 2.333 Prix à ce jour » assure la marque dans son communiqué.
La manufacture à l’étoile rend aujourd’hui hommage à ces deux pionniers en réalisant un garde-temps à leur image : l’Academy Christophe Colomb Hommage à Charles Fleck.
Au cœur de l’Academy Christophe Colomb Hommage à Charles Fleck bat un mécanisme gyroscopique autorégulateur qui signe l’une des avancées majeures de l’horlogerie du 21e siècle.
Partant du principe que le maintien de l’organe régulateur en position horizontale engendre la meilleure amplitude possible du balancier et génère ainsi la meilleure précision horaire, Zenith a imaginé un système révolutionnaire pour que l’organe régulateur et l’échappement soient maintenus en permanence dans cette position : le gravity control.
Inspiré des chronomètres de marine, le gravity control est aussi un hommage à l’histoire, puisque Zenith a produit par le passé ce type d’instruments, de même qu’un mouvement chronomètre Lépine dès le début du 20ème siècle, avec un échappement nommé « Echappement Colomb ».
Le système de gravity control breveté emprunte aux chronomètres de marine le principe de suspension à cardans, sorte d’articulation universelle introduite au XVIe siècle sur les boussoles de marine pour qu’elles conservent leur position horizontale, malgré les mouvements du bateau.
Lorsque plus tard, les montres de poche sont apparues, ces mêmes moyens n’ont pas pu être appliqués car ils auraient exigé la présence d’un mécanisme volumineux de 50 mm dans une poche. Le tourbillon a alors été inventé (par A.L. Breguet) pour compenser les écarts de la montre, partant du principe qu’elle restait en position verticale dans une poche et que seule la tige oscillait vers la gauche ou la droite.
Aujourd’hui, les tourbillons classiques des montres-bracelets continuent de corriger ces positions en les égalisant sur les 4 axes verticaux chaque minute. Les tourbillons inclinés ou tourbillons multiaxes établissent davantage de positions, même s’ils ne sont maintenus que brièvement en position horizontale et ne font que corriger la somme de plusieurs erreurs induites par les nombreux mouvements du poignet.
« Aussi, le développement ultime pour la précision d’une montre-bracelet consiste à la doter d’un échappement horizontal constant, surpassant les mécanismes de tourbillon. C’est désormais chose faite avec l’Academy Christophe Colomb » assure le communiqué de Zenith.
La conception de ce mécanisme a requis pas moins de cinq ans de recherche, tandis que sa réalisation a nécessité le développement de soixante nouveaux outils dédiés à l’assemblage de la sphère et de ses 175 composants.
Fidèle aux codes de Zenith, l’Academy Christophe Colomb Hommage à Charles Fleck bat à 10 vibrations par seconde, soit 36’000 alternances par heure. Une cadence exceptionnelle, qui a amené plus de complexité encore. Zenith a encore ajouté de la complexité à la complexité en squelettant cette pièce dédiée au chronométrier qui a tant marqué son histoire, comme pour mieux révéler la mécanique hors norme qui bat en son cœur. Un exercice qui a requis tous les savoir-faire au sein de la manufacture, puisque le squelettage a fait l’objet d’un compromis permanent entre technique et esthétique. Platine, ponts, plaques : toutes les strates ont été patiemment ciselées, et les équilibres constamment réinventés.
Sublimant les jeux de contrastes entre l’anthracite du mouvement, le bleu des aiguilles et des vis, ainsi que l’or rose des rouages, trois cadrans saphir vissés captent tous les regards, comme pour mieux célébrer la magie du dôme à 6h.
Au cœur de l’Academy Christophe Colomb Hommage à Charles Fleck bat un mécanisme gyroscopique autorégulateur qui signe l’une des avancées majeures de l’horlogerie du 21e siècle.
Partant du principe que le maintien de l’organe régulateur en position horizontale engendre la meilleure amplitude possible du balancier et génère ainsi la meilleure précision horaire, Zenith a imaginé un système révolutionnaire pour que l’organe régulateur et l’échappement soient maintenus en permanence dans cette position : le gravity control.
Inspiré des chronomètres de marine, le gravity control est aussi un hommage à l’histoire, puisque Zenith a produit par le passé ce type d’instruments, de même qu’un mouvement chronomètre Lépine dès le début du 20ème siècle, avec un échappement nommé « Echappement Colomb ».
Le système de gravity control breveté emprunte aux chronomètres de marine le principe de suspension à cardans, sorte d’articulation universelle introduite au XVIe siècle sur les boussoles de marine pour qu’elles conservent leur position horizontale, malgré les mouvements du bateau.
Lorsque plus tard, les montres de poche sont apparues, ces mêmes moyens n’ont pas pu être appliqués car ils auraient exigé la présence d’un mécanisme volumineux de 50 mm dans une poche. Le tourbillon a alors été inventé (par A.L. Breguet) pour compenser les écarts de la montre, partant du principe qu’elle restait en position verticale dans une poche et que seule la tige oscillait vers la gauche ou la droite.
Aujourd’hui, les tourbillons classiques des montres-bracelets continuent de corriger ces positions en les égalisant sur les 4 axes verticaux chaque minute. Les tourbillons inclinés ou tourbillons multiaxes établissent davantage de positions, même s’ils ne sont maintenus que brièvement en position horizontale et ne font que corriger la somme de plusieurs erreurs induites par les nombreux mouvements du poignet.
« Aussi, le développement ultime pour la précision d’une montre-bracelet consiste à la doter d’un échappement horizontal constant, surpassant les mécanismes de tourbillon. C’est désormais chose faite avec l’Academy Christophe Colomb » assure le communiqué de Zenith.
La conception de ce mécanisme a requis pas moins de cinq ans de recherche, tandis que sa réalisation a nécessité le développement de soixante nouveaux outils dédiés à l’assemblage de la sphère et de ses 175 composants.
Fidèle aux codes de Zenith, l’Academy Christophe Colomb Hommage à Charles Fleck bat à 10 vibrations par seconde, soit 36’000 alternances par heure. Une cadence exceptionnelle, qui a amené plus de complexité encore. Zenith a encore ajouté de la complexité à la complexité en squelettant cette pièce dédiée au chronométrier qui a tant marqué son histoire, comme pour mieux révéler la mécanique hors norme qui bat en son cœur. Un exercice qui a requis tous les savoir-faire au sein de la manufacture, puisque le squelettage a fait l’objet d’un compromis permanent entre technique et esthétique. Platine, ponts, plaques : toutes les strates ont été patiemment ciselées, et les équilibres constamment réinventés.
Sublimant les jeux de contrastes entre l’anthracite du mouvement, le bleu des aiguilles et des vis, ainsi que l’or rose des rouages, trois cadrans saphir vissés captent tous les regards, comme pour mieux célébrer la magie du dôme à 6h.
Spécificités techniques de l’Academy Christophe Colomb Hommage à Charles Fleck
Mouvement El Primero 8804, manuel
Un mécanisme gyroscopique unique qui maintient l’organe régulateur en position parfaitement horizontale
Calibre : 16½ ``` (Diamètre : 37 mm)
Épaisseur : 5,85 mm
Composants : 308
Cage gyroscopique faite de 175 composants
Rubis : 45
Fréquence : 36 000 alt/h (5 Hz)
Réserve de marche : 50 heures min.
Fonctions
Heures et minutes excentrées à 12 heures
Module auto-régulateur de contrôle de la gravité à 6 heures
Petite seconde à 9 heures
Indicateur de réserve de marche à 3 heures
Boîtier, cadran et aiguilles
Matériau : Platine
Diamètre : 45 mm
Épaisseur : 14,35 mm
21,40 mm (avec glace saphir bombée)
Glace et fond : Verre saphir bombé traité antireflet sur ses deux faces, dômes protégeant le module Christophe Colomb.
Étanchéité : 3 ATM
Cadran : 3 cadrans en verre saphir ou guilloché grain d’orge ou avec motif « Clous de Paris » sur le compteur de la petite seconde
Compteur des secondes
Index des heures : Laqués noirs
Aiguilles : Acier bleui
Bracelet en alligator doublé de caoutchouc
Référence : 27.00.2218.630 Cuir d’alligator noir
Référence : 27.00.2218.631 Cuir d’alligator brun
Triple boucle déployante en or 18 carats
Référence : 27.31.0003.940 Or blanc
Un mécanisme gyroscopique unique qui maintient l’organe régulateur en position parfaitement horizontale
Calibre : 16½ ``` (Diamètre : 37 mm)
Épaisseur : 5,85 mm
Composants : 308
Cage gyroscopique faite de 175 composants
Rubis : 45
Fréquence : 36 000 alt/h (5 Hz)
Réserve de marche : 50 heures min.
Fonctions
Heures et minutes excentrées à 12 heures
Module auto-régulateur de contrôle de la gravité à 6 heures
Petite seconde à 9 heures
Indicateur de réserve de marche à 3 heures
Boîtier, cadran et aiguilles
Matériau : Platine
Diamètre : 45 mm
Épaisseur : 14,35 mm
21,40 mm (avec glace saphir bombée)
Glace et fond : Verre saphir bombé traité antireflet sur ses deux faces, dômes protégeant le module Christophe Colomb.
Étanchéité : 3 ATM
Cadran : 3 cadrans en verre saphir ou guilloché grain d’orge ou avec motif « Clous de Paris » sur le compteur de la petite seconde
Compteur des secondes
Index des heures : Laqués noirs
Aiguilles : Acier bleui
Bracelet en alligator doublé de caoutchouc
Référence : 27.00.2218.630 Cuir d’alligator noir
Référence : 27.00.2218.631 Cuir d’alligator brun
Triple boucle déployante en or 18 carats
Référence : 27.31.0003.940 Or blanc